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Existe-il un rapport entre l’interenet et l’art de raconteur des blagues??
Selon une etude, oui: L'internet tuerait l'art de raconter des blagues!!!
Internet tue l'art de raconter des blagues au point que le Britannique moyen ne se souvient que de deux blagues qu'il recycle à l'infini, révèle une étude publiée vendredi.
Selon l'étude menée par Loaded Magazine, plus de 75% des personnes interrogées ont reconnu avoir passé au moins une heure par semaine au travail à envoyer des courriels humoristiques.
Seules cinq pour cent des personnes interrogées ont admis n'avoir jamais reçu de blagues dans leurs boites e-mail.
Quarante pour cent des sondés ont reconnu recycler les deux mêmes blagues à l'infini.
"Il est nettement plus facile de cliquer sur un bouton pour réexpédier un tas de blagues plutôt que les raconter une à une", a déclaré Martin Daubney, directeur de la publication de Loaded Magazine.
Selon lui, "De nos jours, vous êtes plus susceptibles d'entendre : 'Avez-vous vu ce clip sur YouTube ? ' au lieu de 'Il était une fois un Anglais, un Irlandais et un Ecossais…'
Reuters
Selon une etude, oui: L'internet tuerait l'art de raconter des blagues!!!
Internet tue l'art de raconter des blagues au point que le Britannique moyen ne se souvient que de deux blagues qu'il recycle à l'infini, révèle une étude publiée vendredi.
Selon l'étude menée par Loaded Magazine, plus de 75% des personnes interrogées ont reconnu avoir passé au moins une heure par semaine au travail à envoyer des courriels humoristiques.
Seules cinq pour cent des personnes interrogées ont admis n'avoir jamais reçu de blagues dans leurs boites e-mail.
Quarante pour cent des sondés ont reconnu recycler les deux mêmes blagues à l'infini.
"Il est nettement plus facile de cliquer sur un bouton pour réexpédier un tas de blagues plutôt que les raconter une à une", a déclaré Martin Daubney, directeur de la publication de Loaded Magazine.
Selon lui, "De nos jours, vous êtes plus susceptibles d'entendre : 'Avez-vous vu ce clip sur YouTube ? ' au lieu de 'Il était une fois un Anglais, un Irlandais et un Ecossais…'
Reuters