Bonsoir
A Hénin-Beaumont (Nord), une entreprise française de textile a proposé de reclasser ses salariés licenciés au Brésil avec un salaire de 315 euros (498 francs Suisses.) par mois, ou en Turquie à 230 euros (364 francs suisses.).
Assurant qu’aucune possibilité de reclassement n’existe en France, la société STAF, filiale du groupe italien Sinterama, a adressé le 28 mars une lettre de licenciement à sept employés sur trente-quatre, leur donnant une dizaine de jours pour accepter ou refuser son offre. En France, le salaire minimum est d’environ 1300 euros (2055 fr.) par mois. «La loi française nous oblige à donner des chances de reclassement aux ouvriers», a expliqué le porte-parole de l’entreprise.
(afp)
A Hénin-Beaumont (Nord), une entreprise française de textile a proposé de reclasser ses salariés licenciés au Brésil avec un salaire de 315 euros (498 francs Suisses.) par mois, ou en Turquie à 230 euros (364 francs suisses.).
Assurant qu’aucune possibilité de reclassement n’existe en France, la société STAF, filiale du groupe italien Sinterama, a adressé le 28 mars une lettre de licenciement à sept employés sur trente-quatre, leur donnant une dizaine de jours pour accepter ou refuser son offre. En France, le salaire minimum est d’environ 1300 euros (2055 fr.) par mois. «La loi française nous oblige à donner des chances de reclassement aux ouvriers», a expliqué le porte-parole de l’entreprise.
(afp)
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