Il risque la prison pour des cure-dents dans un siège
La législation de Singapour est très dure! Un homme pourrait bien finir en prison pour avoir planté des cure-dents dans un siège de bus.
Un homme de 60 ans soupçonné d'avoir planté des cure-dents sur un siège de bus à Singapour risque jusqu'à deux ans de prison s'il est reconnu coupable. Une compagnie de bus avait porté plainte la semaine dernière.
«Après des investigations approfondies et avec l'aide d'images de caméras de surveillance, des policiers ont établi l'identité du suspect», a précisé la police de la ville-Etat d'Asie du Sud-Est dans un communiqué mardi.
Une internaute avait publié fin juillet sur le réseau social Facebook des photos de cure-dents plantés sur ce siège, une publication qui a été partagée plus de 2500 fois. «Voilà ce qui m'est arrivé ce matin (Dieu merci, j'ai bien regardé avant de m'asseoir)», avait écrit l'internaute.
Législation sévère
Pour de tels faits, l'auteur présumé risque une amende et une peine allant jusqu'à deux ans d'emprisonnement. Son identité n'a pas été révélée.
Singapour, une importante place financière asiatique, est connu pour sa législation très sévère contre le vandalisme et autres incivilités, qui peuvent être passibles de peines de prison ferme et de la bastonnade.
20 minutes
La législation de Singapour est très dure! Un homme pourrait bien finir en prison pour avoir planté des cure-dents dans un siège de bus.
Un homme de 60 ans soupçonné d'avoir planté des cure-dents sur un siège de bus à Singapour risque jusqu'à deux ans de prison s'il est reconnu coupable. Une compagnie de bus avait porté plainte la semaine dernière.
«Après des investigations approfondies et avec l'aide d'images de caméras de surveillance, des policiers ont établi l'identité du suspect», a précisé la police de la ville-Etat d'Asie du Sud-Est dans un communiqué mardi.
Une internaute avait publié fin juillet sur le réseau social Facebook des photos de cure-dents plantés sur ce siège, une publication qui a été partagée plus de 2500 fois. «Voilà ce qui m'est arrivé ce matin (Dieu merci, j'ai bien regardé avant de m'asseoir)», avait écrit l'internaute.
Législation sévère
Pour de tels faits, l'auteur présumé risque une amende et une peine allant jusqu'à deux ans d'emprisonnement. Son identité n'a pas été révélée.
Singapour, une importante place financière asiatique, est connu pour sa législation très sévère contre le vandalisme et autres incivilités, qui peuvent être passibles de peines de prison ferme et de la bastonnade.
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