Salam,
Le Canada est un pays démocratique et developpé, et atypique: voici l'affaire d'un musulman arrivé ici à l'age de 15 ans, ce syrien, ingenieur onformaticien marrié à uen tunisienne, Dr en finance, mazigh, a subit des tortures dans les géoles syriennes après que les US l'eu envoyé en Syrie plutot que le Canada.
Le ministre de la défense Bill Braham s'est excusé, au non du Caanda, envers Maher Arar, suite àd es inofs données faussement par la GRC.
e ministre s"excuse à maher arrar
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Bill Graham (archives)
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L'ancien ministre des Affaires étrangères Bill Graham a exprimé ses regrets à Maher Arar et à sa conjointe, relativement à l'expulsion de l'ingénieur canadien en Syrie en 2002.
M. Graham a fait cette déclaration lors de son témoignage, jeudi, dans le cadre de l'enquête publique chargée de faire la lumière sur l'expulsion de M. Arar par les États-Unis
Selon M. Graham, les événements auraient été différents si les autorités canadiennes avaient su ce qu'elles savent maintenant.
Après avoir témoigné, M. Graham s'est levé et est allé serré la main de M. Arar, qui assistait aux travaux de la commission.
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Maher Arar (archives )
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Le geste de M. Graham a réjoui Maher Arar. C'était la première fois qu'un politicien canadien exprimait une certaine forme de regrets. Maher Arar, un citoyen canadien, soutient avoir été torturé en Syrie où il a été emprisonné pendant près d'un an.
Toutefois, M. Graham a précisé, qu'à son avis, le ministère des Affaires étangères avait fait de son mieux pour venir en aide à M. Arar.
Le Canada aurait dit non au rapatriement d'Arar
Mercredi, le sénateur Pierre De Bané a révélé à la Commission O'Connor que les États-Unis avaient offert de retourner Maher Arar au Canada, avant de l'expulser en Syrie. Les autorités canadiennes auraient refusé cette offre à cause des conditions imposées par les Américains.
Le sénateur libéral a affirmé avoir pris connaissance de cette proposition, lors d'une séance d'information au ministère des Affaires étrangères. L'agent du service extérieur responsable des affaires consulaires, Gar Pardy, a informé M. De Bané que les Américains étaient prêts à retourner M. Arar à condition que le Canada l'incarcère et dépose des accusations contre lui.
M. De Bané a appris que les autorités canadiennes avaient refusé parce que, selon eux, la Charte canadienne des droits et libertés ne leur permettait pas d'agir de la sorte.
http://www.maherarar.ca/
Le Canada est un pays démocratique et developpé, et atypique: voici l'affaire d'un musulman arrivé ici à l'age de 15 ans, ce syrien, ingenieur onformaticien marrié à uen tunisienne, Dr en finance, mazigh, a subit des tortures dans les géoles syriennes après que les US l'eu envoyé en Syrie plutot que le Canada.
Le ministre de la défense Bill Braham s'est excusé, au non du Caanda, envers Maher Arar, suite àd es inofs données faussement par la GRC.
e ministre s"excuse à maher arrar
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Bill Graham (archives)
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L'ancien ministre des Affaires étrangères Bill Graham a exprimé ses regrets à Maher Arar et à sa conjointe, relativement à l'expulsion de l'ingénieur canadien en Syrie en 2002.
M. Graham a fait cette déclaration lors de son témoignage, jeudi, dans le cadre de l'enquête publique chargée de faire la lumière sur l'expulsion de M. Arar par les États-Unis
Selon M. Graham, les événements auraient été différents si les autorités canadiennes avaient su ce qu'elles savent maintenant.
Après avoir témoigné, M. Graham s'est levé et est allé serré la main de M. Arar, qui assistait aux travaux de la commission.
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Maher Arar (archives )
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Le geste de M. Graham a réjoui Maher Arar. C'était la première fois qu'un politicien canadien exprimait une certaine forme de regrets. Maher Arar, un citoyen canadien, soutient avoir été torturé en Syrie où il a été emprisonné pendant près d'un an.
Toutefois, M. Graham a précisé, qu'à son avis, le ministère des Affaires étangères avait fait de son mieux pour venir en aide à M. Arar.
Le Canada aurait dit non au rapatriement d'Arar
Mercredi, le sénateur Pierre De Bané a révélé à la Commission O'Connor que les États-Unis avaient offert de retourner Maher Arar au Canada, avant de l'expulser en Syrie. Les autorités canadiennes auraient refusé cette offre à cause des conditions imposées par les Américains.
Le sénateur libéral a affirmé avoir pris connaissance de cette proposition, lors d'une séance d'information au ministère des Affaires étrangères. L'agent du service extérieur responsable des affaires consulaires, Gar Pardy, a informé M. De Bané que les Américains étaient prêts à retourner M. Arar à condition que le Canada l'incarcère et dépose des accusations contre lui.
M. De Bané a appris que les autorités canadiennes avaient refusé parce que, selon eux, la Charte canadienne des droits et libertés ne leur permettait pas d'agir de la sorte.
http://www.maherarar.ca/
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