Le symbole est un moyen d’expression et de communication, on l’utilise à chaque fois que le langage simple ou ordinaire ne peut avoir l’effet escompté ou plus encore si ce langage trahi la signification voulue.
Dans une certaine mesure ce langage simple peut être de mauvais goût et pourrais bien choqué quelquefois.
Toutes les populations du monde ont leur symbolisme spécifique à travers leurs dictons, proverbes et métaphores. Quand une discussion devient monotone ou incompréhensive, un proverbe vient jeter la lumière manquante et la signification revient de plus belle.
Les histoires de nos grand-mères illustrent bien ce fait et Djouha est l’héro numéro un de ces belles histoires…
Ma cousine bien plus âgée que moi m’ai raconté deux histoires, la première la voici :
Un jour Djouha et son fils, sur le dos de âne étaient allé faire des commissions du marché…
Les gens qui se trouvaient sur leur chemin voyaient que Djouha et son fils étaient cruels envers la bête. Djouha cédant à la critique, descend en laissant uniquement son fils sur le dos de l’âne…après un certains temps c’est un autre groupe d’individus qui trouvait que c’est le vieux Djouha qui devrait être sur le dos et non pas le fils, une nouvelle fois Djouha cède à la critique et descend à son tour et l’âne est désormais libre. Après une heure de marche une nouvelle fois des individus sur le chemins éclatant de rire faisant remarqué que Djouha et son fils étaient des cons en laissant la bête libre. Cette fois ci Djouha et son fils remonte l’âne comme dans la première fois mais le résultat est le même et les ne cessaient guère leurs satires. Remarquant que sa tentative à plaire aux gens est grande faillite, il s’est dit moi je suis libre de faire ce que je veux et je vais prendre l’âne sur mon dos et mon fils sur le dos de l’âne et que les gens parlent…
En effet cette petite histoire parle toute seule et n’a point besoin d’explication.
La deuxième histoire la voici :
Un jour des nomades voulurent se déplacer vers le nord. Pour emporter leurs bagages, ils chargèrent le pauvre chameau à un point où ne peut se relever sous un tel fardeau…il resta encore deux jarres, quelqu’un voulut les mettre sur le dos du chameau et la grand-mère cria :
- Le chameau est trop chargé, vous n’avez pas pitié de la bête ?
Mais le chameau rétorqua :
- Vous pouvez encore les mettre puisque de toute manière je ne vais pas me relever.
Ici le symbole est plutôt fait d’humour s’adressant à la naïveté des humains et aux gens qui se mettent dans des conditions de taches à ne jamais accomplir ou de circonstances à ne jamais s’en sortir…
Dans une certaine mesure ce langage simple peut être de mauvais goût et pourrais bien choqué quelquefois.
Toutes les populations du monde ont leur symbolisme spécifique à travers leurs dictons, proverbes et métaphores. Quand une discussion devient monotone ou incompréhensive, un proverbe vient jeter la lumière manquante et la signification revient de plus belle.
Les histoires de nos grand-mères illustrent bien ce fait et Djouha est l’héro numéro un de ces belles histoires…
Ma cousine bien plus âgée que moi m’ai raconté deux histoires, la première la voici :
Un jour Djouha et son fils, sur le dos de âne étaient allé faire des commissions du marché…
Les gens qui se trouvaient sur leur chemin voyaient que Djouha et son fils étaient cruels envers la bête. Djouha cédant à la critique, descend en laissant uniquement son fils sur le dos de l’âne…après un certains temps c’est un autre groupe d’individus qui trouvait que c’est le vieux Djouha qui devrait être sur le dos et non pas le fils, une nouvelle fois Djouha cède à la critique et descend à son tour et l’âne est désormais libre. Après une heure de marche une nouvelle fois des individus sur le chemins éclatant de rire faisant remarqué que Djouha et son fils étaient des cons en laissant la bête libre. Cette fois ci Djouha et son fils remonte l’âne comme dans la première fois mais le résultat est le même et les ne cessaient guère leurs satires. Remarquant que sa tentative à plaire aux gens est grande faillite, il s’est dit moi je suis libre de faire ce que je veux et je vais prendre l’âne sur mon dos et mon fils sur le dos de l’âne et que les gens parlent…
En effet cette petite histoire parle toute seule et n’a point besoin d’explication.
La deuxième histoire la voici :
Un jour des nomades voulurent se déplacer vers le nord. Pour emporter leurs bagages, ils chargèrent le pauvre chameau à un point où ne peut se relever sous un tel fardeau…il resta encore deux jarres, quelqu’un voulut les mettre sur le dos du chameau et la grand-mère cria :
- Le chameau est trop chargé, vous n’avez pas pitié de la bête ?
Mais le chameau rétorqua :
- Vous pouvez encore les mettre puisque de toute manière je ne vais pas me relever.
Ici le symbole est plutôt fait d’humour s’adressant à la naïveté des humains et aux gens qui se mettent dans des conditions de taches à ne jamais accomplir ou de circonstances à ne jamais s’en sortir…
Commentaire