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Claude Allègre se dit prêt à travailler avec Nicolas Sarkozy

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  • #16
    Notre expert en chute des corps saisit la balle au bond pour expliquer son expérimentation
    Monsieur le Ministre a raison: une balle de tennis subit pratiquement la même résistance à l'air qu'une boule de pétanque de même diamètre. Il en déduit que les deux sphères mettent le même temps pour tomber de la même hauteur, comme dans le vide. C'est vrai tant que la hauteur de chute n'est pas trop grande.
    Car Monsieur le Ministre semble oublier une chose: la résistance de l'air augmente quand augmente la vitesse du mobile. Or, un objet en chute libre va de plus en plus vite. L'air exerce donc sur lui une force de plus en plus grande, et il arrive un moment où la vitesse est telle que cette force de frottements compense le poids qui fait tomber le mobile. Dès lors, l'objet est soumis à deux forces d'intensité égale, de même direction mais de sens opposés (le poids vers le bas, la force de frottement vers le haut). Ces deux forces s'équilibrent et Monsieur le Ministre sait bien que, dans ce cas, l'objet poursuit sa chute à vitesse constante. On dit qu'il a atteint sa vitesse limite (l'objet, pas Monsieur le Ministre!) Et, on vient de le voir, la vitesse limite dépend du poids.
    Résumons: deux sphères de poids différents et de même diamètre tombant à la même vitesse subissent la même résistance de l'air, mais leur différence de masse fait que la plus lourde subit une accélération plus grande (car l'accélération est le rapport entre la somme des forces par la masse!)
    En d'autres termes: a = g - F/m où "a" est l'accélération de l'objet (comptée positivement vers le bas), "g" l'intensité du champ de pesanteur, "F" la force de frottements (qui dépend de la vitesse et de la forme de l'objet, mais pas de sa masse) et "m" la masse de l'objet.
    Mais le destin des deux boules se sépare et Monsieur le Ministre se plante dès que la plus légère atteint sa vitesse limite car la plus lourde a une vitesse limite plus élevée et elle l'atteint plus tard. Pour peu que la hauteur de chute soit suffisante, la boule de pétanque, dont la vitesse limite est trois fois celle de la balle de tennis, distance sans mal cette dernière. Cet effet est encore plus marqué avec une balle de ping-pong et une bille d'acier de même taille.
    Les moniteurs de parapente connaissent bien le phénomène car ils choisissent une surface de voile plus grande pour des pratiquants plus lourds. C'est dire qu'à surface égale, donc à résistance de l'air égale, le plus lourd tombe le plus vite. Sa chute se passe plus vite...

    Calcul savant
    Monsieur le Ministre a tout faux quand il prétend que la résistance de l'air est la même pour les boules de pétanque et les balles de tennis.
    1- A vitesse égale, la résistance de l'air est de 13% plus forte pour la boule de pétanque, de diamètre plus élevé.
    2- Même en admettant, pour faire plaisir à Monsieur le Ministre, qu'un écart de 13% est négligeable, il y a beaucoup plus grave: la vitesse limite de la boule de pétanque dans l'air de masse volumique 1,293g/Litre (au niveau de la mer sous la pression atmosphérique normale et à 0°C), c'est 174,2km/h, celle de la balle de tennis, c'est 56,7km/h. rapport des deux vitesses: 3,07. Ce rappotr ne change pas si la densité de l'air change, du moment que les deux boules sont à la même altitude au même instant et au même endroit.
    3- Au bout de quelle hauteur de chute les boules atteignent-elles leurs vitesses limites respectives? Le calcul est assez compliqué, il faut des intégrales et tout le tremblement, car l'accélération des boules dépend de la vitesse et diminue à chaque instant jusqu'à s'annuler lorsque la vitesse limite est atteinte. Néanmoins, on peut avoir une idée très grossière de la différence de comportement des deux boules: dans le vide, et dans le champ de pesanteur g=9,81m/s², la balle de tennis atteint la vitesse de 56,7km/h (15,7m/s) au bout de 12,6m de chute, et la boule de pétanque atteint 174,2km/h (48,4m/s) en seulement 119,4m. Les distances sont différentes dans l'air puisque l'accélération diminue et les temps pour "atteindre" les vitesses limites sont plus longs, mais la différence entre les deux boules est de toute façon notable, et il est à craindre que, si on lâche en même temps une balle de tennis et une boule de pétanque du haut de la Tour Eiffel sur la tronche de Monsieur le Ministre, il n'ait intérêt à dégager plus d'un dixième de seconde avant l'arrivée de la balle de tennis, sinon cela ferait un petit moment qu'il aurait pris la boule de péatnque sur l'occiput.
    4- Ce qui serait une perte irréparable pour la mammouthologie et la prévision vulcanologique en Guadeloupe. (Note: ceci est une allusion à la controverse entre Haroum Tazieff et Claude Allègre sur l'oportunité d'une évacuation de la population en Guadeloupe, les faits ayant donné raison à Haroum Tazieff...)
    Renseignements fournis par:
    - la fédération française de tennis pour les masse et diamètre des balles de tennis;
    - la magasin "Go Sport" du coin pour les masse et diamètre des boules de pétanque:
    Balle de tennis: masse comprise entre 56,7g et 58,5g; diamètre compris entre 6,54cm et 6,86cm; moyennes arithmétiques: 57,6g et 6,70cm.
    Boule de pétanque: masse 700g; diamètre 7,6cm.

    Articles du Canard Enchaîné, mercredi 10/03/1999:
    Les grandes polémiques scientifiques: Allègre se met en boule et se déballonne
    "Le Canard a tort!" a lancé sur la radio Europe 1 (5 mars) Claude Allègre, interrogé sur notre polémique de haut vol à propos des boules et des balles. Et d'ajouter que nous avions "tronqué" la réponse du Prix Nobel de physique Georges Charpak, qui, rappelons-le, a décerné la note de "14/20" au Canard et avait déclaré que son ami Allègre "aurait dû nous féliciter". Sur sa lancée, le Minsitre ajoutait au micro qu'il allait nous envoyer illico une réponse commune avec Charpak, et que nous allions voir ce que nous allions voir. Or nous avons peu vu...
    La chute du courrier est-elle plus lente que la chute des corps? Le donneur de leçons de physique ne nous a rien envoyé. Seul Georges Charpak, qui ne s'estime en rien "tronqué" nous a adressé, outre une invitation à deviser "devant un pichet de rouge de qualité honorable" (voir ci-dessous la lettre de Georges Charpak) un commentaire personnel sur "la perturbation exercée par la résistance de l'air sur nos relations avec Allègre", dans lequel il dit son bonheur de voir "Le Canard mener une bénéfique croisade pour l'alphabétisation scientifique des Français."
    En revanche, on ne compte plus les lettres de lecteurs beaucoup plus "scientifiquement alphébitisés" que nous. L'un d'eux, responsable d'un laboratoire scientifique, nous a, en plus de ses calculs, fait parvenir une citation de Paul Valéry qui résume assez bien ce débat: "Ce qui est simple est toujours faux. Ce qui ne l'est pas est inutilisable"...
    C'est pourquoi, pour faire simple et utilisable à la fois, nous vous épargnerons une harassante bataille d'équations... Et, pour éviter de jouer au tennis avec des boules de pétanque, ce qui serait un peu lourd, ou de jouer à la pétanque avec des balles de tennis, ce qui passerait pour un peu léger, nous admettrons qu'avec sa réforme des lycées le dégraisseur de mammouth a d'autres motifs d'avoir les boules. D'autres problèmes de frottements comme ironise dans "Libération" du 7 mars une sommité de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm (un autre Prix Nobel de Physique?), interrogée après un physicien du Collège de France, qui "confirme la version du palmipède".
    Bref, même s'il refusait d'admettre que la réalité ne dépasse pas les frictions, nous ne saurions en vouloir au Ministre de choisir dans cette polémique sur la chute des corps de... laisser tomber.
    Dernière modification par reeeeeverblu, 13 mai 2007, 13h34.

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    • #17
      La leçon de Charpak
      Après avoir décerné au "Canard" la semaine dernière la note de "14/20", le Prix Nobel de physique Georges Charpak nous a adressé cette semaine ce commentaire sur "la perturbation exercée par la résistance de l'air sur nos relations avec Allègre"
      "Je suis heureux de voir le Canard mener une croisade pour l'alphabétisation scientifique des Français.
      Tout le monde sait, sauf les heureux pratiquants de la lévitation, que notre boule terrestre nous attire vers son centre. Mais peu savent que les "savants" ont découvert depuis peu de siècles que l'attraction terrestre exerce sur tous les objets matériels une force qui leur imprime une accélération indépendante de leur masse.
      Une bille de plomb et une plume d'oiseau, lâchés simultanément de la même hauteur, mettraient le même temps pour arriver au sol si la résistance de l'air à leur mouvement, qui dépend de façon vicieuse de la vitesse et de la forme, ne venait perturber et masquer cette loi simple. Allègre a proposé une expérience qui permettra au premier quidam venu de la vérifier. Une boule de pétanque et une balle de tennis lâchées en même temps arrivent ensemble ou presque ensemble. La différence des temps de chute est imperceptible si on reste à hauteur d'homme, même monté sur des échasses. Mais les superdoués du "Canard" ont imaginé une expérience qui amplifie l'effet de la résistance de l'air. Ils ont comparé les temsp de chute d'une bouteille de plastique pleine d'eau ou vide.
      Je suis justement à la recherche d'expériences simples qui permmettent d'illustrer, pour les enfants, les lois qui gouvernent la chute des corps. Je suggère au "Canard" de mettre la main à la pâte et de répéter les expériences depuis le 5ème étage de son immeuble en chronométrant soigneusement le temps de chute des bouteilles en variant, centimètre par centimètre, la hauteur de remplissage des bouteilles. Il mesurera ainsi à partir de quelle hauteur de liquide la résistance de l'air fausse l'expérience. Il aura peut-être des surprises.
      L'Académie des Sciences remet chaque année, à des professeurs d'écoles élémentaires, un prix à ceux qui imaginent les expériences les plus belles qui permettent de faire comprendre aux enfants les lois de la nature. Le réglement n'interdit pas aux journalistes de concourir. Mais les Français ont l'occasion de vérifier la loi de la chute des corps, dans les conditions parfaites, quand ils rêvent en voyant les astronautes se mouvoir en état d'apesanteur dans leurs capsules, en orbite autour de la Terre. Si on les interroge sur ce miracle, la majorité d'entre eux pense que la capsule et son contenu ont échappé à l'attraction terrestre. Erreur! A l'altitude de 500km l'attraction n'est réduite que de 15% environ. Si une fusée amenait la capsule à la verticale et l'abandonnait aux effets de la pesanteur, elle s'écraserait au sol en quelques minutes pendant lesquelles les cosmonautes et leur attirail jouiraient d'une apparente apesanteur exquise car tous seraient soumis à la même accélération, quelle que soit leur masse, et donc à la même vitesse, puisqu'ils ont la même vitesse initiale, jusqu'à ce qu'ils rejoignent la région néfaste de l'atmosphère.
      Pour un satellite, la pichenette horizontale qui met la capsule en orbite fait toute la différence. Celle-ci est encore fortement attirée par la Terre mais elle évite l'atmosphère, très raréfiée à cette altitude.
      Pourquoi les astronautes sont-ils en état d'apesanteur apparente ainsi que tous les objets qui les accompagnent? Parce qu'ils sont soumis, à cause des lois qui gouvernent l'attraction terrestre, à une accélération qui ne dépend pas de leurs masses. Ils subissent donc tous les mêmes variations de vitesse et voguent de concert, pour l'éternité ou presque.
      Supposons en effet qu'un cosmonaute sorte de la capsule en tenant une boule de pétanque noire et une balle de tennis blanche. S'il les lâche ensemble elles ne se sépareront pas et ne le quitteront pas car il n'y a pas d'atmosphère traîtresse.
      Pourtant elles se sépareront quand même en raison d'un effet très faible. Je suggère que nous en discutions devant un pichet de rouge de qualité honorable en devisant de la façon la plus efficace d'éviter à nos compatriotes la chute dans des pièges bien plus grossiers que la perturbation, aux faible vitesses, apportée aux lois de Galilée et de Newton par la résistance de l'air. Il est regrettable de voir qu'un des plaisirs des physiciens est de chercher la limite de validité des sacro-saintes lois de la nature et qu'ils semblent devoir être rejoints, sur ce terrain, par "Le Canard".
      Georges Charpak.

      allegre3.jpg (70572 octets)

      Des chiffres et des êtres
      De nombreux lecteurs du Canard estiment trop indulgente pour Monsieur le Ministre la description simplifiée de la chute de ses boules parue dans le dernier "Canard". Nous avons en effet admis qu'Allègre avec son "quasi" ne se plantait pas trop dans les débuts de la chute.
      Or affirmer qu'à résistance de l'air égale les chutes sont identiques est une énormité. Allègre a tort dès les premires millimètres de chute car ses deux boules subissent une accélération différente dès leur mise en mouvement. Dans l'air, contrairement à ce qui se passe dans le vide, la force que subit un objet qui tombe n'est pas proportionnelle à la masse, et à résistance de l'air égale l'objet massif tombe plus vite.
      Un calcul niveau Deug (ou niveau math sup, dont Monsieur le Ministre a dit tant de mal!) indique que, lâchée de "hauteur de Ministre", la boule de pétanque met à l'arrivée dans les 5 centimètres dans la vue à la balle de tennis. Mais elle arrive seulement 9 millièmes de secondes avant sa poursuivante. C'est imperceptible à l'oeil, mais mesurable. Du dixième étage, l'écart est de plus de 2 mètres! et la balle de tennis accuse un retard d'une demi-seconde. Ces valeurs subissent des corrections minimes en prenant en compte l'état de surface des boules, la variation de densité de l'air avec l'altitude (qui joue dans le même sens pour les deux boules), la correction de poussée d'Archimède et l'âge du capitaine, pardon du Ministre...
      Mais, comme laisse tomber un lecteur, il ne faudrait pas que "la physique vire à l'aigre"...

      Articles du Canard Enchaîné, mercredi 17/03/1999:
      Les grandes polémiques scientifiques: Allègre, le poids des boules et le poids des mots
      Allegro ma non troppo, un peu d'Allègre mais pas trop... Forts de cet adage et compte tenu d'une actualité qui ne lui est pas trop favorable cette semaine (nombreuses manifestations d'enseignants), nous avions décidé de ne pas relancer la polémique avec notre omniscient ministre de l'Education Nationale, de la Recherche, etc... Nous étions prêts à en finir avec les boules et les balles, et, comme nous le suggérions la semaine dernière à l'intéressé, à laisser choir à notre tour pour ne point lasser. Seulement voilà. Nous sommes tombés sur deux textes essentiels que nous ne sourions garder par-devers nous.
      Le premier est de l'excellent Galileo Galilei, autrement dit Galilée en personne, grand expert, s'il en est, en chute des corps. En peu de mots et sans calculs, il clôt le débat avec un écrit qui date de 1638 ("Discours concernant deux sciences nouvelles" aux excellentes éditions PUF: presses univertaires de France):
      "L'expérience qui consiste à prendre deux mobiles de poids aussi différents que possible et à les lâcher d'une hauteur donnée pour observer si leurs vitesses sont égales, offre quelques difficultés; car si la hauteur est importante, le milieu que le corps, en tombant, doit ouvrir et repousser latéralement par son impeto gênera beaucoup plus le faible moment du mobile le plus léger que la force considérable du plus lourd, et sur une longue distance le corps léger demeurera ainsi en arrière; si en revanche la hauteur est brève, on doutera qu'il y ait quelque différence, ou, si elle existe, elle sera imperceptible."

      Bref, Galilée, le premier, tenait compte de la résistance de l'air que nous avons invoquée et dont Claude Allègre avait omis de parler.
      Mais fi du poids des boules, passons au poids des mots! Là, il nous faut reconnaître que ceux du Ministre sont plus lourds que les mots ordinaires. Comme on peut le voir dans ce second texte, qui est de sa plus belle plume, Claude Allègre a une tendance à surcharger (voir document).
      Dernière modification par reeeeeverblu, 13 mai 2007, 13h39.

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      • #18
        fin

        "On voit que la recherche à pénétrée le monde agricole comme peut-être aucune autre activité économique. Le Ministre de la Recherche en est fier. Signé: Claude Allègre."

        Le manuscrit ministériel a fait la joie des organisateurs du salon de l'agriculture, qui vient de fermer. Allègre, sans y venir, en a néanmoins été une vedette grâce à ses écrits. Explication: en signant l'année dernière le livre d'or dudit salon, notre sympathique mais éruptif Ministre a réussi la prouesse de faire deux fautes d'orthographe lourdes en quatre lignes. Un accent sur le "a" en trop et un "e" en trop au participe "pénétré". Après les balles et les boules, c'est ce qui s'appelle friser la bulle en orthographe.
        Mais loin de nous l'idée de lui jeter la pierre (ou tout autre objet), ces petites faiblesses constatées chez l'élève Allègre en physique et en orthographe vont tout à fait dans le sens de la réforme envisagée par le ministre du même nom. Elles justifient pleinement une mesure que l'intéressé expliquait lui-même dans un entretien au quotidien "Le Parisien" (15/03/99): désormais les instituteurs pourront consacrer "deux heures par semaine à ceux des élèves qui en ont le plus besoin".
        Notre ami est particulièrement gâté cette semaine. Les instituteurs, mais aussi les professeurs de lycée et des classes préparatoires aux grandes écoles, descendent dans la rue pour ne s'occuper que de lui!


        Allègre a les boules (suite)
        Le ministre de l'Education Nationale a vraiment fait marrer ses collègues, le 10 mars, juste avant le conseil des ministres. Evoquant la polémique scientifique (du siècle) qui l'oppose au "Canard" à propos de la vitesse de chute d'une boule de pétanque et de celle d'une balle de tennis, Claude Allègre leur en a raconté une bien bonne:
        "Mes chauffeurs ont fait l'expérience dans la cour du ministère en envoyant en même temps, par l'une des fenêtres, une balle de tennis et une boule de pétanque. Et bien vous savez ce qui est arrivé? La boule de pétanque est tombée sur une voiture et a abîmé sa carrosserie. Comme quoi les expériences peuvent être dangereuses".
        (1)
        Commentaire de Jean Glavany, le ministre de l'Agriculture:
        "Moi, je ne connais rien à ces histoires de boules. Je ne veux pas prendre parti dans cette affaire. Mais je t'en prie, si un jour tu m'envoies quelque chose dans la figure, choisis la balle de tennis et pas la boule de pétanque".
        Manifestement, cette histoire de boules les tourneboule.


        (1) meme l'experience de le mettre au gvt.
        Dernière modification par reeeeeverblu, 13 mai 2007, 13h42.

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        • #19
          Allègre est né dans la Grande Kabylie française dans les Monts de l' Espinouse. Bien entendu il est têtu comme ses frères kabyles dont je fais partie. Ceci dit c'est un type remarquable et d'une probité morale sans faille, comme son ami Jospin d'ailleurs. En tout cas, c'est pas l'ami des pédagos. Je connais ses faits et gestes qui en font un vrai preux chevalier de Septimanie ferraillant courageusement et sans retenu contre le crétinisme quel qu'il soit et d'où qu'il vienne.

          Les filles seules et abandonnées, voilà un type bien que je vous recommande !

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