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Comme 200 autres employés de Twitter, Esther Crawford a été licenciée ce week-end par Elon Musk. L'ex-cheffe de produit du réseau social était pourtant connue pour son dévouement à toute épreuve envers le le fantasque milliardaire.
C’est presque devenu une habitude pour Elon Musk. Depuis que le fantasque milliardaire a racheté Twitter en novembre 2022 pour 44 milliards de dollars, il aime procéder à des salves de licenciements. Il y a trois mois, 3 700 employés du réseau social ont ainsi perdu leur emploi, soit 50 % des effectifs. Une véritable purge. Le week-end dernier, plus de 200 personnes, soit 10 % des effectifs, ont été limogées à leur tour. Certes, le chiffre est moindre mais l’identité de certains licenciés montre le peu de cas que l’homme d’affaires fait de ses soutiens les plus enthousiastes.
C’est le cas d’Esther Crawford, sur le départ. Cette femme de 39 ans occupait jusqu’ici le poste de directrice des produits en développement. C’est elle qui était notamment chargée de concevoir le programme d’abonnement Twitter Blue. Fidèle parmi les fidèles, elle s’était fait remarquer au moment du rachat, en se présentant directement au milliardaire, sans passer par d’autres employés plus anciens qu’elle, afin de lui proposer ses services pour améliorer le réseau social. Elle avait ainsi échappé à la première vague de licenciements.
on zèle était sans limite puisqu’elle avait été photographiée en novembre, en train de dormir dans son bureau, à même le sol, emmitouflée d’un simple duvet, afin d’être constamment disponible. « Lorsque votre équipe travaille 24 heures sur 24 pour respecter les délais, parfois vous dormez où vous travaillez », pouvait-on lire sur son compte Twitter.
À cette période, Elon Musk était en effet accusé de faire travailler ses employés de Twitter nuit et jour pour faire leurs preuves.
Esther Crawford l’avait alors vivement défendu, en déclarant que « faire des choses difficiles exige des sacrifices ». Son licenciement ne semble d’ailleurs pas avoir affecté l'immense estime qu'elle porte à son ancien employeur. Ce lundi 27 février, elle s’est fendue d’un tweet dithyrambique, en faisant référence à sa fameuse photo endormie : « La pire conclusion que vous pourriez avoir en me regardant y aller à fond sur Twitter est que mon optimisme ou mon travail acharné étaient une erreur. Ceux qui raillent et se moquent sont nécessairement sur la touche et non dans l'arène. Je suis profondément fière de l'équipe qui a construit à travers tant de bruit et de chaos. »
marianne . net
C’est presque devenu une habitude pour Elon Musk. Depuis que le fantasque milliardaire a racheté Twitter en novembre 2022 pour 44 milliards de dollars, il aime procéder à des salves de licenciements. Il y a trois mois, 3 700 employés du réseau social ont ainsi perdu leur emploi, soit 50 % des effectifs. Une véritable purge. Le week-end dernier, plus de 200 personnes, soit 10 % des effectifs, ont été limogées à leur tour. Certes, le chiffre est moindre mais l’identité de certains licenciés montre le peu de cas que l’homme d’affaires fait de ses soutiens les plus enthousiastes.
C’est le cas d’Esther Crawford, sur le départ. Cette femme de 39 ans occupait jusqu’ici le poste de directrice des produits en développement. C’est elle qui était notamment chargée de concevoir le programme d’abonnement Twitter Blue. Fidèle parmi les fidèles, elle s’était fait remarquer au moment du rachat, en se présentant directement au milliardaire, sans passer par d’autres employés plus anciens qu’elle, afin de lui proposer ses services pour améliorer le réseau social. Elle avait ainsi échappé à la première vague de licenciements.
on zèle était sans limite puisqu’elle avait été photographiée en novembre, en train de dormir dans son bureau, à même le sol, emmitouflée d’un simple duvet, afin d’être constamment disponible. « Lorsque votre équipe travaille 24 heures sur 24 pour respecter les délais, parfois vous dormez où vous travaillez », pouvait-on lire sur son compte Twitter.
À cette période, Elon Musk était en effet accusé de faire travailler ses employés de Twitter nuit et jour pour faire leurs preuves.
Esther Crawford l’avait alors vivement défendu, en déclarant que « faire des choses difficiles exige des sacrifices ». Son licenciement ne semble d’ailleurs pas avoir affecté l'immense estime qu'elle porte à son ancien employeur. Ce lundi 27 février, elle s’est fendue d’un tweet dithyrambique, en faisant référence à sa fameuse photo endormie : « La pire conclusion que vous pourriez avoir en me regardant y aller à fond sur Twitter est que mon optimisme ou mon travail acharné étaient une erreur. Ceux qui raillent et se moquent sont nécessairement sur la touche et non dans l'arène. Je suis profondément fière de l'équipe qui a construit à travers tant de bruit et de chaos. »
marianne . net