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meme en boite a a alger il recale si t pas acconpagnie!!!!

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  • #46
    Hahahaha..je SUIS dans mon lit Elyas!

    A me dire que je vais probablement bientôt me lever et me faire un café...
    Je t'en sers un? Tu le prend avec moi?

    Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
    Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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    • #47
      Hahahaha..je SUIS dans mon lit Elyas!
      Comment ça, et l'ordinateur c'est un portable ?

      A me dire que je vais probablement bientôt me lever et me faire un café...
      Je t'en sers un? Tu le prend avec moi?
      Je ne refuse pas le café...

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      • #48
        Et bien oui c'est un portable, je n'emmène pas la tour dans mon lit attend!


        Okay, je vais ramener le café.
        Quatre sucre et un demi litre de lait comme moi?

        Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
        Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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        • #49
          Quatre sucre et un demi litre de lait comme moi?
          C'est quoi ça ? tu prend ça d'un coup ou c'est pour la journée ?

          Moi je prend un quart de libre, enfin un verre, avec deux sucrettes (faux sucre)...

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          • #50
            Oui je fais le plein pour la matinée tu vois!


            Non j'exagère...sucrettes aussi d'ailleurs. Sans rougir!
            Avec la dose que j'en prend, cela vaut mieux...


            T'as remarqué qu'on pollue là?

            Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
            Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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            • #51
              T'as remarqué qu'on pollue là?
              oui, revenons au videur de la boite... mais il y a un lien avec ce qu'on dit...le videur lui a besoin du litre entier de lait et du surce pour avoir l'energie necessaire à sa fonction

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              • #52
                Joli pirouette!


                Oui, tu as raison.
                Et il a aussi besoin d'un bonne dose de café pour avoir l'air bien agressif et faire peur.


                "C'est pas possible j'te dis!"


                "Aaaaah!!! Oui, pardonnez moi, pitié! Bouh!"






                Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
                Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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                • #53
                  waw tu fais bien le videur......et le vidé

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                  • #54
                    T'as remarqué qu'on pollue là?

                    Moi je propose un physio sur FA...stop à la pollution


                    Pour le topic


                    Je trouve ca normal de ne pas laisser entrer tout le monde... Il en faut un minimum pour rentrer la dedans quand même? et c'est pas plus mal Azur, qu'est ce que tu vas faire en boîte? Reste à la maison, c'est pas un endroit fréquentable d'après ce qu'on m'a dit des boîtes en Algérie

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                    • #55
                      Et moi je te crois bien volontiers quand au prix de la chambre.
                      Rien qu'un hôtel tout ce qu'il y a de plus basique coûte dans les 70€ la nuit...
                      Un hôtel 4**** à Tlemcen comme les Zianides coûtent 3500 dinards la nuitée... 6000 dinards au Pheonix d'Oran... Même le Sheraton d'Oran, j'ai le récent souvenir de la nuitée à 16000 dinard...
                      Donc ne généralisons pas avec les extravagances des "hôtels de chaîne" pratiquaient dans la capitale, d'ailleurs mon oncle qui travaille à Alger tout les 15 jours m'a assuré qu'il ne payé pas plus de 12000 Dinard à El Aurassi... Et tout ces hotels sont 4 étoiles voir plus alors je doute fortement qu'un hôtel "basique" puisse s'alligner sur les tarifs de ses confrères... Enfin, je parle de ma propre expérience... Peut-être que depuis mon récent séjour en avril, le monde de l'hôtellerie algérienne a basculé...

                      c'est pas un endroit fréquentable d'après ce qu'on m'a dit des boîtes en Algérie
                      Il ne faut pas confondre boite et cabarets...
                      Et puis il ne faut pas basé son expérience avec les "on dit", mais sur sa propre expérience...
                      Ca m'a toujours fais sourire ces gens qui ne mettent jamais les pieds en Algérie mais qui on pleins d'histoires à raconter...
                      Dernière modification par Faïrouze, 14 juin 2007, 11h15.
                      Le capitalisme a survécu au communisme. Il ne lui reste plus qu'à se dévorer lui-même. Charles Bukowski.

                      Investir dans l'agriculture et acheter des machines pour les felahs. Imran (18/10/07)

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                      • #56
                        A les boites de nuit algeriennes.... des que j'y pense je souris tout seul....
                        surtout les physio à l'entrée avec qui tu tapes la discute.
                        Pour en revenir à la question de depart : moi je suis rentré alors que j'etais avec 4 cousins, 1 oncle et mes 2 petits freres. Au total 8 mecs !!!!! Et on est passé sans sourciller (ca change du Man Ray ou du VIP à paris pour ceux qui connaissent)
                        Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                        "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                        Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                        • #57
                          Il ne faut pas confondre boite et cabarets...
                          Et puis il ne faut pas basé son expérience avec les "on dit", mais sur sa propre expérience...
                          Ca m'a toujours fais sourire ces gens qui ne mettent jamais les pieds en Algérie mais qui on pleins d'histoires à raconter...

                          Merci, mais je sais différencier une boîte d'un cabaret...quoique ...


                          Et je n'ai pas d'histoire à raconter, juste qu'on m'as dit que c'était pas un endroit à fréquenter, et j'en suis persuadée... bien avant même qu'on me le dise...

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                          • #58
                            je ne suis jamais allé en boite en algerie!j'aimerai bien connaitre!
                            on fait avec..........

                            Commentaire


                            • #59
                              je ne suis jamais allé en boite en algerie!j'aimerai bien connaitre!
                              oh tu sais c'est pas exceptionnel.... j'y suis allé par curiosité. Ya les boites classes, ou tu cotoies la jeunesse algerienne dorée. Il y a de l'alcool, des filles venus faire la fete et d'autres à la recherche de clients, de la musique occidentale, des gardes du corps aussi
                              Et puis il y a les autres boites, ou il y a plus d'hommes que des femmes en general, toujours de l'alcool, des femmes aussi à la recherche de clients.
                              Dans les 2 cas, c'est pas trop mon delire... je te jure qu'on est bien mieux à la terrasse d'un café face à la mer à zeralda ou à manger un glace bld hydra. Enfin c'est mon avis.
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                              Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                              • #60
                                La fièvre nocturne des clubbers

                                El-Watan _ Juillet 2006

                                Une tournée des « grands ducs » à travers les endroits plus ou moins fréquentés ou franchement bondés nous renseignera sur ces oiseaux de nuit, amateurs d’évasion et autres récréations estivales se défaussant de celles diurnes et vacancières.

                                La montre indique qu’il est plus de minuit. Destination Riadh El Feth abritant une forte concentration de cabarets et discothèques ne désemplissant guère durant toute l’année. Depuis l’agora, on entend déjà l’appel de la musique. Une cacophonie à tous les étages. Immanquablement du raï ! Une cacophonie attirant le « chaland ». Au Moual, un nightclub qui d’ordinaire fait salle comble - les chebs Redouane, Kader, Réda, Houari Dauphin, Nawal y animent des soirées -, est terriblement vide ! Une voix haut perchée, écorchée et vive emplit à elle toute seule ce lieu. C’est le beau grain... de toute beauté de cheba Naïma. Une sculpturale chanteuse interprétant le répertoire du raï ambiant célébrant l’amour vache et autres textes paillards. Cheba Naïma, malgré quelques tables occupées par des clients, se donne à fond (et bien sûr la forme) en présentant son showcase comme si elle se produisait devant des centaines de personnes. La preuve ! Elle s’emportait et exhibait des tics et tocs d’une bête de scène, toute en sueurs.

                                Trépignant et ne pouvant plus tenir en place, son petit mais bon public - exclusivement masculin pluriel - s’extirpera de sa torpeur pour danser sur le tube de l’été dernier Kalmat El Houb, dont l’auteur est cheb Adel, reprise par cheb Kader de par une version déjantée et impertinente par opposition au texte initial qui est plutôt clean. Ainsi, les danseurs ont-ils réagi à l’appel de l’amour et sa flèche de Cupidon. Une big dédicace leur sera offerte par cheba Naïma à l’endroit de Barigo (Mohammadia, à l’ouest du pays) et Oran. Aussi, l’assistance lui rendra la pareille en l’ovationnant frénétiquement et en trinquant à sa santé (in vino viritas !). Abordant le serveur sur la « désertion des lieux », il nous confiera : « D’habitude, le Moual est plein à craquer. Il faut venir le jeudi. Mais, je crois que les gens sont partis sur le littoral...C’est normal ! »

                                A proximité, dans les dédales du centre des arts, c’est le Soummam dont l’enseigne lumineuse nous attire. En poussant la porte vitrée, nous découvrirons une boîte de nuit peuplée et chaleureusement chaude bouillon. Et l’ambiance est foncièrement conviviale, mixte et enjouée emmenée par cheb Mokhtar. Là, c’est une ambiance beaucoup plus festive, voire fiévreuse marquée par la traditionnelle, incontournable et imposée figure de style « lyrique et théâtral » surenchère financière.

                                Celle plus communément appelée rechka et tebrah où la chanson est à la carte moyennant une donation argentière de 1000 DA. On est loin des extravagances des « bankables » de la corniche oranaise demandant des chansons à coups de millions (centimes). En fait, ceux qui sont argentés peuvent imposer leur playlist raï à l’auditoire et s’acheter un statut, une réputation, un rang... le temps d’un soir. Des heures de gloire... du m’as-tu-vu(e) des signes ostentatoires et exhibitionnistes des nouveaux richissimes se voulant des narcisses. D’autres noctambules anonymes jurant d’avec les épicuriens consomment à la fortune du pot des mousses qui coûtent quand même 400 DA. Ils savent compter, car cela chiffre ! Au chapitre de la bagatelle, les filles de joie « tapent la discussion » dans une atmosphère de pub londonien au comptoir tout en encourageant la gent masculine à franchir le pas, et ce, sur un rythme dance, romantique et « re-remixé » de Kount Nabghiha (je l’aimais) après cheb Kadirou (l’auteur de la chanson), cheb Hasni Seghir en ayant fait une version live (cabaret) et DJ Nassim dont la dernière compilation Raï Mix II est au top du hit-parade chez les disquaires. Kount Nabghiha raconte une histoire de triangle (pas la discothèque). Toujours dans cette virée nocturne, nous nous retrouvons devant l’entrée de La Rose bleue (boîte homonyme de celle de Palm Beach sur la côte). Mais le vigile nous signifiera que nous ne pouvons pas entrer vu que « c’est la fin de la soirée ».

                                Il est environ 3h. Les clubbers diront que c’est à cette heure-ci que cela commence à chauffer... à blanc. On aura été victime d’un « physionomiste » sélectionnant la clientèle. Quelques secondes après et juste à côté, les vigiles du restaurant El Bey auront été plus accueillants. Aussitôt, nous pénétrons dans une ambiance feutrée, cosy et joviale animée par cheb Mahfoud, un bout-en-train scénique (et pas du tout cynique) et cheba Habiba, une autre chanteuse qui a de la prestance, de la grâce et du talent, relayée par cheb Tayeb faisant dans le registre marocain (Abdelwahab Doukali) ainsi que par un clone de cheb Abdou en reprenant les titres truculents du Boy George algérien.

                                Il est 5h, il fait déjà jour ! Alger s’éveille ! Les oiseaux de nuit se cachent pour dormir pour une grasse et grosse matinée ! Le jeudi soir, nous fîmes cap sur la côte ouest d’Alger. C’est là que cela se passe, nous dit-on ! Et la bonne... presse du téléphone arabe est unanime. La plage de Palm Beach est bondée de monde et curieusement peuplée de parasols, même après minuit. Des familles entières, des couples ou encore des groupes de jeunes profitent de la mer à la belle étoile. Qui se baignant, qui dansant, qui jouant aux dominos (et sa théorie), se promenant à dos de cheval... entre les tables et les transats (balade dangereuse pour les estivants du bain... de minuit.

                                Vers 2h, nous frappons à la lourde porte de la discothèque la plus courue, la plus prisée et surtout la plus branchée de la place d’Alger. Après un passage obligé sous le portique « alarmeur » et par le « péage » - le droit de passage est de l’ordre de 1000 DA. Mais quand on aime la musique et faire la fête, on ne compte pas. Du coup, cette rose... des sables offre des nuits « bleues » enivrantes, voire planantes au rythme frénétique de la boule à facettes très chère au son hypnotique de la chanson Discotheque de U2 (in album Pop).

                                Cette boîte de nuit offre un standing très hype (branché), une déco dans l’air du temps, un jeu de lumières transcendental, un très bon sound system, un lounge (le carré réservé par les VIP - le fric, c’est chic !), de jolies plantes (suivez mon regard) et puis une superbe ambiance surchauffée. Elle alterne entre discothèque et raïothèque fréquentée par une population hétéroclite. Une clientèle jeune, âgée, entre-deux et celle de la high class (la haute, quoi !). Ici, il n’y a pas de complexe. Le jeunisme côtoie la gérontologie dans une bonne intelligence. L’amour... de la musique n’a pas d’âge. Ca discute, ça téléphone, ça drague, ça frime, ça sirote des sodas et des Scotchs et ça esquisse des chorégraphies lascives au grand bonheur de la gent masculine. Quand le DJ aux manettes diffuse du raï, le dancefloor est illico presto investi.

                                Surtout quand c’est cheb Redouane qui chante des tubes « avinés » Ch’rab sekerni zaâf (le vin m’a saoulé par colère) ou Khaïf nassha ou n’ndem (j’ai peur de me réveiller et de regretter). Là, les tandems de cavalières et cavaliers dansent collé serré. The hit is on ! (ça tourne à plein tube !). Et pour adoucir... les mœurs, le DJ de service balance des titres comme World Hold On de Bob Sainclair, We Are the Champions de Queen reprise par Crazy frog ou encore Say Say de Hi Tack (une autre version empruntée à Michael Jackson et Paul McCartney quand ils étaient amis). Cependant, vers 4h, c’est une party de rêve (sans ecstazy, bien sûr). C’est le quart d’heure américain ! Ce sont les filles aux appas « survitaminés » qui invitent à s’éclater sur la piste de danse mais cette fois-ci sur des décibels disco - très chers au Studio 54 de New York - dans smog vicié de volutes et faisceau laser à couper au couteau. Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse de la Rose bleue ! Ce qui est sûr, c’est qu’on adore, on y revient au nom de la rose... et note bleue (musique et addition) !

                                K. Smaïl
                                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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