Montpellier, Michaël Delafosse poursuivi par le communautarisme pro-LFI
Des tracts malveillants, un cercle de discussion nommé « Oumma Montpellier » et des cortèges pro-palestiniens… comment les relais locaux de LFI s’adressent à l’électorat musulman en vue de 2026
Inflexible sur le respect de la laïcité, le maire PS de Montpellier fait depuis plusieurs mois l’objet d’une campagne diffamatoire alimentée par des militants proches de LFI l’accusant de stigmatiser ses administrés de confession musulmane. Depuis son élection en 2020, le combat contre le séparatisme de Michaël Delafosse lui vaut d’être assimilé aux idées du Printemps républicain, devenu, à gauche, une sorte d’épouvantail idéologique.
Quelques exemplaires distribués à la sortie de la mosquée de La Paillade, d’autres directement glissés dans les boîtes aux lettres des quartiers populaires de la ville, la rumeur se répand comme une traînée de poudre dans Montpellier et son agglomération. Le chef-lieu de l’Hérault serait devenu la « capitale européenne de l’islamophobie ».
Ops
Des tracts malveillants, un cercle de discussion nommé « Oumma Montpellier » et des cortèges pro-palestiniens… comment les relais locaux de LFI s’adressent à l’électorat musulman en vue de 2026
Inflexible sur le respect de la laïcité, le maire PS de Montpellier fait depuis plusieurs mois l’objet d’une campagne diffamatoire alimentée par des militants proches de LFI l’accusant de stigmatiser ses administrés de confession musulmane. Depuis son élection en 2020, le combat contre le séparatisme de Michaël Delafosse lui vaut d’être assimilé aux idées du Printemps républicain, devenu, à gauche, une sorte d’épouvantail idéologique.
Quelques exemplaires distribués à la sortie de la mosquée de La Paillade, d’autres directement glissés dans les boîtes aux lettres des quartiers populaires de la ville, la rumeur se répand comme une traînée de poudre dans Montpellier et son agglomération. Le chef-lieu de l’Hérault serait devenu la « capitale européenne de l’islamophobie ».
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