Mouloud Hamrouche est la seule voix dissonante de cette élection présidentielle. Hier, au Forum de Djazaïr News, organisé à l’hôtel Sofitel, l’ancien Chef de gouvernement, sous Chadli Bendjedid, a persisté et signé : “le scrutin présidentiel est verrouillé. Ses résultats sont connus d’avance”.
De toute vraisemblance, il n’accorde pas beaucoup de crédit à la neutralité de l’armée, puisqu’il a affirmé que “le changement ne viendrait que de cette institution, quand elle le voudra bien”. (...)
Accueil > Mots-clés > (Mots sans groupe...) > Mouloud Hamrouche
Mouloud Hamrouche
Articles
-
Mouloud Hamrouche : “Le scrutin présidentiel est verrouillé”
1er avril 2004, par Hassiba -
Mouloud Hamrouche : “ Le scrutin est ouvert !"
6 avril 2004, par HassibaLiberté : Nous sommes à deux jours d’une élection présidentielle importante et inédite qui génère, à la fois, doutes et inquiétudes dans l’opinion. En tant qu’ancien Premier ministre et observateur, comment appréhendez-vous cette échéance ?
Mouloud Hamrouche : La nouveauté réside dans le fait que cette fois-ci l’on a affaire à des candidats issus du système, donc à une élection où il n’y a pas de programmes alternatifs au statu quo actuel. C’est pour cela que je parle d’une “compétition (...) -
Les vérités de Mouloud Hamrouche
10 mai 2005, par nassimVoulant probablement conforter sa réputation « d’homme des réformes » sur fond « d’homme politique averti », pour une première sortie après un long mutisme, Mouloud Hamrouche a reconnu que l’économie nationale est « hors normes ». Il a aussi avoué implicitement que « le cabinet noir » était cette expression qui faisait de l’Algérie un pays « qui se bat contre un ennemi qui n’existe pas ».
L’ex-chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, est donc sorti hier de son long mutisme en acceptant (...) -
43e anniversaire de la mort de Mouloud Feraoun
30 mars 2005, par nassimIl y a 43 ans, en ce jour du 15 mars, l’OAS assassinait six personnalités (dont Mouloud Feraoun), qui militaient pour le départ de l’armée française.
Il s’agit de Mouloud Feraoun, Ali Hamoutène et Salah Ould Aoudia, mais aussi des pieds-noirs tels Max Marchand, Robert Eymard et Marcel Basset, tous engagés intellectuellement au service de la cause algérienne.
En visant ces personnalités, l’organisation de Salan voulait assassiner l’espoir d’une Algérie libre et émancipée mais aussi (...)