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il y'a pas un chat dehors , ils sont tous devant la téloche
ça me rappelle une histoire vraie des années 80:
c'est un homme d'affaires russe qui vient pour la première fois prospecter en Algérie. Il atterrit à l'aéroport juste avant la rupture du jeûne (eh oui, c'était encore le ramdam). Il prend un taxi et remarque qu'il n'y a personne dans les rues, alors il demande au chauffeur la raison de ce vide.
Le chauffeur, sans rentrer dans les détails, lui répond que c'est l'heure du dîner et que tout le monde est en train de manger.
Impressionné, le russe se fait déposer à son hotel et demande tout de suite à téléphoner au siège de sa société à Moscou: " allô tovaritch directeur, je crois que c'est ici qu'on va investir car je n'ai jamais vu un peuple aussi discipliné que les algériens: même les repas, ils les prennent tous à la même heure"
P.S: l'histoire ne dit pas combien de temps il a fallu au russe pour découvrir le pot aux roses
Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
Tu n'a pourtant jamais été en algerie,je te rassure en algerie tu peu aussi flaner les boutiques toutes la journée
Je suis allée très souvent en Algérie, tous les étés depuis ma naissance.
A Alger, gamine, j'avais peur dans les rues. Aujourd'hui, j'ai toujours un peu ce sentiment d'insécurité.
Et quand je dis flâner, c'est dans la rue. A Paris, je me promène des journées entières, partout. Je peux me poser dans un parc, me reposer sous un arbre, bouquiner. Je me vois pas faire ça en Algérie.
J'adore l'Algérie mais là-bas, je me sens frustrée et bridée. Le mode de vie là-bas ne me convient pas.
En deux semaines en France, j'ai vu siffler et entendu autant d'obscénités lancés aux passantes que durant tout ce que j'ai vécu en Algérie...
Il est vrai que là-bas, les filles aussi le faisaient.
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
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