Depuis la France, l’extrême droite crie à « l’humiliation » du pays. « Notre pays se fait humilier partout dans le monde et encore aujourd’hui en Algérie. Emmanuel Macron sourit aux provocations et insultes. Qu’avons-nous fait pour mériter ça ? », s’emporte sur Twitter Gisèle Lelouis, députée RN des Bouches-du-Rhône.
« Un président français tout sourire au milieu d’une foule algérienne goguenarde et hostile : une énième humiliation pour notre pays. La France pourra se ’réconcilier’ avec l’Algérie en s’en faisant respecter, jamais en s’excusant ou en se soumettant comme le fait Emmanuel Macron », renchérit Jordan Bardella, président par intérim du parti lepéniste.
« Il y avait aussi des gens qui criaient ’vive la France’ »
« Comme le sentiment de voir notre pays se faire humilier », insiste le député RN Sébastien Chenu. Une vision des choses contestée par l’Élysée. « Ça a bougé, c’était très animé, mais il n’y avait rien de problématique ni d’hostile », observe-t-on dans l’entourage du chef de l’État, décrivant un simple « bain de foule » sans incident.
« Il y avait aussi des gens qui criaient ’vive la France’ et ’vive Macron’. Le président n’aurait pas pris le temps d’un bain de foule si l’ambiance était hostile », poursuit-on de même source, précisant que l’intervention des forces de sécurité algériennes - « particulièrement sur les dents »- a contribué à précipiter le départ du chef de l’État.
Dans l’après-midi, le Président de la République a lui-même partagé des images de ce moment, montrant manifestement qu’il n’était pas embarrassé par cette séquence.
Emmanuel Macron a ensuite poursuivi son action diplomatique,
« Un président français tout sourire au milieu d’une foule algérienne goguenarde et hostile : une énième humiliation pour notre pays. La France pourra se ’réconcilier’ avec l’Algérie en s’en faisant respecter, jamais en s’excusant ou en se soumettant comme le fait Emmanuel Macron », renchérit Jordan Bardella, président par intérim du parti lepéniste.
« Il y avait aussi des gens qui criaient ’vive la France’ »
« Comme le sentiment de voir notre pays se faire humilier », insiste le député RN Sébastien Chenu. Une vision des choses contestée par l’Élysée. « Ça a bougé, c’était très animé, mais il n’y avait rien de problématique ni d’hostile », observe-t-on dans l’entourage du chef de l’État, décrivant un simple « bain de foule » sans incident.
« Il y avait aussi des gens qui criaient ’vive la France’ et ’vive Macron’. Le président n’aurait pas pris le temps d’un bain de foule si l’ambiance était hostile », poursuit-on de même source, précisant que l’intervention des forces de sécurité algériennes - « particulièrement sur les dents »- a contribué à précipiter le départ du chef de l’État.
Dans l’après-midi, le Président de la République a lui-même partagé des images de ce moment, montrant manifestement qu’il n’était pas embarrassé par cette séquence.
Emmanuel Macron a ensuite poursuivi son action diplomatique,
Commentaire