La France a décidé de restituer les crânes des résistants algériens, actuellement au Musée de l'Homme à Paris, a annoncé mercredi à Alger le président français Emmanuel Macron.
"J'ai accédé à une demande plusieurs fois réitérée par les pouvoirs publics algériens d'avoir la restitution des crânes des résistants algériens et j'ai pris la décision de procéder justement à cette restitution", a-t-il précisé lors d'une conférence de presse à l'issue de la visite d'amitié et de travail en Algérie.
Par ailleurs, le président Macron a réagi à la décision du Président américain qui vient de reconnaitre El-Qods comme capitale d’Israël, la qualifiant de "regrettable", tout en insistant sur la "solution de deux Etats".
"Je ne peux que désapprouver cette décision unilatérale (...) qui n'engage que les Etats-Unis", a-t-il dit, ajoutant que cette décision intervient "en contradiction avec le droit international et les résolutions des Nations unies".
"Je n'ai pas à la condamner, elle se met d'elle-même dans cet ordre-là", a-t-il souligné.
Il a également réaffirmé la volonté de la France à soutenir le processus de paix et la solution de deux Etats (Palestine-Israël).
Lire aussi / Macron à El Watan : « Je viens dans l’état d’esprit d’un ami de l’Algérie »
APS
"J'ai accédé à une demande plusieurs fois réitérée par les pouvoirs publics algériens d'avoir la restitution des crânes des résistants algériens et j'ai pris la décision de procéder justement à cette restitution", a-t-il précisé lors d'une conférence de presse à l'issue de la visite d'amitié et de travail en Algérie.
Par ailleurs, le président Macron a réagi à la décision du Président américain qui vient de reconnaitre El-Qods comme capitale d’Israël, la qualifiant de "regrettable", tout en insistant sur la "solution de deux Etats".
"Je ne peux que désapprouver cette décision unilatérale (...) qui n'engage que les Etats-Unis", a-t-il dit, ajoutant que cette décision intervient "en contradiction avec le droit international et les résolutions des Nations unies".
"Je n'ai pas à la condamner, elle se met d'elle-même dans cet ordre-là", a-t-il souligné.
Il a également réaffirmé la volonté de la France à soutenir le processus de paix et la solution de deux Etats (Palestine-Israël).
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APS
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