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Ado brutalisée: le père voulait partir en Algérie

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  • Ado brutalisée: le père voulait partir en Algérie

    Bonjour

    Un rapport de médecins renforce la thèse de l’enfant accusant son père de maltraitance. Détention prolongée de deux moispour l’inculpé. La mère est en Angleterre.

    Il voulait être libéré hier par la Chambre d’accusation. Il a dû se résoudre à retourner en prison. En raison des soupçons de maltraitance sur sa fille, les juges ont prolongé de deux mois la détention préventive de cet habitant de Meyrin d’origine algérienne: «Je suis un bon père, je n’ai rien fait et je ne sais pas pourquoi je suis là», a répété sobrement cet homme au physique tout en rondeur, avant de repartir à Champ-Dollon.

    A en croire le rapport de police, l’inculpé, arrêté à la fin du mois dernier, a roué de coups et menacé de mort sa fille de 15 ans parce qu’elle «chattait» sur Internet et refusait de lui donner son mot de passe. Les dernières violences auraient eu lieu dans une forêt sous le regard amusé de la mère. Le prévenu, âgé de 46 ans, nie les faits et prétend que son enfant surfait sur des sites pornos et risquait notamment de tomber dans la trappe d’un réseau ]pédophile.

    Ex-collaboratrice du CERN et employée à l’ONU depuis quelques semaines, l’épouse, accablée par «l’acharnement» de la justice et de la police, dit être en voyage. Selon nos renseignements, elle se trouve actuellement en Angleterre avec ses deux autres filles. Curatrice de l’adolescente, Me Corinne Arpin précise que l’enquête donne raison à sa protégée. «Les déclarations de ma cliente sont compatibles avec les blessures constatées par les médecins. Les déclarations du père ne le sont pas!»
    «Délit de faciès»

    Et l’avocate de signaler que la famille était en partance pour l’Algérie. «Un départ prévu dans le courant de l’été selon l’Office cantonal de la population.» L’intéressé, interrogé par le Service de la protection des mineurs, a en effet déclaré qu’il voulait quitter la Suisse. «C’était sous le coup de l’émotion, assure Me Razi Abderrahim, défenseur des parents. Mes clients ne comptaient pas partir. Cette inculpation est légère. Nous sommes à la limite du délit de faciès.»

    Tribune de Genève

  • #2
    yakhi

    Cette inculpation est légère. Nous sommes à la limite du délit de faciès.»
    Vraiment n'importe quoi d'invoquer le délit de faciès dans de telles circonstances !!! ça me fait un peu penser aux déclarations dithyrambiques de cheb mami .............. comme si le fait d'avoir une sale gueule autorisait à tous les excès en toute impunité !!!
    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

    Commentaire


    • #3
      Nous sommes à la limite du délit de faciès.»
      ben voyons... bravo l'avocat pour la défense!

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