Il voulait -peut etre- juste faire partie de Tajmaat, et le pauve n’a pas ete invité !
=
Des jeunes hommes assis à la djemaâ à Taguemount Badfel, en train de discuter de choses et d’autres au crépuscule, furent surpris de voir un chacal émerger de l’ombre et foncer droit sur eux. Passé le moment de surprise, ils réagirent en essayant d’éloigner le canin sauvage au comportement étrange. Mais celui-ci réussit à mordre l’un d’eux avant de prendre la fuite sous les coups de pieds. Quelques instants plus tard, c’est un enfant du village voisin d’Ighil Guefri qui fut la victime du chacal mordeur. On apprit par la suite que quelques jours auparavant, un homme avait été mordu dans l’agglomération d’Agouni Oujilvane, à quelques centaines de mètres de là, sur le versant donnant sur Tizi rage. Si les victimes du canin enragé sont actuellement traitées par les services hospitaliers dans le cadre du suivi vaccinal indispensable, la bête court toujours. Il est vrai qu’après la manifestation des symptômes de la rage, il ne reste que quelques jours, voire quelques heures de vie à l’animal. Mais il aura probablement le temps de transmettre le virus mortel à ses congénères ou même aux chiens qui seront autant de vecteurs menaçants pour l’homme.
- La depeche de Kabylie
=
Des jeunes hommes assis à la djemaâ à Taguemount Badfel, en train de discuter de choses et d’autres au crépuscule, furent surpris de voir un chacal émerger de l’ombre et foncer droit sur eux. Passé le moment de surprise, ils réagirent en essayant d’éloigner le canin sauvage au comportement étrange. Mais celui-ci réussit à mordre l’un d’eux avant de prendre la fuite sous les coups de pieds. Quelques instants plus tard, c’est un enfant du village voisin d’Ighil Guefri qui fut la victime du chacal mordeur. On apprit par la suite que quelques jours auparavant, un homme avait été mordu dans l’agglomération d’Agouni Oujilvane, à quelques centaines de mètres de là, sur le versant donnant sur Tizi rage. Si les victimes du canin enragé sont actuellement traitées par les services hospitaliers dans le cadre du suivi vaccinal indispensable, la bête court toujours. Il est vrai qu’après la manifestation des symptômes de la rage, il ne reste que quelques jours, voire quelques heures de vie à l’animal. Mais il aura probablement le temps de transmettre le virus mortel à ses congénères ou même aux chiens qui seront autant de vecteurs menaçants pour l’homme.
- La depeche de Kabylie
Commentaire