Falah Sattar est tombé amoureux au premier coup d’œil. L’objet de cet amour était cette fille dans son cours de physique à l’université Mustansiriya à Bagdad.
Alia’a était sunnite, lui chiite, mais ça ne semblait pas déranger. C’était en 2003, juste après la chute de Saddam Hussein, alors que les couples ayant des religions différentes étaient chose courante.
«La première fois que je l’ai vu, quelque chose m’a frappé : "Falah, voici ta femme. C’est une belle fille, gentille, polie. Qu’est-ce que je pourrais demander de plus ?"» de se rappeler Sattar. Il a fait connaître son intérêt et les deux amoureux ont planifié leur mariage.
Les choses ont commencé à mal aller un an plus tard, alors que les deux venaient de terminer leurs études. La violence et la haine entre sunnites et chiites étaient tellement grandes qu’il était impossible pour eux comme pour plusieurs autres Irakiens de poursuivre leur relation.
>>>À lire sur USA Today
Alia’a était sunnite, lui chiite, mais ça ne semblait pas déranger. C’était en 2003, juste après la chute de Saddam Hussein, alors que les couples ayant des religions différentes étaient chose courante.
«La première fois que je l’ai vu, quelque chose m’a frappé : "Falah, voici ta femme. C’est une belle fille, gentille, polie. Qu’est-ce que je pourrais demander de plus ?"» de se rappeler Sattar. Il a fait connaître son intérêt et les deux amoureux ont planifié leur mariage.
Les choses ont commencé à mal aller un an plus tard, alors que les deux venaient de terminer leurs études. La violence et la haine entre sunnites et chiites étaient tellement grandes qu’il était impossible pour eux comme pour plusieurs autres Irakiens de poursuivre leur relation.
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