Vladimir Poutine a signé, samedi, des amendements prévoyant jusqu’à dix ans de prison pour les militaires qui se rendent ou refusent de combattre en période de mobilisation, comme c’est le cas actuellement.
Ces amendements dans le Code pénal, qui avaient été votés par le Parlement cette semaine, ont été publiés sur le portail légal du gouvernement et sont donc entrés en vigueur. Ils prévoient notamment des peines allant jusqu’à dix ans de prison pour les soldats qui désertent, se rendent « sans autorisation » à l’ennemi, refusent de combattre ou désobéissent aux ordres en période de mobilisation.
Au moment où Moscou cherche par tous les moyens à recruter plus d’hommes pour aller au front en Ukraine, le président russe a également signé, samedi, une loi qui facilite l’accès à la nationalité russe pour les étrangers s’engageant dans l’armée. Les étrangers qui rejoignent l’armée pour une durée d’au moins un an pourront demander la nationalité, sans avoir à justifier des cinq ans de résidence sur le territoire russe normalement requis.
20 Minutes
Ces amendements dans le Code pénal, qui avaient été votés par le Parlement cette semaine, ont été publiés sur le portail légal du gouvernement et sont donc entrés en vigueur. Ils prévoient notamment des peines allant jusqu’à dix ans de prison pour les soldats qui désertent, se rendent « sans autorisation » à l’ennemi, refusent de combattre ou désobéissent aux ordres en période de mobilisation.
Au moment où Moscou cherche par tous les moyens à recruter plus d’hommes pour aller au front en Ukraine, le président russe a également signé, samedi, une loi qui facilite l’accès à la nationalité russe pour les étrangers s’engageant dans l’armée. Les étrangers qui rejoignent l’armée pour une durée d’au moins un an pourront demander la nationalité, sans avoir à justifier des cinq ans de résidence sur le territoire russe normalement requis.
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