Seize élèves du lycée Tahar Arghib de la wilaya de Sétif ( à 300 km à l’est d’Alger) ont perdu connaissance, dimanche 16 février, pendant leur cours de sciences islamiques, selon des sources locales.
Tout a commencé par l’évanouissement d’une élève, que l’on a présentée comme étant « possédée », pendant que l’enseignant des sciences islamiques récitait à haute voix des versets du Saint Coran. Apeurées et prises de panique, quinze de ses camarades ne tarderont pas à s’évanouir à leur tour, ce qui a nécessité l’intervention rapide de la Protection civile qui a transféré les lycéennes en question à l’hôpital de Bouandas de Sétif dans l’est de l’Algérie .
Cette nouvelle a suscité l’étonnement et l’indignation de par son caractère insolite et surtout anti-pédagogique. Beaucoup se sont, en effet, indignés de la démarche de l’enseignant, rappelant que son rôle se limite strictement à transmettre le savoir.
La Gendarmerie nationale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cette affaire et situer les responsabilités. Ainsi, l’enseignant des sciences islamiques sera éventuellement convoqué dans le cadre de l’enquête enclenchée. De leur côté, les parents d’élèves ont exprimé leurs appréhensions, craignant que l’incident ne reproduise au sein de l’institution éducative.
ObsAlgerie
Tout a commencé par l’évanouissement d’une élève, que l’on a présentée comme étant « possédée », pendant que l’enseignant des sciences islamiques récitait à haute voix des versets du Saint Coran. Apeurées et prises de panique, quinze de ses camarades ne tarderont pas à s’évanouir à leur tour, ce qui a nécessité l’intervention rapide de la Protection civile qui a transféré les lycéennes en question à l’hôpital de Bouandas de Sétif dans l’est de l’Algérie .
Cette nouvelle a suscité l’étonnement et l’indignation de par son caractère insolite et surtout anti-pédagogique. Beaucoup se sont, en effet, indignés de la démarche de l’enseignant, rappelant que son rôle se limite strictement à transmettre le savoir.
La Gendarmerie nationale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cette affaire et situer les responsabilités. Ainsi, l’enseignant des sciences islamiques sera éventuellement convoqué dans le cadre de l’enquête enclenchée. De leur côté, les parents d’élèves ont exprimé leurs appréhensions, craignant que l’incident ne reproduise au sein de l’institution éducative.
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