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Gérer les difficultés de contact : une approche axée sur l'enfant - ANNEXE B : DÉFINITIONS DE L'ALIÉNATION PARENTALE

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  • Gérer les difficultés de contact : une approche axée sur l'enfant - ANNEXE B : DÉFINITIONS DE L'ALIÉNATION PARENTALE

    DÉFINITIONS DE L'ALIÉNATION PARENTALE

    Tirées de diverses sources


    Pour mieux comprendre les formulations concernant les difficultés de contact et la controverse entourant le concept d'aliénation parentale et le syndrome d'aliénation parentale, nous avons recueilli toutes les définitions que nous avons pu trouver dans la documentation afin de les comparer. Nous les présentons ici au lecteur pour qu'il puisse évaluer lui‑même les similarités et les différences entre elles.
    Clawar et Rivlin (1991 : 9)
    « Dans la plupart des cas de divorce où il y a de l'animosité et des conflits entre les parents, on note un certain niveau de lavage de cerveau et de programmation des enfants. »
    Darnall (1998 : 3 à 5)
    « L'aliénation parentale (AP) est tout ensemble de comportements, conscients ou inconscients, qui pourraient perturber la relation entre un enfant et l'autre parent. » Cette définition diffère de celle du syndrome d'aliénation parentale (SAP) qui a été établie à l'origine par Richard Gardner (Ph.D.) en 1987.

    « Il y a une différence entre l'aliénation parentale et le syndrome d'aliénation parentale, bien que les symptômes ou ce qui est observé chez les enfants puissent être semblables. La distinction entre les deux est que l'aliénation parentale gravite autour de la façon dont le parent aliénant se comporte envers les enfants et le parent ciblé. Les symptômes du syndrome d'aliénation parentale sont les comportements et les attitudes des enfants envers le parent ciblé après que l'enfant a été effectivement programmé et gravement aliéné par rapport au parent ciblé. »

    « Pour le mieux‑être de l'enfant et la tranquillité d'esprit du parent, il est essentiel de comprendre l'aliénation parentale et le syndrome d'aliénation parentale. Parents divorcés, grands‑parents, juges, avocats et travailleurs en santé mentale doivent tous comprendre la dynamique de l'aliénation parentale et du syndrome d'aliénation parentale, reconnaître le comportement symptomatique et recourir à des tactiques pour combattre cette maladie. »

    « On ne peut supposer que le parent ciblé est sans torts. Celui-ci peut devenir « aliénateur » quand il réagit à sa propre souffrance. Cela le place dans le rôle de l'aliénateur alors que l'autre parent devient la victime. Les rôles deviennent flous parce qu'il est difficile de savoir lequel des deux parents est aliénateur et lequel est ciblé. Souvent, les deux parents se sentent des victimes. Il est important de se rappeler que l'aliénation est un processus, et non une personne. »
    Darnall (1997 : 1)
    « Avec l'une ou l'autre définition [celle de Gardner ou de Darnell], la motivation du parent aliénant comporte à la fois un élément conscient et un autre, subconscient ou inconscient. Les enfants eux-mêmes peuvent avoir des motivations qui aggravent l'aliénation... Souvent, ils ignorent comment on les utilise. Il est très important de comprendre que, si l'enfant est fâché et refuse de visiter le parent ciblé à cause de mauvais traitements ou de négligence réels, son comportement n'est pas une manifestation du SAP. C'est pour cette raison que la question des fausses allégations est si importante. »

    « Une autre différence... est l'accent que je place sur les parents aliénants plutôt que sur la gravité des symptômes... l'aliénation est un processus réciproque qui met en cause les deux parents. »
    Ellis (2000 : 209, 228)
    « Le terme utilisé par Gardner est maintenant devenu la norme qui sert à décrire ce phénomène, bien qu'il désigne parfois le comportement de l'enfant et, à d'autres moments, celui du parent aussi. Cette distinction peut être subtile mais elle est importante, car elle alimente la confusion en ce domaine... bien que l'emploi du terme SAP soit répandu, il n'est pas universellement respecté. Il n'est pas reconnu par l'American Psychiatric Association parce qu'aucune recherche n'a établi les critères précis permettant de diagnostiquer ce syndrome. De plus, il n'y a pas de données établissant les taux de fréquence, l'évolution du syndrome dans le temps, les différences entre les sexes ou le pronostic... Toutes ces objections mises à part, le SAP a été accepté par les cliniciens parce qu'il est constamment observé dans les cas de litiges âpres et prolongés entourant la garde et le droit de visite. »

    « Le SAP est défini comme une variante bénigne de la folie à deux. La caractéristique essentielle de ce trouble est une résistance persistante aux contacts avec le parent ciblé et un système de croyance de persécution chez l'enfant envers ce parent. Ce système délirant s'établit à cause d'une relation imbriquée avec un parent qui a déjà un système faussé de croyances qui le convainquent d'avoir été et de continuer à être persécuté par l'ancien époux. Les déformations de la réalité chez le parent et l'enfant sont identiques. Le contenu des croyances est normalement dans le domaine du possible et se fonde souvent sur des expériences passées communes au parent et à l'enfant. »
    Gardner (1992 : 62, 64)
    « Le trouble reflète une situation où la programmation parentale se combine avec les scénarios de dénigrement du parent censément haï par l'enfant. S'il s'agissait ici simplement d'endoctrinement parental, je retiendrais probablement un concept de lavage de cerveau ou de programmation. Puisque ce trouble fait intervenir la combinaison susmentionnée, j'ai décidé qu'il fallait un nouveau terme qui engloberait les deux facteurs... C'est l'exagération de faiblesses et de déficiences mineures qui distingue le syndrome d'aliénation parentale. Lorsqu'il y a réellement des mauvais traitements, l'hostilité de l'enfant est méritée et le concept du syndrome d'aliénation parentale ne s'applique pas. »

    « Il est important que le lecteur comprenne que, pour le syndrome d'aliénation parentale comme pour tout trouble psychiatrique, il y a un continuum qui va de la manifestation la plus bénigne à la plus grave, en passant par la manifestation modérée. »
    Garrity et Baris (1994 : 65 et 66)
    « ... bon nombre de parents et de spécialistes, pour qui l'aliénation parentale est un équivalent brut du "lavage de cerveau", emploient ce terme pour attribuer le blâme uniquement à un parent pour le rejet de l'autre parent par l'enfant. Cependant, les relations parents-enfant sont rarement aussi simples. Le rejet d'un parent est un processus complexe auquel contribuent enfants et parents selon leur tolérance individuelle au conflit... Lorsqu'on envisage le syndrome d'aliénation parentale, il importe de se rappeler qu'il n'est défini par aucun jeu de critères convenus et que la recherche scientifique n'en a ni documenté l'existence ni décrit complètement les manifestations cliniques. Malgré cela, l'aliénation parentale est très réelle. Elle se produit quand un parent convainc l'enfant que l'autre parent ne mérite ni sa confiance ni son amour ou qu'il ne s'occupe pas de lui, bref, qu'il n'est pas un bon parent. Cette façon de convaincre peut être délibérément malveillante et viser à détruire la relation de l'enfant avec l'autre parent. Ou elle peut prendre une forme plus insidieuse, inconsciente même, qui tient à des problèmes de personnalité non réglés provenant de l'enfance de l'un des parents. »
    Hayward (1999 : 1 et 2)
    « Le syndrome d'aliénation parentale (SAP) est le dénigrement systématique d'un parent par l'autre afin de lui aliéner l'enfant. L'aliénation a généralement pour but d'obtenir ou de conserver la garde sans la participation du parent qui ne l'a pas. Elle s'étend habituellement à la famille de ce dernier parent et à ses amis. Même si les cas de SAP décrits dans le présent document mettent le père comme n'ayant pas la garde, il doit être clair qu'il y en a bien d'autres où c'est la mère qui ne l'a pas... »

    « Cependant, lorsque les pères ont la garde, eux aussi peuvent aliéner l'enfant de la mère, et cela est très fréquent. Il existe des cas où le tuteur aliène les enfants des parents. Je connais un cas où la grand‑mère maternelle a obtenu la garde de l'enfant et un autre où c'est la sœur de la mère qui l'a obtenue et où les enfants ont été aliénés de la mère. Je connais aussi le cas d'une mère qui a aliéné ses enfants de sa propre famille et un autre où un enfant a aliéné ses frères et sœurs du père. »
    Hobbs (2002 : 381)
    « Le SAP est une affection par laquelle un parent tente, de manière inappropriée et par tous les moyens possibles, d'affaiblir le pouvoir de l'autre parent et donc sa capacité à s'occuper d'un enfant ou même d'entretenir des relations avec lui. Cela a des conséquences immenses sur l'enfant. La nature du SAP est telle que ces parents tentent d'exploiter toutes les possibilités pour faire avancer leur cause au sein du système judiciaire comme dans tout autre système, en fait, dans lequel ils sont engagés... »
    Johnston (1993 : 110 et 111)
    « ... la résistance d'un enfant à visiter le parent non résidentiel a souvent été assimilée à l'alignement parent‑enfant (ou aliénation parent‑enfant) et donc confondue avec ce phénomène. Il faut faire des distinctions entre ces deux genres de phénomène. La résistance de l'enfant à visiter le parent non résidentiel comprend une vaste gamme de comportements observables où l'enfant, pour quelque raison que ce soit, se plaint verbalement ou par des gestes et résiste à passer du temps avec lui. Elle peut être évidente seulement au moment de la transition d'un foyer à l'autre ou peut comporter des plaintes intermittentes ou continuelles au sujet des visites. Dans les cas extrêmes, elle peut comprendre un refus complet de tout contact avec l'autre parent... l'enfant peut être hostile ou non ou encore négatif envers le parent qu'il hésite à visiter bien que, dans les cas extrêmes, une peur et une attitude négative sont souvent exprimées... l'hésitation à visiter et l'alignement/aliénation se chevauchent empiriquement mais sont des phénomènes distincts. »
    Kelly et Johnston (2001 : 251)
    « Cette formulation propose de se concentrer sur l'enfant aliéné plutôt que sur l'aliénation parentale. L'enfant aliéné est défini ici comme un enfant qui exprime, librement et avec persistance envers un parent, des sentiments négatifs déraisonnables ainsi que des croyances (telles que la colère, la haine, le rejet ou la peur) qui sont considérablement disproportionnés par rapport à l'expérience réelle de l'enfant avec ce parent. De ce point de vue, les comportements pernicieux d'un parent « programmateur » ne sont plus le point de départ. Plutôt, l'étude du problème de l'enfant aliéné consiste à se concentrer d'abord sur l'enfant, son comportement observable et les relations parents-enfant. Ce point de vue objectif et neutre permet aux spécialistes qui s'occupent du litige entourant la garde d'envisager si l'enfant peut être correspond à la définition d'aliéné et, le cas échéant, de chercher un cadre plus inclusif permettant d'évaluer pourquoi l'enfant rejette maintenant un parent et refuse tout contact. »
    ...

  • #2
    ...

    McDonough et Bartha (1999 : 108, 110)

    « Dans le syndrome d'aliénation parentale, un parent se convainc, sans justification aucune ou presque, que l'enfant serait plus heureux sans l'autre parent. Il informe l'enfant qu'il déteste l'autre parent. Il le fait soit subtilement ou par son attitude ou encore ouvertement par son comportement et ses paroles. Il fait comprendre à l'enfant son dégoût de l'autre parent. Le parent auteur de ces messages à l'enfant est appelé "parent aliénant". Il peut s'agir de n'importe quel des deux parents, bien que ce soit plus souvent celui avec lequel vit l'enfant. L'autre parent est dit "parent aliéné. »

    « Le syndrome d'aliénation parentale est une mauvaise appellation : ce devrait être le "syndrome d'aliénation de l'enfant", car c'est vraiment l'enfant qui devient aliéné. »


    Stahl (2000 : 120)

    « Il y a aliénation d'un enfant à un parent par l'autre lorsque celui-ci force l'enfant, soit subtilement soit ouvertement, à établir avec lui des liens de loyauté et à mépriser l'autre parent. Cela se produit souvent dans les disputes entourant la garde où ce parent dénigre constamment l'autre parent auprès des enfants. Certains enfants se font laver le cerveau et on fait en sorte qu'ils en viennent à craindre l'autre parent. Un parent aliène ses enfants de l'autre parent lorsqu'il est blessé ou fâché contre lui. »


    Stoltz & Ney (2002 : 226)

    « La "résistance aux visites" est définie comme tout ensemble de comportements, de la part de l'enfant, des parents et des autres participants au conflit, qui amène à cesser les visites du parent n'ayant pas la garde ou qui les entrave de façon significative. La résistance comprend donc le vaste continuum des comportements des diverses parties concernées (parents, enfants, avocats, familles, spécialistes, etc.), allant (par exemple) de plaintes verbales aux retards répétés à ramener l'enfant, en passant par le refus de celui-ci à voir le parent qui n'a pas la garde, et ainsi de suite. Remarquez que le terme "résistance" est préféré au "rejet" du parent qui n'a pas la garde, terme qui est trop détaché des faits pour être utile, à notre avis. »


    Sturge et Glaser (2000 : 622)

    « Le syndrome d'aliénation parentale n'existe pas en ce sens qu'il n'est reconnu ni dans la classification américaine des troubles mentaux (DSMIV), ni dans la classification internationale des troubles (ICD10), ni généralement dans notre spécialité de la santé mentale des enfants et dans les spécialités connexes.

    « Nous ne croyons pas que ce soit un concept utile et nous estimons que le genre de problème que le nom de ce trouble vise à désigner serait davantage une hostilité implacable. La différence essentielle importante est que le syndrome d'aliénation parentale suppose une cause (maladresse ou méchanceté de la part du parent résidentiel) qui mène à une intervention prescrite alors que le concept (que personne ne prétend être un "syndrome") est tout simplement un énoncé visant à comprendre des situations particulières, mais pour lesquelles une gamme d'explications sont possibles et où aucune solution unique n'est prescrite, celle-ci dépendant de la nature et des caractéristiques de chaque cas.

    « Dans le syndrome d'aliénation parentale, le concept fondamental est unidirectionnel comme si ces situations étaient des processus linéaires alors qu'en fait elles sont dynamiques et en interaction, des aspects de la relation de chaque parent avec l'autre interagissant pour susciter la situation difficile ou le cul-de-sac. »


    Swerdlow-Freed (sans date : 1)

    « ... les enfants qui sont pris dans les litiges entre les parents et que l'un d'eux recrute comme allié contre l'autre parent dans une campagne de dénigrement systématique et d'aliénation de l'affection. Ces litiges ont tendance à avoir des caractéristiques typiques dont l'une est un niveau constant de conflit aigu et l'autre qui amène un parent ou les deux parents à ne plus pouvoir agir dans l'intérêt supérieur de l'enfant. »


    Vestal (1999 : 489)

    « Le SAP désigne une perturbation selon laquelle les enfants sont obsédés par une perception présentant un parent comme entièrement bon et l'autre comme entièrement mauvais. Le mauvais parent est haï et dénigré verbalement, alors que le bon est aimé et idéalisé. Un autre trait caractéristique du SAP est la fausse accusation de mauvais traitements de l'enfant qui intervient lorsqu'un parent est résolu à éloigner l'autre. »


    Waldron et Joanis (1996 : 121)

    « Le syndrome d'aliénation parentale (SAP) est un cas spécial de conflit ultérieur au divorce où un parent semble consacrer beaucoup d'énergie, et parfois aller jusqu'à faire de fausses allégations d'agression physique ou sexuelle afin de monter un enfant contre l'autre parent... la conceptualisation de ce problème par Gardner et la dynamique sous‑jacente sont au mieux incomplètes, sinon simplistes et erronées. »


    Wallerstein et Kelly (1985 : 77)

    « Ces jeunes risquaient particulièrement de se voir emporter par la colère d'un parent contre l'autre. Ils étaient des alliés loyaux et utiles dans les efforts pour faire tort à l'autre parent. Assez souvent, ils s'en prenaient au parent qu'ils avaient aimé et avec qui ils avaient eu une relation étroite avant la séparation.

    « L'identification la plus extrême avec la cause d'un parent a été désignée par le terme "alignement", une relation propre au divorce qui consiste dans le fait qu'un parent et un enfant ou plus participent à une attaque vigoureuse contre l'autre parent. »


    Ward et Harvey (1993 : 4)

    « ... un divorce à couteaux tirés n'est pas nécessairement un divorce aliénant. Pour déterminer si un tel divorce est aliénant ou non, il faut tenir compte non pas de l'ampleur de la rage ou de la perte exprimée, mais de la volonté d'entraîner les enfants avec soi. Il y a aliénation lorsqu'un parent utilise l'enfant pour répondre à des besoins émotionnels personnels, comme moyen d'exprimer ses propres émotions vives ou comme un pion à manipuler pour se venger de l'autre partie.

    « L'aliénation parentale se situe le long d'un vaste continuum basé sur le degré de détresse intérieure du parent aliénant, sur la vulnérabilité de l'enfant et sur les réactions du parent ciblé ainsi que sur les réactions du système extérieur (familles, avocats, spécialistes en santé mentale, système judiciaire). Cette aliénation peut amener les enfants à se sentir très mal à l'aise au moment de la transition (légère), à se sentir obligés d'entretenir des mondes et des identités distincts lorsqu'ils sont avec l'un ou l'autre des parents (modérée) ou encore à refuser de partager quoi que ce soit avec le parent ciblé et à devenir obsédés par leur haine (grave). »


    Warshak (2001 : 29-30)

    « Le syndrome d'aliénation parentale désigne une perturbation dont la manifestation primaire est la campagne injustifiée de dénigrement ou de rejet menée par un enfant à l'égard d'un parent à cause de l'influence de l'autre parent, combinée à l'apport propre à l'enfant. Trois éléments essentiels sont à noter dans cette définition : 1) le rejet ou dénigrement d'un parent, qui prend l'ampleur d'une campagne, c.‑à‑d. qu'elle est persistante et non pas épisodique; 2) le rejet n'est pas justifié, c.‑à‑d. que l'aliénation n'est pas une réaction raisonnable aux comportements du parent aliéné; et 3) c'est un résultat qui découle en partie de l'influence du parent non aliéné. Si l'un ou l'autre de ces trois éléments est absent, le terme SAP ne s'applique pas. »


    Williams (1990 : 1)

    « La parentectomie est l'élimination, l'effacement ou la diminution grave de la présence d'un parent attentif à la vie d'un enfant après la séparation ou le divorce. Ce phénomène couvre une vaste gamme de comportements allant de la parentectomie partielle ("tu peux rendre visite à ton père ou à ta mère tous les deux dimanches"), "#224; la parentectomie complète, comme dans le syndrome d'aliénation parentale décrit par Gardner, ou à l'absence ou à l'élimination complète du parent. »


    Date de modification : 2022-12-22

    justice.gc.ca/fra

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