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La chanson algérienne "Ya rayah " à la conquête du monde

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  • #16
    Il y a aussi Qoum Tara qui a été reprise par un orchestre chinois, entre autres.
    ¬((P(A)1)¬A)

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    • #17
      Chanter Ya rayah avec les paroles de notre dareja, par des gens qui n'arrive même pas à prononcer correctement certaines syllabes c'est tout un challenge qui amuse

      Envoyé par Obs.
      « Pourquoi le tube de Rachid Taha raconte l’histoire de France » par Mehdi Ahoudig et Hassen Ferhani

      En 1998, lors du concert « 1, 2, 3 Soleils » à Bercy, Rachid Taha reprend « Ya Rayah » (« Toi qui t’en vas »), de Dahmane El Harrachi, et aussitôt cette chanson phare du répertoire algérien du début des années 1970 devient un tube planétaire. Dès qu’elle résonne lors d’une soirée, Mehdi Ahou-dig et Hassen Ferhani, les auteurs de ce podcast, s’entendent dire : « Viens danser, c’est ta chanson ! » Mal à l’aise d’être ainsi assignés à leurs origines, ils se sont demandé pourquoi cette chanson avait conquis le monde et ce qu’elle signifiait profondément.

      L’historienne en musicologie Naïma Huber-Yahi décrypte sa genèse : « “Ya Rayah” est le produit d’une vie artistique parisienne et d’une expérience de vie française. El Harrachi chante l’exil douloureux d’un Algérien, la mélancolie de son pays natal. » Sous l’égide de Rachid Taha, qui transforme ses sonorités typiquement chaâbi en un rock festif, la chanson, traduite en 68 langues, s’impose alors comme un hymne « à la joie, au partage, à la rencontre sur le dance-floor de Français issus de toute la diversité ». La musique unit bien les peuples…

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