En ce début de semaine en Algérie, le journal "Liberté" a franchi le "mur du çon" et s'est écrasé dans un bourbier. Un "exploit" qui lui vaut le carton rouge de la semaine.
Dans sa "Une" d'aujourdhui et quasiment en pleine page, Liberté a titré : "Deux millions d'Algériens atteints de folie".
Le professeur Norman Sartorius, a affirmé qu' «Entre 800.000 et 2 millions d’Algériens pourront avoir besoin d’un traitement qualifié d’un psychiatre». L'expert n'a pas parlé de "folie". Mais pour les débiles de Liberté, quelqu'un qui consulte un psychiatre est forcément un fou.
La mal dont souffrent les journalistes de Liberté qui sont derrière cette sinitre "Une" a un nom : la débilité mentale.
Liberté devrait s'excuser pour cette "Une" infâme et blâmer les journalistes qui en sont responsables. C'est une manière très méprisable de vendre du papier sur le dos de personnes qui souffrent.
Dans sa "Une" d'aujourdhui et quasiment en pleine page, Liberté a titré : "Deux millions d'Algériens atteints de folie".
Le professeur Norman Sartorius, a affirmé qu' «Entre 800.000 et 2 millions d’Algériens pourront avoir besoin d’un traitement qualifié d’un psychiatre». L'expert n'a pas parlé de "folie". Mais pour les débiles de Liberté, quelqu'un qui consulte un psychiatre est forcément un fou.
La mal dont souffrent les journalistes de Liberté qui sont derrière cette sinitre "Une" a un nom : la débilité mentale.
Liberté devrait s'excuser pour cette "Une" infâme et blâmer les journalistes qui en sont responsables. C'est une manière très méprisable de vendre du papier sur le dos de personnes qui souffrent.
![](http://img219.imageshack.us/img219/407/34667628wc9.jpg)
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