Une étude très sérieuse du Journal of Consumer Research (University of Chicago) démontre une étroite corrélation entre la stimulation d’images sexy et la recherche d’une gratification immédiate en termes de consommation. Pour un homme impatient, quelle meilleure récompense personnelle qu’une montre ?
Volet scientifique : une très sérieuse étude du Journal of Consumer Research, dans laquelle une équipe de chercheurs universitaires belges (KULeuven) démontre que la stimulation sexuelle débouche aussi sur une recherche de gratifications immédiates dans des domaines non sexuels.
Après avoir détaillé le comportement de messieurs exposés à des images de bikinis et à des manipulations de lingerie sexy (une sacrée batterie de tests !), Bram van der Bergh, Siegfried Dewitte et Luk Varlop ont établi que « l’appétit sexuel entraîne une plus grande urgence de consommer d’urgence tout bien personnellement gratifiant, qu’il s’agisse d’argent, de gâteau au chocolat ou d’objets personnels ». En résumé : « Après avoir touché un soutien-gorge, les hommes sont plus enclins à se contenter d’une petite récompense monétaire immédiate ».
Explication : « L’activation du désir sexuel semble déborder sur d’autres circuits cérébraux, comme ceux qui sont impliqués dans la recherche de gratifications comportementales ». Y compris les gratifications de type économique : on sait par ailleurs que les montres sont devenues – plus que les voitures ou l’alcool – l’objet de susbstitution et de récompense personnelle le plus apprécié…
Mieux : « Les stimuli de nature sexuelle changent le rapport des hommes au temps ». Manipuler de la lingerie sexy, c’est « mettre son esprit au présent et le maintienir dans un ici et maintenant propices au désir impatient d’une récompense immédiate ». Il est tout de même plus facile de se faire plaisir tout de suite avec une montre de luxe qu’avec une Ferrari : rien n’est plus compulsif, ni plus immédiatement jouissif pour se sentir un « autre homme ».
source : worldtempus
- l'étude sur l'effet des bikinis : http://www.journals.uchicago.edu/doi/abs/10.1086/525505
Volet scientifique : une très sérieuse étude du Journal of Consumer Research, dans laquelle une équipe de chercheurs universitaires belges (KULeuven) démontre que la stimulation sexuelle débouche aussi sur une recherche de gratifications immédiates dans des domaines non sexuels.
Après avoir détaillé le comportement de messieurs exposés à des images de bikinis et à des manipulations de lingerie sexy (une sacrée batterie de tests !), Bram van der Bergh, Siegfried Dewitte et Luk Varlop ont établi que « l’appétit sexuel entraîne une plus grande urgence de consommer d’urgence tout bien personnellement gratifiant, qu’il s’agisse d’argent, de gâteau au chocolat ou d’objets personnels ». En résumé : « Après avoir touché un soutien-gorge, les hommes sont plus enclins à se contenter d’une petite récompense monétaire immédiate ».
Explication : « L’activation du désir sexuel semble déborder sur d’autres circuits cérébraux, comme ceux qui sont impliqués dans la recherche de gratifications comportementales ». Y compris les gratifications de type économique : on sait par ailleurs que les montres sont devenues – plus que les voitures ou l’alcool – l’objet de susbstitution et de récompense personnelle le plus apprécié…
Mieux : « Les stimuli de nature sexuelle changent le rapport des hommes au temps ». Manipuler de la lingerie sexy, c’est « mettre son esprit au présent et le maintienir dans un ici et maintenant propices au désir impatient d’une récompense immédiate ». Il est tout de même plus facile de se faire plaisir tout de suite avec une montre de luxe qu’avec une Ferrari : rien n’est plus compulsif, ni plus immédiatement jouissif pour se sentir un « autre homme ».
source : worldtempus
- l'étude sur l'effet des bikinis : http://www.journals.uchicago.edu/doi/abs/10.1086/525505

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