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  • #16
    une autre

    Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.

    Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler.Ils preparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.

    Seul l'Amour resta.

    L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.

    La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau.

    L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"

    "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."

    L'Amour decida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !"
    "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."

    La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi."

    "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"

    Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !

    Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi."C'etait un vieillard qui avait parlé.

    L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.

    L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir
    "Qui m'a aidé ?"
    "C'était le Temps" repondit le Savoir.
    "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
    "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
    Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :
    "C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie."

    (Histoire proposée par Christian Boucher)
    " It's only when we follow our dreams, that we can discover the magic within ourselves" William Blake
    1 2 3 Vive le Maghreb United

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    • #17
      merci Rym81 pour cette histoire

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      • #18
        Sensib

        c moi qui te remercie pour le topics, j'adore ces histoires, si tu veux d'autres et bien je suis prête pour les raconter.
        " It's only when we follow our dreams, that we can discover the magic within ourselves" William Blake
        1 2 3 Vive le Maghreb United

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        • #19
          C'est avec un plaisir Rym81 de les lires

          racontes et on t'écoute

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          • #20
            fratérnité



            Un jour un vieil enseignant a demandé à ses élèves comment ils pouvaient dire que la nuit était finie et le jour levé. Un élève a proposé ceci : "C'est quand on voit un animal au loin et qu'on peut dire s'il s'agit d'un chien ou d'un chat." L'enseignant a dit que ce n'était pas la bonne réponse.

            Un autre élève a proposé ceci : "C'est quand on voit un arbre au loin et qu'on peut dire s'il s'agit d'un pommier ou d'un poirier." L'enseignant a dit que ce n'était pas la bonne réponse.

            Les élèves lui ont alors demandé de leur donner la réponse. Le vieil homme a alors dit : "C'est quand vous regardez le visage d'un homme, d'une femme, d'un enfant et que vous reconnaissez qu'il s'agit bien de votre frère ou de votre soeur. Tant que vous ne voyez pas cela, c'est la nuit"

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            • #21
              merci RYM de les partager

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              • #22
                le petit garçon et les ballons !
                Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux
                brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus,
                blancs, noirs, jaunes...

                Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui
                hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.

                "Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut
                que les autres ?"

                Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon
                dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :
                "Regarde"
                Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,
                montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement
                ils sont hauts.

                "Tu as vu ?"

                "Oui"

                "Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les
                autres ?"

                "Oui Monsieur"

                "Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.
                L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur.
                Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a
                en toi qui fera toute la différence dans ta vie."


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                • #23
                  une autre :
                  Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.

                  L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.

                  L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.

                  Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

                  L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

                  De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs

                  bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner

                  Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

                  Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

                  Les jours et les semaines passèrent.

                  Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

                  Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

                  Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.

                  L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort,
                  puis elle le laissa seul.

                  Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.

                  Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit.

                  Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

                  Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !

                  L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

                  L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.

                  Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.


                  Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.

                  La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.

                  Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

                  Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.

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                  • #24
                    mecmad

                    Très émouvantes tes histoires.

                    Rym81

                    Ton histoire par contre me rappelle celle la:

                    La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle. Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa : - On joue à cache-cache ?
                    - Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.
                    - Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.
                    - Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
                    Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
                    -1, 2, 3,... la Folie commença à compter.
                    L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.
                    La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.
                    La Joie courut au milieu du jardin.
                    La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher.
                    L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
                    La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
                    Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99.
                    - CENT ! Cria la Folie, je vais commencer à chercher...

                    La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.
                    En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité...

                    Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda - Où est l'Amour ? Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.

                    Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil.
                    La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.
                    L'Amour accepta les excuses.

                    Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours.
                    "Actions speak louder than words"

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