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Des doctorants ou des docteurs dans la salle?

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  • #31
    C'est tout à fait exact Sapien.
    Si je ne peux pas faire un DESS alors j'arrête mes études à la maîtrise. C'est dommage mais je ne me vois absolument pas faire un DEA et encore trois années de thèse.
    Quand le sage montre la lune l'idiot regarde le doigt.

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    • #32
      Louisa

      Pour le DESS, tu as intéret à avoir un super dossier depuis la license, et il faut pas oublier de faire un peu de leche auprès des profs pour avoir des recommandations de leur part(c'est parfois plus efficaces que des bonnes notes ).
      "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo

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      • #33
        Coucou Sapien !

        Pour la lèche c'est foutu, j'en suis incapable ! Certains profs ne m'ont jamais vu durant l'année. Et je crois que pour le dossier en bêton depuis la licence, je peux aussi oublier.
        Je crois que la solution est déjà vite trouvé
        Dernière modification par Louisa, 24 août 2005, 23h10.
        Quand le sage montre la lune l'idiot regarde le doigt.

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        • #34
          Louisa

          Sorrowearth, le DEA et le DESS ne sont pas équivalent à une maîtrise. Une maîtrise c'est Bac + 4 et un DEA ou DESS est un Bac + 5.
          Louisa,
          Quand j'ai dit c'est équivalent à la maitrise, c'étais pour Bachi, parceque la maitrise, dans le système anglo-saxon est un MSc (Master of science) ce n'est pas la meme signification qu'en France.

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          • #35
            C'était bien ce que j'avais cru comprendre, Sorrowheart.

            J'ai fini par réaliser, suite à une recherche, que le système d'équivalence entre les

            diplômes français et québécois. n'était pas si simple du tout. Il a été bâti depuis peu d'années et entériné par une lettre d'entente entre les deux états.


            Ici, c'est bien simple, comme études universitaires, il y a essentiellement

            - le premier cycle donnant droit en fin de parcours à un Baccalauréat. Ce cycle dure de 3 à 4 années, selon la discipline.

            - le second cycle menant à une maîtrise et dure généralement deux années au minimum.

            - Le troisième cycle menant au PHD ( philosophae doctorat) et dure de 4 à 5 années dans les meilleurs cas.



            Il y a aussi une flopée de mineures et de majeures, des certificats de toutes sortes, mais cela est toute une autre histoire et ne fait pas partie d'un cheminement normal,

            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #36
              j'aimerai ajouter que pour bosser il est nécessaire de le faire collectivement
              le problème dans notre labo est qu'on n'en a pas on est tous éparpillé chez nous et on fait des réunions mensuelles bizzars où tous les thésards (ou doctorants) doivent être présents mais l'effectif diminue car ils n'y voient aucun intérêt et donc préfère chercher du boulot pour financer leurs thèses
              deuxièmement nous sommes mal suivis voire abandonnés
              nos directeurs sotn préoccupés par leurs livres et articles et ne nous consacrent pas beaucoup d'intérêt et nous aussi nous ne portons pas beaucoup d'importance à ce mémoire
              j'ai quelques collègues de villes différentes qui s'arrangent pour se voir entre eux et discuter de leurs recherches (table ronde) c'est motivant et enrichissant car chacun apporte de l'information mais aussi peut en recevoir
              si je voyais els autres bosser je vous assure que je bosserai car c'es en voyant les autres travailler que je m'y mets sérieusement mais quant on est tous lâchés dans la nature alors on prend plus de liberté à rien faire d'où l'inconvénient des doctorants de notre labo
              " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
              Proverbe Chinois

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              • #37
                Tu as bien raison mon petit Chakib, la voie de la sagesse est en toi !!
                Il est vrai que pour faire une thèse il faut aimer la recherche et être motivé, mais au fond crois tu vraiment que qq normalement constitué dans sa tête serait prêt à investire 4 ans de sa vie si il n’était pas motivé ? alors qu’il pourrait très bien aller bosser et gagner beaucoup beaucoup mieux sa vie ?
                Du coup je pense que c’est juste des passages à vide (surtout avec les vacances …pas motivant de voire une fac vide !! ), mais qu’a la rentrée tout le monde va s’y mettre …n’est ce pas Zlabiya ? ..Allez courage ma grande !!

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                • #38
                  Bonjour,

                  Le plus difficile c’est a la fin, quand on rédige sa thèse et on se rend compte qu’on n’a pas grand-chose à écrire. J’ai du consoler des hommes et des femmes avec des larmes yeux durant cette périodes. La fin de la thèse est très stressante, beaucoup de regrets, car souvent on n’est pas satisfait du bilan des 3, 4 voir 5 années de recherche.

                  Autant que possible il faut travailler en équipe car c’est le meilleur moyen de garder sa motivation toujours élevée. Présenter ses progrès même incomplets à ces collègues aussi souvent que possible, c’est le meilleur moyen pour clarifier ses propres pensées. S’intéresser de très près a la recherche des autres même si ce n’est pas votre domaine, car c’est le meilleur moyen pour pour maintenir un esprit vif et critique et souvent vous fait révéler des nouvelles idées.

                  Bon courage chers thèsards,

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                  • #39
                    Bonsoir,
                    le problème dans notre labo est qu'on n'en a pas on est tous éparpillé chez nous et on fait des réunions mensuelles bizzars où tous les thésards (ou doctorants) doivent être présents mais l'effectif diminue car ils n'y voient aucun intérêt et donc préfère chercher du boulot pour financer leurs thèses
                    deuxièmement nous sommes mal suivis voire abandonnés
                    nos directeurs sotn préoccupés par leurs livres et articles et ne nous consacrent pas beaucoup d'intérêt et nous aussi nous ne portons pas beaucoup d'importance à ce mémoire
                    Je crois que ce genre de problème existe partout. Dans certains laboratoires on ne se réunisse même pas et si on le fait dans d'autres c'est juste pour parler de la manière de repartir le budget sur les différentes composantes du laboratoire. Ils sont très rares les laboratoires qui sont sérieux et qui maintiennent des réunions scientifiques.

                    Je pense qu'il existe un réel problème d'encadrement car je ne connais pas un seul doctorant, dans mon entourage, qui soit satisfait de sa situation. On a l'impression que les doctorants ne sont là que pour aider les encadrants à monter en grade en publiant un maximum d'articles, d'ailleurs la rigueur scientifique et l'exactitude des résultats publiés laisse à désirer.

                    Pour les futurs doctorants (qu'ils soient motivés ou pas), je leur conseille vivement de se renseigner sur le laboratoire d'accueil et sur les compétences de leurs futurs encadrants avant de s'engager. Ca vous évitera d'énorme problèmes croyez-moi...considérez que vous allez recruter vos encadrants.
                    (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

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                    • #40
                      Pour les futurs doctorants (qu'ils soient motivés ou pas), je leur conseille vivement de se renseigner sur le laboratoire d'accueil et sur les compétences de leurs futurs encadrants avant de s'engager. Ca vous évitera d'énorme problèmes croyez-moi...considérez que vous allez recruter vos encadrants.
                      Excellent conseil.
                      Je ne connais pas comment les choses se font en France, mais pour le Québec, le conseil est très pertinent.
                      Le hic, c'est oû se renseigner?
                      L'université vous racontera des pipes.
                      Le département, aussi.
                      Les collègues doctorants, beaucoup craindront les réprésailles.
                      Il vous faudra trouver des gradués de l'extérieur.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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