Depuis 14 ans et plusieurs fois par jour, une retraitée de 65 ans tape l'incruste aux obsèques de gens qu'elle ne connaît pas. Elle se goinfre, remplit son Tupperware et s'en va.
Les habitants de Slough (sud de l'Angleterre) n'en peuvent plus du petit manège que mène Theresa Doyle, une retraitée de 65 ans. Depuis 14 ans, cette Britannique tape l'incruste aux enterrements de gens qu'elle ne connaît pas, raconte metro.co.uk. La plupart du temps, elle s'invente un lien avec la personne décédée et accède ainsi au buffet suivant la cérémonie. Là, elle se goinfre, sort un tupperware qu'elle remplit de nourriture, saute sur son vélo et ramène son butin chez elle.
Selon ses voisins, qui observent ses allées et venues depuis belle lurette, la sexagénaire squatte plusieurs enterrements par jour et parvient ainsi à assurer ses repas quotidiens. Elle quitte sa maison dans ses habits de tous les jours mais dans le panier de son vélo, elle range une tenue noire qu'elle revêt une fois arrivée à l'église, rapporte une voisine.
Elle s'invente un métier de serveuse
C'est une certaine Margaret Whitehead qui a publiquement dénoncé le comportement étrange de la retraitée. La semaine dernière, la Britannique avait le pénible devoir d'enterrer sa fille Catherine, âgée de 42 ans, quand elle a vu Theresa débarquer. La sexagénaire a expliqué à la maman endeuillée qu'elle avait travaillé comme serveuse avec sa fille. Problème: Catherine n'a jamais exercé ce métier. «Elle mangeait au buffet comme pas permis», tempête Margaret.
Pour tenter de tromper la vigilance de la retraitée, une veuve a décidé de ne pas publier d'avis de décès. Mais sa technique s'est avérée inefficace: Theresa a appris par la bande qu'un enterrement avait lieu, et s'est pointée avec sa boîte à sandwiches.
Le curé botte en touche
Au grand dam de la communauté, rien ni personne ne peut légalement empêcher la pique-assiette de cesser non activité. Le curé du coin, lui, semble trouver des excuses à la dame: «En tant que catholique, elle est convaincue de devoir assister à un maximum de cérémonies. Je ne peux pas vraiment lui dire qu'elle ne peut pas venir», se justifie-t-il. Confrontée par des habitants, la sexagénaire leur a rétorqué: «Je ne vous ai rien fait». «On ne peut pas lui parler. On lui a demandé pourquoi elle faisait cela, mais elle se braque et ne répond rien du tout», déplore sa voisine de palier.
(joc)
Les habitants de Slough (sud de l'Angleterre) n'en peuvent plus du petit manège que mène Theresa Doyle, une retraitée de 65 ans. Depuis 14 ans, cette Britannique tape l'incruste aux enterrements de gens qu'elle ne connaît pas, raconte metro.co.uk. La plupart du temps, elle s'invente un lien avec la personne décédée et accède ainsi au buffet suivant la cérémonie. Là, elle se goinfre, sort un tupperware qu'elle remplit de nourriture, saute sur son vélo et ramène son butin chez elle.
Selon ses voisins, qui observent ses allées et venues depuis belle lurette, la sexagénaire squatte plusieurs enterrements par jour et parvient ainsi à assurer ses repas quotidiens. Elle quitte sa maison dans ses habits de tous les jours mais dans le panier de son vélo, elle range une tenue noire qu'elle revêt une fois arrivée à l'église, rapporte une voisine.
Elle s'invente un métier de serveuse
C'est une certaine Margaret Whitehead qui a publiquement dénoncé le comportement étrange de la retraitée. La semaine dernière, la Britannique avait le pénible devoir d'enterrer sa fille Catherine, âgée de 42 ans, quand elle a vu Theresa débarquer. La sexagénaire a expliqué à la maman endeuillée qu'elle avait travaillé comme serveuse avec sa fille. Problème: Catherine n'a jamais exercé ce métier. «Elle mangeait au buffet comme pas permis», tempête Margaret.
Pour tenter de tromper la vigilance de la retraitée, une veuve a décidé de ne pas publier d'avis de décès. Mais sa technique s'est avérée inefficace: Theresa a appris par la bande qu'un enterrement avait lieu, et s'est pointée avec sa boîte à sandwiches.
Le curé botte en touche
Au grand dam de la communauté, rien ni personne ne peut légalement empêcher la pique-assiette de cesser non activité. Le curé du coin, lui, semble trouver des excuses à la dame: «En tant que catholique, elle est convaincue de devoir assister à un maximum de cérémonies. Je ne peux pas vraiment lui dire qu'elle ne peut pas venir», se justifie-t-il. Confrontée par des habitants, la sexagénaire leur a rétorqué: «Je ne vous ai rien fait». «On ne peut pas lui parler. On lui a demandé pourquoi elle faisait cela, mais elle se braque et ne répond rien du tout», déplore sa voisine de palier.
(joc)
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