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Dote de mariage en kabylie
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Ilath c'est juste une tradition, il ne s'agit pas de vendre sa fille sinon on exigerait bien plus que quelques dinars ou centaines de dinars.
Cette somme est symbolique et revient exclusivement à la fille qui peut s'acheter un souvenir avec.
Contrairement à d'autres régions où on fait de la surenchère comme si la fille avait un prix. C'est une bonne tradition en effet.
Ce qui n'empêche pas le jeune marié d'offrir les cadeaux qu'il veut (qu'il peut) à sa jeune épouse s'il le souhaite, mais à chacun ses moyens pas de contraintes.
Félicitations Slimane, meilleurs voeux de bonheur à ta filleHope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"
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Justement je suis contre la symbolique de cette tradition on peut s'en passer et ça dégrade l'image de la femme de sur croît qui joue de le rôle d'une marchandise dans cette histoire , t'es libre de l'accepter mais moi je suis contre
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@Llath
La traduction du mahr musulman par "dot" est conventionelle mais erronnée. La dot dans les sociétés occidentales jadis designait ce que le père de l'épousée donnait à l'époux et non l'inverse. Par ailleurs, en Islam le mahr est un bien propre donné à l'épouse elle-même et non un don à son père ou à sa famille ou à une quelconque tierce partie.
Enfin, s'agissant d'un élement constitutif (rokn) du contrat de mariage musulman et etabli comme tel par un texte explicite (nass sarîh), il n'appartient à personne de l'annuler chez les musulmans, et encore moins une Lât ou un 3uzza.Dernière modification par Harrachi78, 16 août 2017, 22h21."L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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La preuve que la femme est considérée comme une marchandise même si c'est 1 DA , je suis contre cette tradition primitive
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La traduction du mahr musulman par "dot" est conventionelle mais erronnée. La dot dans les sociétés occidentales jadis designait ce que le père de l'épousée donnait à l'époux et non l'inverse. Par ailleurs, en Islam le mahr est un bien propre donné à l'épouse elle-même et non un don à son père ou à sa famille ou à une quelconque tierce partie.
Enfin, s'agissant d'un élement constitutif (rokn) du contrat de mariage musulman et etabli comme tel par un texte explicite (nass sarîh), il n'appartient à personne de l'annuler chez les musulmans, et encore moins une Lât ou un 3uzza.
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