franchement salim, tu as eu du bol de dénicher un biller sur AF à un peu moins de 500 euros... au début, on voulait réserver chez eux, mais comme on part à 4, le prix total des billets avoisinait les 3000 euros!!!
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Air Algerie
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C une bonne idée.... mais le hic c'est que tu trouveras tjrs des gens pour prendre cette compagnie...il y a tellemnt de demande que les gens sont obligés de ce rabattre sur air algerie...C ca ou rien (aigle azur et air france ne peuvent pas satisfaire route la demande surtout pendant la saison estivale)
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Air Algérie est en “pole position” des compagnies aériennes à bord desquelles il ne fait pas bon voyager, voire carrément déconseiller d’emprunter. C’est là le résultat d’une enquête sur la sécurité aérienne publiée cette semaine par l’hebdomadaire français VSD.
Notre compagnie nationale, il n’y a pas très longtemps, fierté de bien des Algériens vient d’être citée après la russe Aeroflot, dans cette “liste noire” qui comprend 36 compagnies aériennes réputées pour leur manquement à la sécurité des voyageurs et à bord desquelles il “est dangereux de voler”. Bon nombre d’entre elles sont purement et simplement interdites par les directions de l’aviation civile française, britannique et suisse. C’est d’ailleurs sur la base de ces interdictions et sur d’autres critères “non exclusifs” que le magazine généraliste français qui, dans son enquête se demande “quand l’Europe va-t-elle harmoniser” ses décisions en matière d’interdiction de vol, a basé la “confection” de sa blacklist. Air Mauritania, pourtant interdite en Grande- Bretagne ferait mieux que la compagnie dirigée depuis près d’une décennie par Tayeb Benouis. Egyptair est, elle aussi, classée compagnie à “haut risque”, tout comme Sudan Airways, ou la congolaise Central Air Express. De cette liste où ne figurent pas que des compagnies aériennes d’Afrique, d’Asie, et des républiques de l’ex-Union soviétique , les rédacteurs concluent que “c’est sans surprise que sont pointées les trois grandes zones du monde où il est plus dangereux de voler”. Leur point de vue est étayé par celui d’un expert international en investigation aérienne qui apprécie l’évolution du transport aérien dans le monde où l’on parle de plus en plus de “labelliser” les compagnies aériennes, alors que les Européens eux, souhaitent “établir” une liste des “firmes douteuses”, pour reprendre notre consœur de VSD. Heureusement que nous n’en sommes pas encore là , car si nos voisins marocains et tunisiens, qui ne figurent pas sur la “liste noire” des 36, ont toutes les chances de se faire labelliser, s’ils venaient à y postuler, nous avons, en revanche toutes “les chances” d’être déclarés persona non grata sur les aéroports européens. Pourtant, à en croire le P-DG d’Air Algérie, notre flotte aérienne a été entièrement renouvelée. Alors, où se situe la faille et qu’est-ce qui fait qu’aujourd’hui la réputation de notre compagnie nationale vole aussi bas ? “C’est la faute aux avions affrétés”, estime un cadre d’Air Algérie qui, en veut pour preuve les deux A 310 que sa compagnie vient d’affréter chez le français Aigle et chez une compagnie turque “Ces deux machines sont interdites de vol sur Londres et sur Frankfurt” ajoute ce cadre qui ne comprend pas comment son entreprise recourt à l’affrètement de ce type d’avion, puisque elle-même en possède deux qu’elle a cloués au sol depuis avril 2004.
moi qui dois prendre air algerie
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Vou avez vu air Algerie ..... :22:
Cette liste noire des compagnies aériennes a été réalisée selon plusieurs critères non exclusifs.
Nous avons fait figurer les compagnies interdites pr le Direction générale de l'aviation civile (DGAC)et celles interdites par les aviations civiles britannique et suisse
connuespour être intransigeantes. Puis nous sommes concentrés sur l'analyse des années 1990-2005.
Liste noire des compagnies aériennes : les compagnies aériennes à risques***
1 AEROFLOT. RUSSIE
2 AIR ALGERIE. ALGERIE
3 AIR KORYO. COREE DU NORD (interdite en France)
4 AEROMEXICO. MEXIQUE
5 AIR MEMPHIS. EGYPTE
6 AIR MAURITANIA. MAURITANIE (interdite en Grande-Bretagne)
7 AIR UNIVERSAL. SIERRA LEONE (interdite en Grande-Bretagne)
8 ALBANIAN AIRLINES. ALBANIE (interdite en Grande-Bretagne)
9 CAMEROON AIRLINES. CAMEROUN (interdite en Grande-Bretagne)
10 CENTRAL AIR EXPRESS. REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO (interdite en
Grande-Bretagne)
11 CHINA AIRLINES. TAIWAN
12 CHINA SOUTHERN AIRLINES. CHINE
13 CHINA NORTHERN AIRLINES. CHINE
14 CONTINENTAL WINGS COMORES AIRLINES. COMORES (interdite en France)
15 CUBANA DE AVIACION. CUBA
16 CROSSAIR. SUISSE
17 DNIPROVIA. UKRAINE (interdite en Suisse)
18 EGYPTAIR. EGYPTE
19 GHANA AIRWAYS. GHANA
20 GIRJET. ESPAGNE (interdite en Suisse)
21 GULF AIR. BAHREIN
22 HEMUS AIR. BULGARIE (interdite en Suisse)
23 IRAN AIR. IRAN
24 LION AIR. INDONESIE
25 PAKISTAN AIRLINES. PAKISTAN
26 PREMIUM AIR SHUTTLE. NIGERIA (interdite en Suisse)
27 SAUDI ARABIAN AIRLINES. ARABIE SAOUDITE
28 SUDAN AIRWAYS. SOUDAN
29 SIBIR AIRLINES. RUSSIE
30 SRILANKAN. SRI LANKA
31 TAJKISTAN AIRLINES. TADJIKISTAN (interdite en Grande-Bretagne)
32 TAM. BRESIL
33 TAME. EQUATEUR
34 TURKISH AIRLINES. TURQUIE
35 VARIG. BRESIL
36 VIETNAM AIRLINES. VIETNAM
Conclusions de l'enquête ***
Sans grosse surprise, cette liste pointe les trois grandes zones
du monde où il est plus dangereux de voler : l'Afrique, l'Asie et les
républiques de l'ex-URSS. Si beaucoup de compagnies mentionnées sont
volent dans des zones peu fréquentées par le touriste lambda (Sierra
Leone, Tadjikistan), quelques grandes compagnies d'aviation nationale
y figurent également. Certaines comme Varig la compagnie brésilienne,
ou Turkish airlines, sont concernées sur leurs vols intérieurs,
parfois moins sécurisés. Ainsi que le reconnait Marc Foucault,
directeur de cabinet de l'ex-ministre des transports Gilles de
Robien, qui fut l'initiateur du futur "label bleu" pour les
compagnies aériennes, "c'est sur les petites distances, les bouts de
ligne ou correspondances pour une petite ville d'un grand pays que se
rencontrent souvent les gros problème". Parce que les avions sont
vieux (Boeing 707, 727, Ilyushin II, Douglas DC-3, Fokker F-70...) et
tournent beaucoup.
------ Fin du message transféré
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La compagnie achève le renouvellement de sa flotte
avec l’acquisition d’Un Boeing 737-800
Air Algérie concurrentielle en termes
de fiabilité et de sécurité
Jeudi 25 août 2005
Air Algérie a clôturé hier son opération, lancée en 2001, pour le renouvellement de sa flotte. La livraison, hier, du Boeing 737-800 (7 TVKC) marque l’aboutissement de l’achat de 26 appareils neufs, soit 6 ATR, 5 A 300-200, 3 B 737-800, 12 737-600 et 800. Lors d’une réception où de nombreux invités ont été conviés, à l’exemple des représentants de Boeing, de ceux d’Eagle Aviation et du secrétaire général de l’UGTA, M. Sidi-Saïd, le président-directeur général d’Air Algérie, M. Tayeb Benouis, a rappelé les raisons qui avaient rendu indispensable le renouvellement de la flotte de son entreprise. «Aux impératifs de gestion qui dictent l’élimination des surcoûts et à l’exigence d’une meilleure qualité de service vient s’ajouter le souci d’être constamment dans des conditions de sécurité maximum», a-t-il déclaré. «La compagnie se situe du bon côté de la barrière» en matière de sécurité aérienne à la faveur du renouvellement de sa flotte, engagé avec l’appui des pouvoirs publics, a-t-il insisté. Il a ajouté que «les avions d’Air Algérie rivalisent aujourd’hui, en termes de fiabilité et de sécurité, avec ceux des grandes compagnies européennes». «Les avions d’Air Algérie sont aux normes internationales de sécurité», a martelé M. Benouis affirmant à ce propos que la compagnie qu’il dirige «va subir un audit, le 24 septembre prochain, de la part de la direction générale de l’aviation civile française pour reconduire notre éligibilité à survoler le ciel de l’Europe». Le premier responsable de la compagnie aérienne a tenu à souligner qu’après la réalisation de ce premier objectif, Air Algérie va aller vers «un redéploiement rendu nécessaire par la conjoncture tant nationale qu’internationale». Se voulant rassurant envers ses employés en annonçant le nouveau schéma de gestion à installer pour coller aux mutations imposées par l’ouverture économique, M. Benouis souligne que «l’aspect social et humain garde intacte sa place dans toutes nos démarches devant mener à une telle mutation». La compagnie aérienne algérienne n’est pas au bout de ses peines avec l’acquisition d’une nouvelle flotte, il lui reste encore la réalisation de tout un plan de développement qu’elle s’est assignée de mener à terme.
Selon lui, de nombreuses difficultés ont été rencontrées. A titre d’exemple, il a cité «les investissements rendus indispensables après les événements du 11 septembre 2001 tels que la mise à niveau aux nouvelles normes de sécurité ou encore la hausse brutale des taxes d’assurances. Je citerais également la flambée des cours du baril qui affecte directement les coûts de nos approvisionnements en carburant». A ce sujet justement, il faut rappeler que la compagnie algérienne a décidé, il y a une semaine, de revoir à la hausse ses prix en ajoutant une taxe carburant. Pour M. Benouis, «cette taxe a été décidée dans le cadre des conférences extraordinaires convoquées dans le cadre de l’IATA et à l’initiative des compagnies aériennes qui, afin de ne pas compromettre leur équilibre financier, ont décidé depuis la fin 2003 d’instaurer sur leurs vols une surcharge carburant dont le montant varie d’une compagnie à une autre». Il ajoutera qu’«Air Algérie, de par son statut de compagnie d’un pays producteur et exportateur de pétrole, s’opposait, lorsqu’elle participait à ces rencontres, à toute décision d’augmentation des tarifs, mais il était devenu nécessaire d’introduire une surcharge carburant en raison du renchérissement des prix du pétrole». La facture carburant est passée de 1,7 milliard de dinars pour le 1er semestre 2004 à 2,4 milliards de dinars au 1er semestre 2005, soit une augmentation de 37%. Ce qui a impliqué la hausse des coûts d’exploitation de 13% en 2004 à 17% en 2005. C’est la raison pour laquelle a été créée la taxe carburant qui demeure, a insisté M. Benouis, «temporaire et ne représente pas une augmentation des tarifs de base. Son maintien, sa révision à la hausse ou à la baisse, son retrait pur et simple restent liés à l’évolution du prix du carburant».
Hasna Yacoub
La Tribune
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