Bonjour
Malgré les tentatives des autorités pour l'éradiquer avant les jeux Olympiques de Pékin en 2008, le crachat résiste encore en Chine. L'habitude de cracher est encore tenace dans les villes et les campagnes,comme le montrent les nombreuses traces sur le sol, gelées en cette période hivernale. Car, pour de nombreux Chinois, expectorer est un phénomène physique aussi naturel qu'éternuer ou roter. Sans aucune honte, malgré les réactions horrifiées des étrangers. Selon les experts médicaux, les mucosités sont généralement secrétées lorsqu'une personne souffre de problèmes respiratoires, mais aussi lorsque les poumons sont irrités par la pollution, le fait de fumer, une alimentation grasse ou trop abondante. Pour une spécialiste des maladies respiratoires à l'Hôpital Xuanwu de Pékin, l'habitude de cracher est due à la pollution et au manque de conscience de la population en matière d'hygiène. «Mais la salive fait partie de votre sécrétion normale et facilite la digestion. C'est juste une idée fausse que les gens ont
InfoSoir
Malgré les tentatives des autorités pour l'éradiquer avant les jeux Olympiques de Pékin en 2008, le crachat résiste encore en Chine. L'habitude de cracher est encore tenace dans les villes et les campagnes,comme le montrent les nombreuses traces sur le sol, gelées en cette période hivernale. Car, pour de nombreux Chinois, expectorer est un phénomène physique aussi naturel qu'éternuer ou roter. Sans aucune honte, malgré les réactions horrifiées des étrangers. Selon les experts médicaux, les mucosités sont généralement secrétées lorsqu'une personne souffre de problèmes respiratoires, mais aussi lorsque les poumons sont irrités par la pollution, le fait de fumer, une alimentation grasse ou trop abondante. Pour une spécialiste des maladies respiratoires à l'Hôpital Xuanwu de Pékin, l'habitude de cracher est due à la pollution et au manque de conscience de la population en matière d'hygiène. «Mais la salive fait partie de votre sécrétion normale et facilite la digestion. C'est juste une idée fausse que les gens ont
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