Ingrid Betancourt a annoncé qu'elle ne se coupera les cheveux qu'une fois que tous les otages détenus par les Farc seront libérés...
Plus qu'un symbole. Ingrid Betancourt a annoncé qu'elle ne se coupera les cheveux qu'une fois que tous les otages détenus par les Farc seront libérés. "Je ne vais pas me couper les cheveux avant que le dernier de mes compagnons séquestrés soit rentré à la maison" a déclaré mardi soir depuis son hôtel parisien l'ex-otage libérée le 2 juillet après six années de captivité dans la jungle colombiennedans une interview sur la chaîne privée Caracol.
"Ce n'est pas commode. C'est compliqué à entretenir, cela m'oblige à me faire des tresses (...), mais c'est comme cela que je suis restée durant toutes ces années parce que je voulais que ce soit comme une preuve visuelle du temps passé dans la jungle", ajoute-t-elle à propos d'une chevelure qui lui arrive au niveau de la ceinture. "Chaque centimètre de plus représentait des mois de captivité."
Ingrid Betancourt, qui possède la double nationalité française et colombienne, et quatorze autres otages, trois Américains et onze Colombiens, ont été libérés le 2 juillet dans une opération de l'armée colombienne. Depuis, elle s'est rendue à Paris où elle a reçu de multiples hommages au plus haut niveau de l'État français, subi des examens médicaux et enchaîné les interviews à la presse internationale.
- Le Point
Plus qu'un symbole. Ingrid Betancourt a annoncé qu'elle ne se coupera les cheveux qu'une fois que tous les otages détenus par les Farc seront libérés. "Je ne vais pas me couper les cheveux avant que le dernier de mes compagnons séquestrés soit rentré à la maison" a déclaré mardi soir depuis son hôtel parisien l'ex-otage libérée le 2 juillet après six années de captivité dans la jungle colombiennedans une interview sur la chaîne privée Caracol.
"Ce n'est pas commode. C'est compliqué à entretenir, cela m'oblige à me faire des tresses (...), mais c'est comme cela que je suis restée durant toutes ces années parce que je voulais que ce soit comme une preuve visuelle du temps passé dans la jungle", ajoute-t-elle à propos d'une chevelure qui lui arrive au niveau de la ceinture. "Chaque centimètre de plus représentait des mois de captivité."
Ingrid Betancourt, qui possède la double nationalité française et colombienne, et quatorze autres otages, trois Américains et onze Colombiens, ont été libérés le 2 juillet dans une opération de l'armée colombienne. Depuis, elle s'est rendue à Paris où elle a reçu de multiples hommages au plus haut niveau de l'État français, subi des examens médicaux et enchaîné les interviews à la presse internationale.
- Le Point
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