Le règlement intérieur des équipements ludiques d’Ardenne Métropole sera à l’ordre du jour du prochain conseil d’Agglo, jeudi soir. Il sera notamment question d’interdire le port du string et du burkini.
Les élus d’Ardenne Métropole vont devoir se prononcer, jeudi soir, sur une adaptation du règlement intérieur des équipements ludiques de l’Agglo, dont la dernière mouture avait été adoptée en décembre 2017. La modification va concerner les centres aquatiques du territoire. Il sera notamment proposé d’interdire les strings et burkinis.
Pourquoi un tel lifting du règlement ? « La mode des maillots de bain, de plus en plus couvrants, ayant évolué, il est nécessaire de clarifier avec les bonnes appellations, photos à l’appui, ce qui est autorisé ou non afin que les agents puissent faire appliquer le règlement intérieur des établissements aquatiques en toute sérénité. Les combinaisons, burkinis ou autres maillots de bain à manches ne sont pas autorisés pour diverses raisons. La première concerne celle de l’hygiène, car plus il y a de tenue couvrante, plus il y a de matière organique et plus ça pollue. Mais aussi des questions de sécurité, car en cas de noyade cela peut entraver le sauvetage des baigneurs », précise le rapport du conseil d’Agglo.
Le réglement intérieur se trouverait, si la modification est approuvée, être beaucoup plus détaillé qu’actuellement. Dans les faits, selon les services de l’Agglomération, ce changement ne bouleverserait pas les choses, selon les services d’Ardenne Métropole, qui indiquent que « strings et burkinis étaient déjà interdits » (même si les termes n’étaient pas si spécifiques : on parlait seulement d’interdiction des combinaisons), et qu’il était déjà arrivé aux surveillants de raccompagner hors des bassins des femmes vêtues de l’un ou l’autre.
Si les shorts, bermudas, strings, tee-shirts, paréos, burkinis et autres combinaisons devraient être proscrits des bassins, interdiction inscrite noir sur blanc, le port d’une combinaison resterait autorisé sur présentation d’un certificat médical et pour les enfants de moins de trois ans.
L'Ardennais
Les élus d’Ardenne Métropole vont devoir se prononcer, jeudi soir, sur une adaptation du règlement intérieur des équipements ludiques de l’Agglo, dont la dernière mouture avait été adoptée en décembre 2017. La modification va concerner les centres aquatiques du territoire. Il sera notamment proposé d’interdire les strings et burkinis.
Pourquoi un tel lifting du règlement ? « La mode des maillots de bain, de plus en plus couvrants, ayant évolué, il est nécessaire de clarifier avec les bonnes appellations, photos à l’appui, ce qui est autorisé ou non afin que les agents puissent faire appliquer le règlement intérieur des établissements aquatiques en toute sérénité. Les combinaisons, burkinis ou autres maillots de bain à manches ne sont pas autorisés pour diverses raisons. La première concerne celle de l’hygiène, car plus il y a de tenue couvrante, plus il y a de matière organique et plus ça pollue. Mais aussi des questions de sécurité, car en cas de noyade cela peut entraver le sauvetage des baigneurs », précise le rapport du conseil d’Agglo.
Le réglement intérieur se trouverait, si la modification est approuvée, être beaucoup plus détaillé qu’actuellement. Dans les faits, selon les services de l’Agglomération, ce changement ne bouleverserait pas les choses, selon les services d’Ardenne Métropole, qui indiquent que « strings et burkinis étaient déjà interdits » (même si les termes n’étaient pas si spécifiques : on parlait seulement d’interdiction des combinaisons), et qu’il était déjà arrivé aux surveillants de raccompagner hors des bassins des femmes vêtues de l’un ou l’autre.
Si les shorts, bermudas, strings, tee-shirts, paréos, burkinis et autres combinaisons devraient être proscrits des bassins, interdiction inscrite noir sur blanc, le port d’une combinaison resterait autorisé sur présentation d’un certificat médical et pour les enfants de moins de trois ans.
L'Ardennais
Commentaire