M. Michael Klein, vice-président pour le développement du secteur prive conjointement a la Banque Mondiale (BM) et à la société financière internationale (SFI), et économiste en chef à la SFI, est attendu lundi à Alger pour une visite de travail de deux jours.
Cette visite d’un haut responsable de l’institution financière internationale, après celle effectuée, les 14 et 15 décembre dernier a Alger par M. Christian j. Portmann, vice président de la BM pour la région moyen orient et (...)
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Algérie- Secteur Bancaire
Articles
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Nouvelle phase dans la coopération entre l’Algérie et la Banque Mondiale
24 février 2004, par Hassiba -
Rapports Algérie - Banque mondiale
25 avril 2004, par HassibaA lire les derniers rapports de la Banque mondiale sur l’Algérie, une principale conclusion se dégage de cette lecture. Les relations Algérie - Banque mondiale (BM) ont évolué significativement.
Des relations qui remontent aux premières années de l’indépendance nationale. L’intervention, dès lors, de cette institution financière internationale portait essentiellement sur l’assistance et l’accompagnement d’Etats en phase de construction. Formation de cadres de différents secteurs (...) -
Banques : pour dynamiser l’investissement en Algérie
13 janvier 2005, par HassibaUne nouvelle fois, la Badr vient de créer l’événement en annonçant un taux d’intérêt de 5,25% pour les crédits d’investissement.
Soit le crédit le moins cher et le plus attractif sur la place bancaire dans la mesure où l’effort de réduction consenti est de l’ordre de 0,75 point, c’est-à-dire passant d’un taux de 6 à 5,25%. M. Farouk Bouyacoub, que nous avons joint, hier, nous a confirmé l’information en soulignant que ce bénéfice aura un effet rétroactif à compter du 1er janvier de (...) -
Les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars en Algérie
20 mai 2004, par HassibaL’augmentation du prix du pétrole aura des répercussions bénéfiques pour l’Algérie, du moins sur le plan financier. En effet, de par cette hausse, « les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars d’ici la fin de l’année ».
C’est ce que nous a déclaré le ministre des Finances, en marge des débats sur le programme du gouvernement entamés hier à l’Assemblée nationale. Le premier argentier du pays se voudra cependant très prudent par rapport à cette euphorie de la hausse (...) -
Philip Merril (Exim-Bank) : "Nous comptons investir encore plus en Algérie"
24 juillet 2004, par HassibaPour sa première visite en Algérie, le président de la banque Américaine Exim-Bank, Philip Merrill, est plutôt très satisfait. Une satisfaction qu’attestent ses propos tenus lors de la conférence de presse qu’il a animée jeudi dernier au siège de l’Ambassade des Etats-Unis à Alger.
Qu’avez-vous obtenu et offert à l’issue de votre visite en Algérie ? L’objectif de ma visite n’était pas d’offrir ou d’obtenir quelque chose, mais il s’agit beaucoup plus de s’enquérir des opportunités (...) -
Réforme bancaire en Algérie : Une urgence
30 août 2004, par HassibaCette mutation, qui doit absolument se concrétiser, à la veille de grands bouleversements (transition économique, ouvertures d’es marchés, accord d’association avec l’union européenne, négociations pour l’accession de l’Algérie à l’OMC, adhésion à la zone arabe de libre échange, UMA, etc), ne peut que confirmer, aux yeux de tous, que le passage d’une économie dirigiste à une économie de marché est une réalité qui se traduit, justement sur le terrain économique, par un train de réformes (...)
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L’atonie des crédits à l’économie en Algérie
9 juin 2004, par HassibaParmis les facteurs qui expliquent l’atonie des crédits à l’économie en Algérie : La prudence des banques à s’engager en faveur des crédits à l’économie, prudence qui peut avoir pour origine trois facteurs essentiels : Le cadre contraignant de l’activité bancaire, la déficience de l’environnement économique, la volatilité de leurs ressources.
Le cadre contraignant de l’activité bancaire Le marché du crédit en Algérie est animé exclusivement par les banques et les établissements (...) -
Faillite des banques privées algériennes
19 septembre 2004, par HassibaLa rencontre organisée les 15 et 16 septembre derniers à Annaba dans le cadre de l’université d’été de la Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité (CCFC) n’a valu que par quelques sujets directement liés à l’actualité des banques algériennes et de la finance nationale.
Ces sujets ont mis à nu un grand nombre d’imperfections à l’origine de la faillite de plusieurs banques privées et du rôle de tiroir caisse joué par celles publiques. Dans ce chapitre, le dossier d’El (...) -
Les actions de Khalifa Bank rachetées par la Société Générale
12 mai 2004, par HassibaConsidéré comme l’un des pôles phares du paysage financier français, la Société Générale se serait adjugé les 29% que détenait la défunte Khalifa Bank dans le capital social de la Société Générale Algérie. Le Groupe bancaire vient d’asseoir ses positions au sein de sa filiale algérienne.
C’est le très sérieux journal économique français Les Echos qui a rapporté l’information dans son édition de lundi. Aucune indication confirmant ou infirmant l’information n’a pu être obtenue, hier, de (...) -
Les bons points du FMI
21 novembre 2004, par HassibaLe Fonds monétaire international (FMI) recommande des actions décisives pour accroître le rôle des banques privées algériennes et souligne la nécessité d’améliorer sensiblement la supervision des banques.
Aussi, l’engagement du secteur privé dans la croissance économique nécessite-t-il l’accélération des réformes structurelles dont celle du secteur bancaire et la nécessité de renforcer les efforts d’assainissement des relations financières entre les banques et les entreprises publiques, (...)