J'ai beaucoup de mal à saisir la place de chaque personne qui m'entoure car je ne me répend pas trop sur ce qui me touche.
J'ai déjà posé un genou à terre sans le faire partager à qui que ce soit. On me surnomme le tchétchène car on me connaît endurant face aux épreuves: en fait, j'ai pas mal bougé, ça n'a pas toujours été facile, j'ai appris à me relever tout seul, que ce soit émotionnellement, professionnellement ou financiairement. La place de ceux qui étaient présents dans mes galères est quelque peu faussée car malgré les promesses de se recontacter, on tourne la page plus facilement qu'on ne le croît.
Finalement, seule une personne ressort de mon parcours, c'est celui que je considère comme mon propre frère alors qu'il n'est ni de ma famille, ni de ma région, que ce soit ici ou là-bas. La première fois qu'on s'est vu, on s'est chambré sans même se présenter et aujourd'hui encore on a pas fini.
Notre vrai point commun, c'est cette abscence de susceptibilité qui nous épargne des "moi je" qui en disent beaucoup sur les rapports échangés. Il y a aussi ces fous rires de cinglés devant tout le monde sans retenue.
Pour conclure je tiens à lui rendre hommage ainsi qu'à ma "bent el qol" préférée.
J'ai déjà posé un genou à terre sans le faire partager à qui que ce soit. On me surnomme le tchétchène car on me connaît endurant face aux épreuves: en fait, j'ai pas mal bougé, ça n'a pas toujours été facile, j'ai appris à me relever tout seul, que ce soit émotionnellement, professionnellement ou financiairement. La place de ceux qui étaient présents dans mes galères est quelque peu faussée car malgré les promesses de se recontacter, on tourne la page plus facilement qu'on ne le croît.
Finalement, seule une personne ressort de mon parcours, c'est celui que je considère comme mon propre frère alors qu'il n'est ni de ma famille, ni de ma région, que ce soit ici ou là-bas. La première fois qu'on s'est vu, on s'est chambré sans même se présenter et aujourd'hui encore on a pas fini.
Notre vrai point commun, c'est cette abscence de susceptibilité qui nous épargne des "moi je" qui en disent beaucoup sur les rapports échangés. Il y a aussi ces fous rires de cinglés devant tout le monde sans retenue.
Pour conclure je tiens à lui rendre hommage ainsi qu'à ma "bent el qol" préférée.
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