L’Italie nous montre que c’est possible. Ils ont réduit leur déficit public de 7,2 % du PIB en 2023 à 3,4 % en 2024, passant de 161 à 76 milliards d’euros en un an. Incroyable, non ? Pendant ce temps, en France, on patauge : 169,6 milliards de déficit en 2024, soit 6 % du PIB, une dette publique à plus de 112 %, et 50 milliards rien que pour payer les intérêts. L’Espagne, le Portugal, les pays d’Europe de l’Est avancent à grands pas, mais nous, on reste coincés. Et non, ce n’est pas la faute des Français, c’est l’État qui nous freine.
Franchement, comment le gouvernement peut faire l’autruche face à ce fiasco ? Est-ce qu’on va se faire doubler par tout le monde, devenir faibles au point que nos voisins nous passent devant ? Qu’est-ce qu’on peut faire, à l’échelle de l’État et pour nous, simples citoyens ? Et surtout, quel est ce storytelling qu’on nous sert sur LCI, où on nous fait prendre des vesses pour des lanternes ? Allons-y, on décortique tout ça.
Ce qui cloche en France
La France, c’est un pays qui se dit libéral mais qui agit comme une machine de gauche radicale. On te prélève 60 % de ce que tu gagnes, 140 milliards partent dans des agences publiques inutiles – des planques pour les copains, en gros –, 13 % pour une Sécurité sociale obligatoire, 18 % pour une retraite par répartition qui ressemble à une arnaque géante. Et tiens-toi bien : on a 925 parlementaires, 600 députés et 348 sénateurs, payés 15 000 euros par mois avec des privilèges à gogo. Aux États-Unis, avec 334 millions d’habitants, ils se débrouillent avec 535 élus. Nous, 70 millions, on pourrait s’en sortir avec 41 sénateurs et 50 députés, payés au SMIC, point barre.
Le succès italien
En Italie, Giorgia Meloni a divisé le déficit par deux en un an, grâce à une politique économique de droite et un gouvernement stable. Pas de magie : leur État ne plombe pas les entreprises comme chez nous. En France, c’est tout l’inverse : un État glouton bouffe nos impôts et nous rend des miettes. Merci pour le tour de passe-passe !
Comment on s’en sort
Pour l’État, il faut faire le ménage : virer les trois quarts des parlementaires, garder 50 députés max, et bye-bye le Sénat, cet EHPAD de luxe dirigé par Larcher. On supprime à la tronçonneuse ces agences publiques inutiles, et hop, 140 milliards d’économies. On limite à quatre ministères : Intérieur, Économie, Justice, et un dernier tiré au sort. Et surtout, on adopte une politique économique de droite, comme l’Italie ou l’Espagne, qui font mieux que l’Allemagne.
Et toi, qu’est-ce que tu peux faire ? D’abord, fais entendre ta voix car Macron et ses députés parleront à ta place. Ensuite, prépare ta retraite, parce que le système actuel, c’est du vent. Mets de l’argent de côté dans un portefeuille chaque mois, un petit investissement dans un ETF S&P 500, genre 200 euros. Ce n’est pas un conseil d’investissement, fais tes recherches, mais chaque euro que tu places échappe à l’État. Sur 20 ou 30 ans, ça grossit tout seul. En ce moment, c’est le bon moment pour acheter, sur le long terme, tu gagnes, pas comme Nicolas, 30 ans, qui se fait plumer pour une retraite qu’il ne verra jamais.
En conclusion
L’Italie a coupé 90 milliards de déficit en un an. Avec un bon coup de balai, on pourrait économiser 160 milliards en 12 mois : fini les perruques hors de prix, les petits-déjeuners de Larcher, les agences bidon. Si on continue à gaver cet État glouton, la dette va exploser, et on finira en récession, au fond du trou. Qu’en penses-tu ? Faut-il faire comme l’Italie et tout secouer ?
Franchement, comment le gouvernement peut faire l’autruche face à ce fiasco ? Est-ce qu’on va se faire doubler par tout le monde, devenir faibles au point que nos voisins nous passent devant ? Qu’est-ce qu’on peut faire, à l’échelle de l’État et pour nous, simples citoyens ? Et surtout, quel est ce storytelling qu’on nous sert sur LCI, où on nous fait prendre des vesses pour des lanternes ? Allons-y, on décortique tout ça.
Ce qui cloche en France
La France, c’est un pays qui se dit libéral mais qui agit comme une machine de gauche radicale. On te prélève 60 % de ce que tu gagnes, 140 milliards partent dans des agences publiques inutiles – des planques pour les copains, en gros –, 13 % pour une Sécurité sociale obligatoire, 18 % pour une retraite par répartition qui ressemble à une arnaque géante. Et tiens-toi bien : on a 925 parlementaires, 600 députés et 348 sénateurs, payés 15 000 euros par mois avec des privilèges à gogo. Aux États-Unis, avec 334 millions d’habitants, ils se débrouillent avec 535 élus. Nous, 70 millions, on pourrait s’en sortir avec 41 sénateurs et 50 députés, payés au SMIC, point barre.
Le succès italien
En Italie, Giorgia Meloni a divisé le déficit par deux en un an, grâce à une politique économique de droite et un gouvernement stable. Pas de magie : leur État ne plombe pas les entreprises comme chez nous. En France, c’est tout l’inverse : un État glouton bouffe nos impôts et nous rend des miettes. Merci pour le tour de passe-passe !
Comment on s’en sort
Pour l’État, il faut faire le ménage : virer les trois quarts des parlementaires, garder 50 députés max, et bye-bye le Sénat, cet EHPAD de luxe dirigé par Larcher. On supprime à la tronçonneuse ces agences publiques inutiles, et hop, 140 milliards d’économies. On limite à quatre ministères : Intérieur, Économie, Justice, et un dernier tiré au sort. Et surtout, on adopte une politique économique de droite, comme l’Italie ou l’Espagne, qui font mieux que l’Allemagne.
Et toi, qu’est-ce que tu peux faire ? D’abord, fais entendre ta voix car Macron et ses députés parleront à ta place. Ensuite, prépare ta retraite, parce que le système actuel, c’est du vent. Mets de l’argent de côté dans un portefeuille chaque mois, un petit investissement dans un ETF S&P 500, genre 200 euros. Ce n’est pas un conseil d’investissement, fais tes recherches, mais chaque euro que tu places échappe à l’État. Sur 20 ou 30 ans, ça grossit tout seul. En ce moment, c’est le bon moment pour acheter, sur le long terme, tu gagnes, pas comme Nicolas, 30 ans, qui se fait plumer pour une retraite qu’il ne verra jamais.
En conclusion
L’Italie a coupé 90 milliards de déficit en un an. Avec un bon coup de balai, on pourrait économiser 160 milliards en 12 mois : fini les perruques hors de prix, les petits-déjeuners de Larcher, les agences bidon. Si on continue à gaver cet État glouton, la dette va exploser, et on finira en récession, au fond du trou. Qu’en penses-tu ? Faut-il faire comme l’Italie et tout secouer ?
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