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Voyage en Algérie, incivisme : un passager retire son pantalon en plein vol ( Photo )

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  • Voyage en Algérie, incivisme : un passager retire son pantalon en plein vol ( Photo )

    Voyager en avion peut être synonyme de stress pour certains, mais c’est aussi une occasion de respecter des règles de savoir-vivre qui garantissent une cohabitation agréable entre passagers. Malheureusement, sur un vol reliant Alger à Dubaï, effectué le vendredi 18 octobre, un passager a attiré l’attention de manière négative en affichant un comportement choquant. L’incivisme dudit passager lors de son récent voyage au départ de l’Algérie a provoqué une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.

    Tout a commencé lorsqu’un passager, assis en classe économique, a décidé de prendre ses aises d’une manière qui dépasse largement les limites de la décence. Selon une photo partagée sur Facebook par un autre voyageur, cet individu n’a pas seulement enlevé ses chaussures, mais également ses chaussettes, et il semblerait même qu’il ait retiré son pantalon, se mettant ainsi dans une posture totalement inappropriée pour un vol commercial. Pire encore, il a posé ses pieds nus sur le dossier du siège de devant, offrant une scène dérangeante à tous les passagers autour de lui.

    Une scène dérangeante qui choque les internautes

    La photo prise par son voisin de siège a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant une vague de réactions indignées. Ce comportement a non seulement choqué ceux qui étaient à bord de l’avion, mais aussi de nombreux internautes, qui ont vivement critiqué cette attitude qualifiée de « totalement irrespectueuse ». Les commentaires n’ont pas tardé à fuser.

    « Ce passager souffre d’un manque cruel d’éducation », a commenté un internaute indigné par cette scène invraisemblable. Il est vrai que dans des espaces confinés comme un avion, le respect des autres passagers est primordial. « Il ne faut pas que ça choque, c’est la ligne Alger-Dubaï, j’ai vu bien pire sur cette ligne », a rétorqué une autre personne, soulignant que ce type d’incivisme n’est malheureusement pas un phénomène rare sur certains vols.

    Une limite franchie dans l’incivisme

    Le vol en question, censé durer environ six heures, a pris une tournure particulièrement désagréable pour les passagers proches de cet individu. Poser ses pieds nus sur le siège de devant est un geste que beaucoup jugeraient déjà inconvenant, mais dans ce cas précis, le fait de se dévêtir partiellement en classe économique a franchi une ligne que l’on n’imaginait pas possible. Cette attitude, à la limite de l’irrespect, a soulevé un débat plus large sur l’incivilité en avion, un sujet qui fait régulièrement surface dans les discussions de voyageurs.

    Nombreux sont ceux qui s’interrogent : pourquoi certains passagers semblent-ils penser que l’avion est une extension de leur salon personnel, oubliant ainsi qu’ils partagent l’espace avec des dizaines, voire des centaines d’autres voyageurs ? La question de l’éducation et du respect des règles de civilité reste centrale. En effet, il est difficile d’imaginer comment un tel comportement pourrait être acceptable dans un espace public, a fortiori à bord d’un avion où l’espace est restreint.

    Un manque de réaction de l’équipage ?

    Ce qui étonne également dans cette histoire, c’est le silence apparent de l’équipage. D’après les témoignages, il semble que les hôtesses et stewards n’aient pas réagi immédiatement à ce comportement déplacé. Habituellement, les membres de l’équipage sont formés pour intervenir dans ce genre de situations et rappeler aux passagers les règles élémentaires de respect. Si aucune intervention n’a eu lieu, cela pourrait soulever des questions sur la gestion de l’incivisme à bord des avions, notamment sur cette ligne souvent très fréquentée.

    L’incivisme en avion : un phénomène qui prend de l’ampleur

    Ce genre d’incidents semble devenir de plus en plus courant dans les avions, particulièrement sur certaines lignes où l’incivilité est malheureusement plus répandue. Des voyageurs se plaignent régulièrement de comportements inappropriés tels que des pieds nus posés sur des accoudoirs, des sièges malmenés, ou des passagers bruyants qui perturbent la tranquillité du vol.

    Face à cela, de nombreuses compagnies aériennes tentent de sensibiliser leurs passagers au respect des règles de bonne conduite. Cependant, il est évident que certains voyageurs continuent d’ignorer ces consignes de base, ce qui pousse à réfléchir à des solutions plus strictes. Faut-il instaurer des sanctions pour les comportements irrespectueux à bord ? La question mérite d’être posée.



    dnalgerie
    Dernière modification par aristochat, 22 octobre 2024, 13h08.

  • #2

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    • #3
      Tout simplement il cherche à nuire à l'image de la compagnie , il doit être interdit de vol avec la compagnie Air Algérie et cette compagnie se doit de le poursuivre en justice pour grave préjudice causé, il se peut qu'il ne jouit pas de toutes ses facultés mentales
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        Avec un comportement pareil, il mérite de voyager dans la soute à bagages...

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        • #5
          Un manque de réaction de l’équipage ?
          L'avion est à réaction, mais pas l'équipage.

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          • #6
            Salem, des news comme cette histoire, ça arrive souvent et en plus dans des pays soi-disant civilisé, je n'ai pas assisté pour juger la personne (elle est peut-être atteinte d'une maladie psychologique ou être en état d'ébriété ou que sais-je, mais pour la compagnie, elle doit prendre une décision radicale pour donner l'exemple).

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            • #7
              Bienvenue à bord du Boeing 404 bachè Alger Blida, sans escale!

              À peine arrivé sur le tarmac, le spectacle commence : les passagers ne montent pas dans un avion, mais dans un véritable bus aérien. Aux commandes, pas de pilote en uniforme rigide, mais un chauffeur de bus local, une casquette à l'envers sur la tête, une clope à la main. Il chique sans vergogne et lance des coups d’œil par la fenêtre, comme s'il cherchait un raccourci dans le ciel.
              Le receveur, lui, armé de son rouleau de tickets, agite une poignée de pièces de monnaie en criant :
              "Blida, Blida, y'a encore des places, montez, montez, on décolle bientôt, y'a pas de temps à perdre !"
              Il tape sur le flanc de l'avion comme il taperait sur la carrosserie d'un vieux bus, en priant pour qu'il tienne le coup.
              Les passagers se pressent, certains à moitié debout, agrippés aux sièges ou aux barres d'oxygène, comme s'ils étaient dans un bus de ville bondé. Les plus chanceux s'assoient, mais les autres se tiennent comme ils peuvent, certains accrochant même leurs sacs sur les rétroviseurs qui pendent mystérieusement du plafond.
              Les hôtesses de l'air ? Ah non, ici, elles ont été remplacées par des vendeurs a la sauvette qui crient:
              Café ! Thé ! Parfums en papier ! On fait le tour, on fait le tour, tout pour vous, tout de suite !
              Quand l'avion commence à bouger, on n'entend pas les moteurs vrombir, mais plutôt le claquement d’un vieux klaxon qui semble indiquer le départ. Le chef de quai, ou plutôt le steward, hurle :
              Accrochez-vous, on va décoller, placez vos bagages sous vos pieds, ou sur les genoux, ou... n'importe où en fait !
              Et puis, dans un dernier cri :
              "Blida, Blida, direct sans escale, si Allah le veut !"
              Les passagers se tiennent prêts, sourires aux lèvres, habitués à ce chaos quotidien transformé en vol inédit. Parce qu'en Algérie, même l'aviation a son propre folklore. ✈️

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              • #8
                Le meilleur moyen de transport serait la ligne 11 . J'avance une jambe , je pose le pied sur terre , je soulève l'autre jambe que j'avance plus loin que la première , je pose le deuxième pied au sol , je recommence avec la première jambe puis ensuite avec la deuxième formant une succession du nombre 11 formés par les deux jambes et je parcours des Km sans être incommodé ni par un exhibitionniste, ni par des cris et c'est entièrement gratuit .
                Dernière modification par aristochat, 23 octobre 2024, 11h01.

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                • #9
                  Régulièrement, des avions de ligne sont obligés de faire une escale imprévue pour débarquer et remettre aux forces de police locale des perturbateurs, le plus souvent sous l'empire d'un état alcoolique.

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                  • #10
                    alibigoud

                    ​​​​​​​Emprise vouliez vous dire ?

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                    • #11
                      aristochat

                      Il n'y a pas d'erreur dans ma phrase car le terme "empire" est employé dans le Code de la route, concernant un état alcoolique.

                      L'article L-234-1 du Code de la route prévoit le délit de conduite sous l’empire d’un état alcoolique.

                      Sous l’empire de l’alcool ou sous l’emprise de l’alcool ?

                      L’expression « sous l’empire de » traduit l’influence d’une chose ou d’une émotion alors que l’expression « sous l’emprise de » traduit une dépendance imposée par une personne qui a « prise » sur une autre.
                      Il faut donc dire « Conduire sous l’empire de l’alcool » et non, comme on l’entend souvent, « Conduire sous l’emprise de l’alcool ».


                      Source : A la virgule près.



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                      • #12
                        Merci Alibigoud. J'ignorais totalement la nuance.

                        Ceci dit, les incivilités en Algérie datent depuis des lustres. Tout e dégrade à une vitesse folle.

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                        • #13
                          alibigoud

                          Stupéfaction, je ne peux mieux qualifier ma surprise en apprenant cette expression que je ne connaissais pas , moi qui pensais maîtriser à la perfection la langue Française et toutes ses nuances .
                          Merci Ali , je vais faire entrer ceci dans mon dictionnaire personnel , je ne vérifie pas je vous fais confiance .

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                          • #14
                            rago

                            Tout e dégrade à une vitesse folle.
                            Oran était jusqu'aux années 80 une ville qui avait gardé ses repères déontologiques quant à la société en général , sa culture , son savoir vivre dans une ville comme Oran demandait de la part des Oranais et des Oranaises un bagage relationnel de courtoisies et de respects .
                            Depuis la construction des cités dortoirs , l'exode rural faisant son effet , les choses , comme tu le dis si bien " Tout e dégrade à une vitesse folle. " et c'est dommage .

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                            • #15
                              aristochat

                              je ne vérifie pas je vous fais confiance .
                              Merci !
                              Je n'ai aucun mérite puisque dans le cadre professionnel, j'ai travaillé avec certains des principaux codes en vigueur dans notre pays.

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