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dans ces temps là, à Alger, je ne connaissais que 3 lycées, Okba, Idrissi, et L'Émir.
Y avait le LTA mais celui-ci ne comptait pas. un trop petit lycée.
ces les lycées d'alger centre pour garcon (je pense que saint Elisabeth a été mixte un moment donné) sinon il y avait lycee taalibia a husseindey. hamia a kouba, el mokrani et amara rachid a ben aknoun, puis un autre un cinq maisons dont j'ai oublié le nom.
Oui, les années 60-70 étaient un paradis, on avait quasiment rien mais il nous manquait rien, on avait l'essentiel, il y avait de l'insouciance et on croyait à l'avenir. Bachi me devançait d'une classe au LTA, sûrement qu'on s'était croisé dans la cour du lycée.
Et oui et c'était à celui de Dellys que je devais atterrir..
Je venais de Biskra oû il n'y avait encore de lycée et j'étais admis à Dellys avec mes copains.
Mon grand frère me voulait avec lui à Alger et j'ai donc fini au LTA....
Oui, les années 60-70 étaient un paradis, on avait quasiment rien mais il nous manquait rien, on avait l'essentiel, il y avait de l'insouciance et on croyait à l'avenir. Bachi me devançait d'une classe au LTA, sûrement qu'on s'était croisé dans la cour du lycée.
Tu as donc connu Maizi et sa jolie fille * j'en étais un peu amoureux héhéhé)
M'. Tavernier , Gorman ....
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
Tu as donc connu Maizi et sa jolie fille * j'en étais un peu amoureux héhéhé)
M'. Tavernier , Gorman ....
Bien sûr la fille du directeur du Lycée
Pour te dire M. Tavernier m'a tellement marqué que je suis toujours ses méthodes, sa rigueur et principes, ah M. Tavernier. Il y avait aussi la jolie Mme Libourel, la prof en physique-chimie.
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