Tlemcen, la deuxième ville de l'Oranie, fière de son passé glorieux et prospère, de ses monuments et ses faubourgs hispano-mauresques, de ses sites naturels, est une «ville d'art et d'histoire» comme l'a dénommée Georges Marçais.
Il est 21h. Le plateau de Lalla Setti, l’une des merveilles de Tlemcen qui surplombe majestueusement la ville, attire depuis deux ans de nombreux touristes et des familles en quête de détente, de calme et d'air frais. Cet endroit, qui culmine à 800 mètres d'altitude donne sur le quartier huppé de Birouana et le village de Attar et ses splendides cerisaies. L’esplanade et le petit lac sont pleins de monde.
«Il y a des familles qui préparent leur dîner chez eux et viennent le prendre spécialement ici», affirme le premier responsable de la Protection civile au niveau de cette ville. Munis de tout l'équipement du parfait touriste, provisions et caméras en main, les nombreux visiteurs qui s'y rendent ne semblent pas, en tout cas, mécontents. Et pourtant, il y a quelques années, l’endroit était loin d’être fréquentable, sauvage même, selon des Tlemçanisèiens. Grâce aux réaménagements routiers et autres infrastructures réalisées, comme le téléphérique, le site est devenu l’une des destinations les plus prisées de la ville.
Il est 21h. Le plateau de Lalla Setti, l’une des merveilles de Tlemcen qui surplombe majestueusement la ville, attire depuis deux ans de nombreux touristes et des familles en quête de détente, de calme et d'air frais. Cet endroit, qui culmine à 800 mètres d'altitude donne sur le quartier huppé de Birouana et le village de Attar et ses splendides cerisaies. L’esplanade et le petit lac sont pleins de monde.
«Il y a des familles qui préparent leur dîner chez eux et viennent le prendre spécialement ici», affirme le premier responsable de la Protection civile au niveau de cette ville. Munis de tout l'équipement du parfait touriste, provisions et caméras en main, les nombreux visiteurs qui s'y rendent ne semblent pas, en tout cas, mécontents. Et pourtant, il y a quelques années, l’endroit était loin d’être fréquentable, sauvage même, selon des Tlemçanisèiens. Grâce aux réaménagements routiers et autres infrastructures réalisées, comme le téléphérique, le site est devenu l’une des destinations les plus prisées de la ville.
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