L'islamologue, qui niait jusqu'ici toute relation avec les deux premières accusatrices, a admis avoir eu une liaison avec la 3e plaignante française.
Tariq Ramadan, écroué en février près de Paris pour des accusations de viols de la part de trois femmes en France (ainsi qu'une en Suisse et une autre aux Etats-Unis), a admis pour la première fois avoir eu une liaison avec la troisième plaignante française. L'islamologue suisse contestait jusqu'ici toute relation sexuelle avec ses deux premières accusatrices et fustigeait une «campagne de calomnie». C'est aussi la première fois que Tariq Ramadan admet une liaison extra-conjugale dans cette affaire.
Selon Europe 1 jeudi, il a admis avoir une relation avec Marie, une femme de 42 ans convertie à l'islam, qui avait fourni une centaine de captures d'écran des messages très crus et échangés avec Ramadan, mais aussi des vidéos et des enregistrements, explique la radio.
Toutefois, selon l'avocat de Tariq Ramadan, «l'histoire» qu'elle aurait eu avec son client «n'est pas celle qu'elle a décrit», a-t-il affirmé. Il s'expliquera devant les juges, a-t-il ajouté auprès du journal Libération.
Robe tachée de sperme
La femme a également donné aux enquêteurs une robe tachée du sperme de l'islamologue genevois. Mercredi, une expertise a été ordonnée par les juges pour vérifier si cette tache correspond à l'ADN de son présumé bourreau. Cette Lilloise a affirmé avoir subi de multiples viols entre 2013 et 2014 en France, à Bruxelles et à Londres. Elle a décrit dans sa plainte des rapports sexuels très violents à carsctère sadomasochiste et sous la contrainte, le plus souvent dans des hôtels en marge des conférences à succès du prédicateur, selon un scénario similaire à celui raconté par les autres plaignantes.
Mercredi, une expertise très attendue avait décidé que Tariq Ramadan, qui souffre d'une sclérose en plaques depuis 2006, pouvait suivre son traitement médical même en détention. Il devra en revanche continuer à bénéficier de l'accès aux soins, notamment de son traitement médicamenteux et de ses quatre séances de kinésithérapie hebdomadaire. L'islamologue, disant souffrir d'une sclérose en plaques et d'une neuropathie, avait contesté son incarcération.
20 minutes
Tariq Ramadan, écroué en février près de Paris pour des accusations de viols de la part de trois femmes en France (ainsi qu'une en Suisse et une autre aux Etats-Unis), a admis pour la première fois avoir eu une liaison avec la troisième plaignante française. L'islamologue suisse contestait jusqu'ici toute relation sexuelle avec ses deux premières accusatrices et fustigeait une «campagne de calomnie». C'est aussi la première fois que Tariq Ramadan admet une liaison extra-conjugale dans cette affaire.
Selon Europe 1 jeudi, il a admis avoir une relation avec Marie, une femme de 42 ans convertie à l'islam, qui avait fourni une centaine de captures d'écran des messages très crus et échangés avec Ramadan, mais aussi des vidéos et des enregistrements, explique la radio.
Toutefois, selon l'avocat de Tariq Ramadan, «l'histoire» qu'elle aurait eu avec son client «n'est pas celle qu'elle a décrit», a-t-il affirmé. Il s'expliquera devant les juges, a-t-il ajouté auprès du journal Libération.
Robe tachée de sperme
La femme a également donné aux enquêteurs une robe tachée du sperme de l'islamologue genevois. Mercredi, une expertise a été ordonnée par les juges pour vérifier si cette tache correspond à l'ADN de son présumé bourreau. Cette Lilloise a affirmé avoir subi de multiples viols entre 2013 et 2014 en France, à Bruxelles et à Londres. Elle a décrit dans sa plainte des rapports sexuels très violents à carsctère sadomasochiste et sous la contrainte, le plus souvent dans des hôtels en marge des conférences à succès du prédicateur, selon un scénario similaire à celui raconté par les autres plaignantes.
Mercredi, une expertise très attendue avait décidé que Tariq Ramadan, qui souffre d'une sclérose en plaques depuis 2006, pouvait suivre son traitement médical même en détention. Il devra en revanche continuer à bénéficier de l'accès aux soins, notamment de son traitement médicamenteux et de ses quatre séances de kinésithérapie hebdomadaire. L'islamologue, disant souffrir d'une sclérose en plaques et d'une neuropathie, avait contesté son incarcération.
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