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César 2024: que «le massacre cesse» à Gaza demande la réalisatrice Tunisienne Kaouther Ben Hania

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  • César 2024: que «le massacre cesse» à Gaza demande la réalisatrice Tunisienne Kaouther Ben Hania

    Le César du meilleur film documentaire va aux « Filles d’Olfa », réalisé par Kaouther Ben Hania


    Dans Les Filles d’Olfa, la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania confronte une mère et deux de ses quatre filles – les aînées ont rejoint l’organisation Etat islamique en Libye – à trois actrices incarnant leur vie.

    « Je commence par remercier mon producteur, qui m’a accompagnée dans cette aventure. A remercier aussi mon distributeur, toute l’équipe du film, mes comédiennes Olfa et ses filles. Je voudrais remercier les votants de m’accorder cet honneur et de m’accorder cette tribune.

    Nous le savons tous, les films ne changent pas le monde, mais changent notre rapport au monde. Et c’est pourquoi je crois qu’on devrait utiliser un peu notre notoriété pour défendre la justice, car on vit dans un monde où les criminels de guerre paradent en toute impunité, alors que quelqu’un comme Julian Assange, le meilleur d’entre nous, croupit en prison. Navalny est mort.



    La réalisatrice Kaouther Ben Hania reçoit le César du meilleur film documentaire pour le film "Les Filles d'Olfa".


    Ne laissons pas Julian Assange avoir le même sort en parlant de journalisme et de liberté d’expression. Je ne sais pas si vous le savez, mais il y a 70 journalistes qui ont été ciblés à Gaza dans l’enclave interdite aux journalistes.(…) On ne va pas se taire, on ne va pas se faire intimider. Il faut que le massacre cesse. »


    «C'est tellement horrible et personne ne peut dire qu'il ne savait pas»
    , a souligné la réalisatrice Kaouther Ben Hania a appelé vendredi en recevant le César du meilleur documentaire.

    «Arrêter de tuer des enfants devient une revendication radicale», a-t-elle déploré sur la scène des César,


    lemonde . fr
    Dernière modification par sako, 24 février 2024, 00h15.

  • #2
    Chapeau bas à cette brave Tunisienne, elle a osé,

    Tout le monde parlait de Navalnyet Julian Assangemais et personne pour alerter sur gaza.

    l'autre clowne , Djamel Dabbouze avait la parole et la possibilité de dire quelques chose , mais il a préféré faire le pitre comme d'habitude.
    Dernière modification par sako, 24 février 2024, 00h15.

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    • #3
      Qui regarde encore la cérémonie des Césars où l'on pratique l'entre-soi et où l'on cultive l'auto-satisfaction.
      Tout cela pour présenter des daubes qui sont financées par le contribuable.

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      • #4
        Dans quel monde nous sommes ,aujourd'hui juste parler de Gaza est devenu un acte de bravoure ........Bravo à cette dame .
        بلادي وإن جارت على عزيزة .. وأهلي وإن ضنوا على كرام

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        • #5
          Qui regarde Forbes cérémonie des 40 femmes de l'année? Et pourtant Rima Hassan n'a pas échappé à la haine de médias et animateurs français satanyanistes.

          Le fiché S fasciste fanatique Malheur Habib représentant de Satanyahou en France et ses milices virtuelles et dans les médias vont tout faire pour la diffamer.

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          • #6
            J'ai bien aimé ce passage,

            Je ne sais pas si vous le savez, mais il y a 70 journalistes qui ont été ciblés et tués à Gaza dans... l’enclave interdite aux journalistes
            Où sont passés les fameux reporters de guerre de la BBC , CNN, de France télévision qui nous bourraient la crâne avec des lives de Baghdad et de Kaboul?

            Pourquoi ces chaines n'ont pas de correspondants à Gaza...ou même à Rafah ?


            Dernière modification par sako, 24 février 2024, 14h45.

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            • #7
              Qui regarde encore la cérémonie des Césars où l'on pratique l'entre-soi et où l'on cultive l'auto-satisfaction.
              l'entre-soi des bobos Parisiens a toujours existé , avant c'était pire.


              Tout cela pour présenter des daubes qui sont financées par le contribuable.
              C'est.. «l' exception culturelle francaise »... une mesure protectionniste pour faire face à l’hégémonie du cinéma américain.

              Sans ce financement , tout ce beau monde serait balayé par la daube cinématographique d'Hollywood

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