Les événements heureux nous réjouissent à ce moment précis, puis on les oubie.....mais les mauvais souvenirs, les plus traumatisants restent gravés et nous marquent a jamais -sans une vraie prise en charge affective et psychologique…-
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Les souvenirs des évènements de type traumatique ne sont pas éliminés comme on le croit. Les personnes qui ont vécus des évènements traumatisants et semblent les avoir effacés, les ont en réalité quelque part dans leur mémoire. Ils sont même étonnamment plus précis que les souvenirs plaisants !
C'est Sigmund Freud qui avait développé la théorie affirmant que les personnes ayant vécu des évènements horribles et traumatisants les réprimaient en effaçant ces souvenirs de leurs mémoires avant de pouvoir gérer ce qu'il leur était arrivé.
Après une longue étude, des chercheurs ont cependant découvert à leur très grande surprise que les évènements plaisants étaient bien plus difficile à se remémorer que les évènements déplaisants.
On a ainsi étudié 29 personnes qui avaient vécu des évènements traumatisants comme des tentatives de viols ou des violences domestiques quelques mois préalablement à l'étude. On demandait aux participants de donner des détails sur leur expérience ainsi que sur d'autres évènements récents comme les mariages, naissances, récompenses ou vacances.
On a revu ces personnes régulièrement 3 mois après et 4 à 5 ans après. Le questionnaire permettait de donner une note de précision maximum de 36. La note moyenne des participants pour les évènements traumatiques était de 30 tandis qu'il n'était que de 15 pour un événement plaisant.
Cela pourrait s'expliquer par un objectif de survie : il vaut mieux pouvoir se souvenir des évènements traumatisants afin de les éviter par la suite. Il faudra peut-être revoir la copie de Freud.
Sources : Reuters
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Les souvenirs des évènements de type traumatique ne sont pas éliminés comme on le croit. Les personnes qui ont vécus des évènements traumatisants et semblent les avoir effacés, les ont en réalité quelque part dans leur mémoire. Ils sont même étonnamment plus précis que les souvenirs plaisants !
C'est Sigmund Freud qui avait développé la théorie affirmant que les personnes ayant vécu des évènements horribles et traumatisants les réprimaient en effaçant ces souvenirs de leurs mémoires avant de pouvoir gérer ce qu'il leur était arrivé.
Après une longue étude, des chercheurs ont cependant découvert à leur très grande surprise que les évènements plaisants étaient bien plus difficile à se remémorer que les évènements déplaisants.
On a ainsi étudié 29 personnes qui avaient vécu des évènements traumatisants comme des tentatives de viols ou des violences domestiques quelques mois préalablement à l'étude. On demandait aux participants de donner des détails sur leur expérience ainsi que sur d'autres évènements récents comme les mariages, naissances, récompenses ou vacances.
On a revu ces personnes régulièrement 3 mois après et 4 à 5 ans après. Le questionnaire permettait de donner une note de précision maximum de 36. La note moyenne des participants pour les évènements traumatiques était de 30 tandis qu'il n'était que de 15 pour un événement plaisant.
Cela pourrait s'expliquer par un objectif de survie : il vaut mieux pouvoir se souvenir des évènements traumatisants afin de les éviter par la suite. Il faudra peut-être revoir la copie de Freud.
Sources : Reuters
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