"Je ne vois rien, je n'entends rien, je ne dis rien"
Se répétent les personnes qui ne veulent pas s'impliquer. L'origine de ce dicton est inconnue.
Il est souvent représenté par trois singes se couvrant respectivement, avec leurs mains, leurs yeux, leurs oreilles et leurs lèvres.
Ils sont venus de Chine et ont été introduits par un moine Boudhiste de la secte Tendai vers le 8ième siècle et étaient à l'origine associés à la divinité Vadjra.
Les trois singes s'appellent Mizaru (L'aveugle), Kikazaru (Le sourd) et Iwazaru (Le muet).
Plus précisement, leurs noms veulent dire "Je ne dis pas le mal", "Je ne vois pas le mal", et enfin "Je n'entends pas le mal", car selon le principe de la secte originelle, si l'on respecte ces trois conditions, le mal nous épargnera.
Ces trois singes apparaissent sur la porte de l'écurie sacrée à Nikko au Japon.
Se répétent les personnes qui ne veulent pas s'impliquer. L'origine de ce dicton est inconnue.
Il est souvent représenté par trois singes se couvrant respectivement, avec leurs mains, leurs yeux, leurs oreilles et leurs lèvres.
Ils sont venus de Chine et ont été introduits par un moine Boudhiste de la secte Tendai vers le 8ième siècle et étaient à l'origine associés à la divinité Vadjra.
Les trois singes s'appellent Mizaru (L'aveugle), Kikazaru (Le sourd) et Iwazaru (Le muet).
Plus précisement, leurs noms veulent dire "Je ne dis pas le mal", "Je ne vois pas le mal", et enfin "Je n'entends pas le mal", car selon le principe de la secte originelle, si l'on respecte ces trois conditions, le mal nous épargnera.
Ces trois singes apparaissent sur la porte de l'écurie sacrée à Nikko au Japon.
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