Bonsoire
cenddrillon Djaya fi kalich
Extrait du poème "Bakhta", de Abdelkader El-Khaldi :
....ah non mais j entends les sabots deja du cheval....oh mais qui voila Katiaret , je suis ta cendrillon pour ce soir viens me chercher on va ensemble à la soirée
Depuis le jour de son retour, avec ses grands yeux d'une teinte irrésistible,
Bakhta, la plus belle d'entre les filles, un hommage de Houaria.
Bakhta lumière de toujours, c'est la source de ma souffrance.
C'est elle que mon cœur désire ardemment, notamment lorsqu'elle me susurre que je suis son souverain.
Mon cœur se fane dans ma solitude, Bakhta est la source de ma souffrance.
Une grande compassion à l'égard de Khaldi si vous l'auriez vu en ce monde
Un messager s'est présenté à moi, Bakhta l'avait abordé à la gare.
Elle l'a envoyé chez moi, me donner des nouvelles en toute discrétion.
Il arriva vers midi, il m'a trouvé tourmenté et soucieux par le chagrin et l'esprit préoccupé par celle qui me tourmente.
Elle arrivait dans une calèche, altière tel un chef de l'armée...
Le cou dressé, racé et le visage aussi clair qu'un miroir.
Bakhta tel un cheval d'apparat, nulle gazelle ne peut égaler sa beauté ...
C'est elle que mon cœur désire ardemment, notamment lorsqu'elle me susurre que je suis son souverain.
Elle arrivait dans une calèche, altière tel un chef de l'armée...
Elle suscite mon émerveillement au point d'en perdre toute bravoure.
Mon cœur se fane dans ma solitude, Bakhta est la source de mes souffrances.
Bakhta, la plus belle d'entre les filles, un hommage de Houaria.
Bakhta lumière de toujours, c'est la source de ma souffrance.
C'est elle que mon cœur désire ardemment, notamment lorsqu'elle me susurre que je suis son souverain.
Mon cœur se fane dans ma solitude, Bakhta est la source de ma souffrance.
Une grande compassion à l'égard de Khaldi si vous l'auriez vu en ce monde
Un messager s'est présenté à moi, Bakhta l'avait abordé à la gare.
Elle l'a envoyé chez moi, me donner des nouvelles en toute discrétion.
Il arriva vers midi, il m'a trouvé tourmenté et soucieux par le chagrin et l'esprit préoccupé par celle qui me tourmente.
Elle arrivait dans une calèche, altière tel un chef de l'armée...
Le cou dressé, racé et le visage aussi clair qu'un miroir.
Bakhta tel un cheval d'apparat, nulle gazelle ne peut égaler sa beauté ...
C'est elle que mon cœur désire ardemment, notamment lorsqu'elle me susurre que je suis son souverain.
Elle arrivait dans une calèche, altière tel un chef de l'armée...
Elle suscite mon émerveillement au point d'en perdre toute bravoure.
Mon cœur se fane dans ma solitude, Bakhta est la source de mes souffrances.
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