Jadis nos forêts étaient protégées nuit et jour. Les gardes champêtres veillaient au grain en faisant respecter la loi ; ainsi la forêt était un espace protégé.
Les garde-champêtres sillonnaient à cheval, matin et soir, de larges étendues de forêt, qui constituaient, à cet effet, un précieux abri à plusieurs espèces animales : singes, chacals, sangliers, une multitude d’oiseaux et même des essaims d’abeilles, qui produisaient le miel le plus pur de la planète. Aujourd’hui, point de (...)
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Algérie - Ecologie et développement durable
Articles
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La forêt de l’Akfadou livrée au “trabendo”
19 avril 2004, par Hassiba -
Nouvelle politique de l’eau en Algérie
25 janvier 2005, par HassibaEn Algérie,le passage de 2004 à 2005 s’est opéré sous le signe de l’eau avec ces deux informations capitales : en décembre 2004, le gouvernement a décidé d’augmenter le prix de l’eau à partir de janvier 2005 et le Conseil des ministres a ficelé le projet de loi sur l’eau qui sera soumis à l’Assemblée populaire nationale en 2005.
Les augmentations des tarifs de l’eau paraissent dérisoires, mais c’est une première tranche : 2,50 DA pour l’eau potable, 1 DA pour l’assainissement et 1DA à (...) -
Un nouveau code et des réformes pour les ressources en eau en Algérie
31 janvier 2005, par HassibaLes besoins en eau des Algériens sont estimés par le ministère des Ressources en eau à 6,9 milliards m3 par an et la production actuelle est de 5,92, soit 100 l/j par habitant.
Le ministre de tutelle, Abdelmalek Sellal, prévoit pour l’horizon 2009 une demande de 7,9 milliards m3. Pour satisfaire cette demande supplémentaire, le ministre prévoit d’avoir recours à une multitude d’instruments juridiques et techniques. Ainsi, à la fin de l’année dernière, un avant-projet de loi relative à (...) -
Usine de dessalement d’eau de mer du Hamma
3 février 2005, par HassibaL’usine de dessalement d’eau de mer du Hamma est destinée à couvrir un tiers des besoins en eau de la capitale estimés à 600 000 mètres cubes d’eau par jour.
L’Agence fédérale américaine des investissement à l’étranger (OPIC) a approuvé lors de sa dernière réunion du 27 janvier 2005, le financement du projet de réalisation d’une usine de dessalement d’eau de mer au niveau du Hamma (Alger).L’information a été révélée par M. Sari, président-directeur général d’ Algérian Energy Compagny, (...) -
Stations de dessalement de l’eau de mer : Un investissement pour rien !
5 avril 2004, par HassibaLancé en catastrophe durant l’année 1982, le projet de réalisation de la station de dessalement de l’eau de mer n’arrive pas jusqu’à présent à répondre aux besoins pour lesquels il avait été initié.
Les responsables n’avaient jamais été confrontés à une sécheresse aussi catastrophique et dont la persistance avait entraîné l’assèchement des barrages de Guénitra et de Zardezas ainsi que des nappes phréatiques. Il devenait donc difficile de répondre aux besoins des populations qui ont (...) -
L’option dessalement de l’eau de mer : l’investissement étranger à la rescousse
31 janvier 2005, par HassibaEn Algérie, le groupe Sonatrach s’est fortement impliqué dans le dessalement de l’eau de mer à travers la société mixte Algerian Energy Company (AEC), dont il est actionnaire à hauteur de 50%.
La première unité de dessalement de l’eau de mer est située dans la zone industrielle d’Arzew, à Oran. C’est un chantier important dont les travaux ont démarré en septembre 2003. Ce projet, ce sont quatre-vingt-dix mille mètres cubes d’eau par jour. Cette unité a été mise en partenariat avec (...) -
Les vautours du Djurdjura menacés de disparition
15 mai 2004, par HassibaLe gypaète, le percnoptère et le vautour fauve, espèces de vautours répertoriées dans le parc national du Djurdjura où elles vivent et nichent dans les corniches de falaises, sont menacées d’extinction pour des causes liées au changement de leur milieu biotope et a d’autres facteurs de déprédation, selon un constat d’un ornithologue de l’université de Tizi-Ouzou.
Au titre des menaces pesant sur ces rapaces, M. Boukhamza cite des modifications substantielles de la chaîne alimentaire (...) -
La filière liège, un marché de 30 millions de dollars
16 février 2005, par HassibaLa filière liège en Algérie, c’est un marché de l’ordre de trente millions de dollars. Elle demeure cependant sous-exploitée, en proie à l’anarchie.
Cette situation, la direction des forêts veut la changer. Aussi a-t-elle organisé hier à l’hôtel Mercure une conférence pour discuter des voies et moyens à même d’y parvenir. C’est une suite à l’une des recommandations issues d’une réunion de travail animée en 2003 à Béjaïa portant sur l’organisation des activités d’exploitation, de (...) -
Produits organiques persistants : 145 sites contaminés à travers l’Algérie
14 septembre 2004, par HassibaPlus de 630 tonnes de pesticides dangereux ont disparu des stocks dans différentes régions d’Algérie. L’alerte a été donnée par l’Association nationale pour la protection de l’environnement et de lutte contre la pollution (APEP).
Depuis mars 2004, cette dernière n’a pas cessé d’interpeller les pouvoirs publics sur cette disparition dont les conséquences seraient irrémédiables sur la santé humaine, l’environnement, la faune et la flore. Des inventaires nationaux sur les produits (...) -
Le foncier agricole en Algérie sera mieux réglementé
13 avril 2008, par KahinaLe gestion du foncier agricole en Algérie fera l’objet d’une loi qui obligerait les concessionnaires de terres à usage agricole de produire des biens agricoles.
Le foncier agricole devrait connaître dans les prochains mois une nouvelle configuration, avec notamment l’obligation aux concessionnaires de terres à usage agricole en Algérie de produire des biens agricoles, sinon gare à la sanction. Selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Saïd Barkat, un projet de (...)