Victime d'une incroyable bourde du bureau du médecin légiste du comté d'Orange, un octogénaire a cru enterrer son fils de 57 ans. Il s'agissait en fait d'un tout autre individu.
Un octogénaire vient de vivre des semaines terriblement éprouvantes et demande des comptes aux autorités californiennes. Le 12 mai dernier, Frank Kerrigan a enterré son fils Frankie, 57 ans, à côté de sa tendre épouse. Deux semaines plus tard, l'homme âgé de 81 ans a reçu un coup de fil inattendu: «Tu es assis? Frankie est vivant», lui a annoncé un ami de la famille, avant de passer le téléphone au quinquagénaire.
Cette histoire rocambolesque commence le 6 mai. Le bureau du médecin légiste du comté d'Orange annonce à Frank Kerrigan que son fils, identifié grâce à ses empreintes digitales, est décédé. Le corps du sans-abri de 57 ans a été retrouvé près d'une boutique de téléphonie mobile à Fountain Valley. Les autorités n'estiment pas nécessaire de demander au père du défunt de venir reconnaître le corps, explique ABC 7. «Quand quelqu’un me dit que mon fils est mort et qu’ils ont vérifié ses empreintes digitales, je lui fais confiance», confie le Californien.
Il ouvre le cercueil et croit reconnaître son fils
Bouleversée, la famille de Frankie se lance donc dans la douloureuse et coûteuse épreuve des funérailles. Le 12 mai, Frank Kerrigan enterre son fils devant de nombreuses personnes. Avant de dire adieu à son enfant, l'octogénaire demande à ouvrir le cercueil. Il jette un rapide coup d'oeil au défunt, quasiment méconnaissable, et lui caresse les cheveux. Sous le coup de l'émotion, il croit voir son fils. Mais l'homme décédé n'est pas Frankie Kerrigan.
Onze jours plus tard, l'octogénaire reçoit ce fameux coup de téléphone surréaliste. Une fois l'euphorie passée, la famille Kerrigan décide de porter plainte contre le bureau du médecin légiste du comté d'Orange, auteur d'une invraisemblable bourde. L'expert en charge de l'autopsie qui a relevé les empreintes s'est non seulement fourvoyé, il a également comparé Frankie avec une vieille photo.
Les Kerrigan, qui réclament 2 millions de dollars de dommages et intérêts, estiment que les autorités ont bâclé le travail, leur faisant vivre un insupportable ascenseur émotionnel. Pendant que sa famille croyait l'avoir perdu à jamais, Frankie, qui souffre d'un handicap mental, errait dans la rue. La vraie victime, elle, a fini par être identifiée.
joc
Un octogénaire vient de vivre des semaines terriblement éprouvantes et demande des comptes aux autorités californiennes. Le 12 mai dernier, Frank Kerrigan a enterré son fils Frankie, 57 ans, à côté de sa tendre épouse. Deux semaines plus tard, l'homme âgé de 81 ans a reçu un coup de fil inattendu: «Tu es assis? Frankie est vivant», lui a annoncé un ami de la famille, avant de passer le téléphone au quinquagénaire.
Cette histoire rocambolesque commence le 6 mai. Le bureau du médecin légiste du comté d'Orange annonce à Frank Kerrigan que son fils, identifié grâce à ses empreintes digitales, est décédé. Le corps du sans-abri de 57 ans a été retrouvé près d'une boutique de téléphonie mobile à Fountain Valley. Les autorités n'estiment pas nécessaire de demander au père du défunt de venir reconnaître le corps, explique ABC 7. «Quand quelqu’un me dit que mon fils est mort et qu’ils ont vérifié ses empreintes digitales, je lui fais confiance», confie le Californien.
Il ouvre le cercueil et croit reconnaître son fils
Bouleversée, la famille de Frankie se lance donc dans la douloureuse et coûteuse épreuve des funérailles. Le 12 mai, Frank Kerrigan enterre son fils devant de nombreuses personnes. Avant de dire adieu à son enfant, l'octogénaire demande à ouvrir le cercueil. Il jette un rapide coup d'oeil au défunt, quasiment méconnaissable, et lui caresse les cheveux. Sous le coup de l'émotion, il croit voir son fils. Mais l'homme décédé n'est pas Frankie Kerrigan.
Onze jours plus tard, l'octogénaire reçoit ce fameux coup de téléphone surréaliste. Une fois l'euphorie passée, la famille Kerrigan décide de porter plainte contre le bureau du médecin légiste du comté d'Orange, auteur d'une invraisemblable bourde. L'expert en charge de l'autopsie qui a relevé les empreintes s'est non seulement fourvoyé, il a également comparé Frankie avec une vieille photo.
Les Kerrigan, qui réclament 2 millions de dollars de dommages et intérêts, estiment que les autorités ont bâclé le travail, leur faisant vivre un insupportable ascenseur émotionnel. Pendant que sa famille croyait l'avoir perdu à jamais, Frankie, qui souffre d'un handicap mental, errait dans la rue. La vraie victime, elle, a fini par être identifiée.
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