Ce sont des propos qui vont sans aucun doute susciter la polémique. Invitée de Sonia Mabrouk sur CNews et Europe 1 ce mercredi 29 janvier, la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, a évoqué la multiplication des agressions au couteau en France.
D’après l’édile, les auteurs ont généralement « des origines liées à l’islam » estimant que ces multiples attaques – « 120 par jour » – relevaient d’un « aspect culturel. » Et d’aller même encore plus loin : « Généralement, on retrouve les mêmes typologies d’auteurs derrière ces faits ». Avant de décrire : « Bien souvent, les auteurs ne sont pas des Français de souche. »
« Ce n'est plus une submersion » mais « un raz-de-marée » dans les grands ensembles
Toujours face à la journaliste Sonia Mabrouk, la maire de Romans a également jugé qu’un « flux continu d’immigration » arrivait dans certains secteurs. « Le peuplement de ces quartiers n’est absolument pas maîtrisé ».
En référence au sondage CSA pour Europe 1, CNews et le JDD, dans lequel 2 Français sur 3 estiment que la France est submergée par l’immigration, le maire de Romans lâche tout de go : « Il suffit de regarder aussi les réactions. Je lis que le PS s’offusque que ce sont des mots qui correspondent au champ lexical du Front national… Non, ce sont les mots des Français », poursuit-elle.
Marie-Hélène Thoraval est aussi revenue sur les récents propos polémiques de François Bayrou qualifiant de « submersion » migratoire la situation de Mayotte et de certains autres départements. L’élue drômoise estime que la situation n’est « plus une submersion, mais carrément « un raz-de-marée » dans les grands ensembles.
Au sujet de la régularisation des travailleurs sans-papiers même dans les métiers en tension, Marie-Hélène Thoraval a rappelé « à toutes fins utiles qu’on a plus de 3 millions de chômeurs avec à peu près 1,9 million personnes qui sont au RSA. On n’est pas capable d’aller les former et de faire en sorte qu’ils acquièrent les compétences qui correspondent à ces métiers en tension ? » et d’ajouter : « Je pense que ça serait une mesure prioritaire », poursuit-elle.
La maire plaide également pour « un tour de vis » face à ceux en capacité de travailler et qui se satisferaient des allocations sans souhait de retour vers le marché de l’emploi. Deux-tiers des personnes au RSA pourraient retrouver le chemin du travail, » estime-t-elle encore.
Source : Le Dauphiné libéré - 29/01/2025
D’après l’édile, les auteurs ont généralement « des origines liées à l’islam » estimant que ces multiples attaques – « 120 par jour » – relevaient d’un « aspect culturel. » Et d’aller même encore plus loin : « Généralement, on retrouve les mêmes typologies d’auteurs derrière ces faits ». Avant de décrire : « Bien souvent, les auteurs ne sont pas des Français de souche. »
« Ce n'est plus une submersion » mais « un raz-de-marée » dans les grands ensembles
Toujours face à la journaliste Sonia Mabrouk, la maire de Romans a également jugé qu’un « flux continu d’immigration » arrivait dans certains secteurs. « Le peuplement de ces quartiers n’est absolument pas maîtrisé ».
En référence au sondage CSA pour Europe 1, CNews et le JDD, dans lequel 2 Français sur 3 estiment que la France est submergée par l’immigration, le maire de Romans lâche tout de go : « Il suffit de regarder aussi les réactions. Je lis que le PS s’offusque que ce sont des mots qui correspondent au champ lexical du Front national… Non, ce sont les mots des Français », poursuit-elle.
Marie-Hélène Thoraval est aussi revenue sur les récents propos polémiques de François Bayrou qualifiant de « submersion » migratoire la situation de Mayotte et de certains autres départements. L’élue drômoise estime que la situation n’est « plus une submersion, mais carrément « un raz-de-marée » dans les grands ensembles.
Au sujet de la régularisation des travailleurs sans-papiers même dans les métiers en tension, Marie-Hélène Thoraval a rappelé « à toutes fins utiles qu’on a plus de 3 millions de chômeurs avec à peu près 1,9 million personnes qui sont au RSA. On n’est pas capable d’aller les former et de faire en sorte qu’ils acquièrent les compétences qui correspondent à ces métiers en tension ? » et d’ajouter : « Je pense que ça serait une mesure prioritaire », poursuit-elle.
La maire plaide également pour « un tour de vis » face à ceux en capacité de travailler et qui se satisferaient des allocations sans souhait de retour vers le marché de l’emploi. Deux-tiers des personnes au RSA pourraient retrouver le chemin du travail, » estime-t-elle encore.
Source : Le Dauphiné libéré - 29/01/2025
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