Saha ftourkoum
Le pavé dans la mare à été lancé par un professeur italien, Lina Pavanelli, qui est une spécialiste de soins intensifs.
Après son article provocateur par dans Micromega, intitulé «la mort douce de Karol Wojtyla», elle soutient que l’entourage de l’ancien souverain pontife aurait cessé de l’alimenter artificiellement quelques jours avant qu’il ne décède.
Ce genre d’action, considérée comme de l’euthanasie, est condamnée avec véhémence par le Vatican. Lina Pavanelli se base non seulement sur les rapports médicaux du Vatican, mais aussi sur ses propres observations.
La polémique surgit alors que le Vatican vient de publier un document, approuvé par Benoît XVI, qui dénonce le fait de priver d’eau et de nourriture les patients se trouvant dans un état végétatif. Lina Pavanelli avait décidé de commencer des investigations concernant la mort de Jean-Paul II l’an dernier.
«Laissez-moi rejoindre la maison du seigneur» aurait marmonné le pape sur sont lit de mort. Cependant, Renato Buzzonetti, médecin de Jean-Paul II et de Benoît XVI dément formellement dans La Reppublica que le traitement du Pape ait été arrêté.
(mst)
Le pavé dans la mare à été lancé par un professeur italien, Lina Pavanelli, qui est une spécialiste de soins intensifs.
Après son article provocateur par dans Micromega, intitulé «la mort douce de Karol Wojtyla», elle soutient que l’entourage de l’ancien souverain pontife aurait cessé de l’alimenter artificiellement quelques jours avant qu’il ne décède.
Ce genre d’action, considérée comme de l’euthanasie, est condamnée avec véhémence par le Vatican. Lina Pavanelli se base non seulement sur les rapports médicaux du Vatican, mais aussi sur ses propres observations.
La polémique surgit alors que le Vatican vient de publier un document, approuvé par Benoît XVI, qui dénonce le fait de priver d’eau et de nourriture les patients se trouvant dans un état végétatif. Lina Pavanelli avait décidé de commencer des investigations concernant la mort de Jean-Paul II l’an dernier.
«Laissez-moi rejoindre la maison du seigneur» aurait marmonné le pape sur sont lit de mort. Cependant, Renato Buzzonetti, médecin de Jean-Paul II et de Benoît XVI dément formellement dans La Reppublica que le traitement du Pape ait été arrêté.
(mst)