Les mots claquent comme un coup de fouet. Alain Delon admet avoir de «la haine» et de «la rage» contre le staff de l’Elysée, dont il qualifie les membres de «charlots». Raison d’un tel coup de colère ? Dans le quotidien Le Parisien, Alain Delon se dit «très humilié» de ne pas avoir été informé s’il faisait ou non partie de la délégation qui accompagne le chef de l’Etat lors de sa visite officielle en Chine. Voyage que l’acteur n’effectuera finalement pas.
Il a tout de même été invité mais «un peu tard», de l’aveu même de l’Elysée. «C’est un peu un loupé de notre part», reconnaît-on, un brin contrit, à la Présidence.
L’acteur a vu dans ces manières de la «goujaterie» et de la «grossièreté». «Cela fait des semaines que l’on dit que je suis l’invité d’honneur du président Sarkozy. Dimanche c’est l’anniversaire de ma fille Anouschka et j’avais tout organisé en fonction du voyage», s’agace-t-il, tout en dédouanant le président lui-même : «Ce que je sais, c’est que le président n’est au courant de rien».
«Il appartient au président de décider qui participe ou non à son voyage. Je respecte sa décision mais il appartient à son staff d’avoir au moins la courtoisie, la politesse, la décence, voire le devoir d’en avertir les intéressés. Personne n’a osé m’appeler pour me dire que je ne partais plus pour telle ou telle raison», poursuit l’acteur, qui a appris la nouvelle par son garde du corps, après un coup de fil à l’Elysée. Quant au chef de l’Etat, «je le connais. Il me connaît bien. Je pense que les oreilles de certains vont chauffer !»
Alain Delon n’incarnera donc pas «l’image de la France», comme il le dit lui-même, lors de cette visite de trois jours, où Nicolas Sarkozy est accompagné par sept ministres, dont celui de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, de l’Economie, Christine Lagarde, de la Justice, Rachida Dati, et de l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin.
source : le figaro
Il a tout de même été invité mais «un peu tard», de l’aveu même de l’Elysée. «C’est un peu un loupé de notre part», reconnaît-on, un brin contrit, à la Présidence.
L’acteur a vu dans ces manières de la «goujaterie» et de la «grossièreté». «Cela fait des semaines que l’on dit que je suis l’invité d’honneur du président Sarkozy. Dimanche c’est l’anniversaire de ma fille Anouschka et j’avais tout organisé en fonction du voyage», s’agace-t-il, tout en dédouanant le président lui-même : «Ce que je sais, c’est que le président n’est au courant de rien».
«Il appartient au président de décider qui participe ou non à son voyage. Je respecte sa décision mais il appartient à son staff d’avoir au moins la courtoisie, la politesse, la décence, voire le devoir d’en avertir les intéressés. Personne n’a osé m’appeler pour me dire que je ne partais plus pour telle ou telle raison», poursuit l’acteur, qui a appris la nouvelle par son garde du corps, après un coup de fil à l’Elysée. Quant au chef de l’Etat, «je le connais. Il me connaît bien. Je pense que les oreilles de certains vont chauffer !»
Alain Delon n’incarnera donc pas «l’image de la France», comme il le dit lui-même, lors de cette visite de trois jours, où Nicolas Sarkozy est accompagné par sept ministres, dont celui de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, de l’Economie, Christine Lagarde, de la Justice, Rachida Dati, et de l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin.
source : le figaro
Commentaire