Début janvier, un chat qui s'était réfugié sur les rails a été écrasé en garde Montparnasse à Paris. Pour des questions de sécurité, la SNCF a refusé de sauver l'animal. Devant le tollé, elle dit désormais "regretter vivement l'accident".
"Ils ont dit que ce n'était qu'un chat et que ce n'était pas leur problème". La voix de Melaïna, 15 ans, est encore tremblante au moment d'aborder un terrible drame. Son chat a été coupé en deux par un TGV le 2 janvier dernier en gare Montparnasse à Paris. Deux femmes émues vont parler "d'une exécution" comme elles vont le dire sur BFMTV. Georgia, la mère et sa fille Melaïna devaient se rendre à Bordeaux depuis la capitale quand leur chat, Neko (chat en japonais) s'enfuit et se réfugie sous un train.
"Vous auriez dû le garder en laisse"
Inquiètes, elles interpellent le personnel de la gare mais on leur rétorque : "Ce n'est pas notre problème, vous auriez dû le garder en laisse". Pour des questions de sécurité, la SNCF refuse catégoriquement que les deux femmes aillent sur la voie pour tenter de sauver elles-mêmes l'animal apeuré. 20 minutes passent et le TGV démarre. Sur BFMTV, Melaïna peine à contenir sa peine : "On l'a vu en train de courir en dessous du train, c'est la dernière fois que je l'ai vu en vie, il m'a regardé dans les yeux car il a dû m'entendre, il a continué à courir puis c'était fini". Le chat finit coupé en deux.
"La loi doit changer"
Les deux femmes sont en colère d'autant qu'après les faits, les équipes de la SNCF acceptent de descendre sur la voie pour récupérer l'animal mort. "Si la loi ne protège pas les animaux dans les transports, cela doit changer", explique Georgia qui demande que justice soit rendue.
La SNCF a dit "regretter ce triste incident" et "se préoccuper de la condition animale" mais l'affaire s'emballe sur les réseaux sociaux pour condamner unanimement l'inaction de la SNCF, notamment par toutes les personnalités sensibles à la cause animale.
BFMTV
"Ils ont dit que ce n'était qu'un chat et que ce n'était pas leur problème". La voix de Melaïna, 15 ans, est encore tremblante au moment d'aborder un terrible drame. Son chat a été coupé en deux par un TGV le 2 janvier dernier en gare Montparnasse à Paris. Deux femmes émues vont parler "d'une exécution" comme elles vont le dire sur BFMTV. Georgia, la mère et sa fille Melaïna devaient se rendre à Bordeaux depuis la capitale quand leur chat, Neko (chat en japonais) s'enfuit et se réfugie sous un train.
"Vous auriez dû le garder en laisse"
Inquiètes, elles interpellent le personnel de la gare mais on leur rétorque : "Ce n'est pas notre problème, vous auriez dû le garder en laisse". Pour des questions de sécurité, la SNCF refuse catégoriquement que les deux femmes aillent sur la voie pour tenter de sauver elles-mêmes l'animal apeuré. 20 minutes passent et le TGV démarre. Sur BFMTV, Melaïna peine à contenir sa peine : "On l'a vu en train de courir en dessous du train, c'est la dernière fois que je l'ai vu en vie, il m'a regardé dans les yeux car il a dû m'entendre, il a continué à courir puis c'était fini". Le chat finit coupé en deux.
"La loi doit changer"
Les deux femmes sont en colère d'autant qu'après les faits, les équipes de la SNCF acceptent de descendre sur la voie pour récupérer l'animal mort. "Si la loi ne protège pas les animaux dans les transports, cela doit changer", explique Georgia qui demande que justice soit rendue.
La SNCF a dit "regretter ce triste incident" et "se préoccuper de la condition animale" mais l'affaire s'emballe sur les réseaux sociaux pour condamner unanimement l'inaction de la SNCF, notamment par toutes les personnalités sensibles à la cause animale.
BFMTV
Commentaire