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Bernard Tapie soutient Nicolas Sarkozy

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  • #16
    franchement que x ou Y soutient machin, je m'en bats les ovaires
    Bonjour Amarimaa, je te sens un poil énervée ces derniers temps ! Bien, bien, toute cette tension peut être utile bien canalisée ! Mais tu l'as apprise où celle-là ? Hey madame, tu parles la rue toi hey !

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    • #17
      C'est que tu vois tres tres tres tres mal mon gars.
      C'est toi qui voit mal ...

      Il a dit De Villier, pas DE Villepin ...

      Hchouma aaliiiik ...

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      • #18
        C'est toi qui voit mal ...

        Il a dit De Villier, pas DE Villepin ...

        Hchouma aaliiiik ...
        Ptain désolé >< j'ai fait une sieste et j'etais mal révéillé ~~ désolé

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        • #19
          Mise au point gentille

          Introduction: Elyas écrit

          Lorsque je vois De Villiers et Le Pen, je dirais que c'est quasiment proche
          Développement: Sire quasard répond

          De Villepin c'est de la droite centriste, alors que Le Pen c'est de l'extreme droite.
          Conclusion: Par transitivité, Sir quasard considère donc que De villepin et De villiers sont accrochés au même pillier, à mois que ................ notre ami ait raté une marche avant de répondre
          Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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          • #20
            Conclusion: Par transitivité, Sir quasard considère donc que De villepin et De villiers sont accrochés au même pillier, à mois que ................ notre ami ait raté une marche avant de répondre
            Comme je l'ai dit plus tot j'ai mal lu, pas bien réveillé ~~

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            • #21
              Enrico Macias
              Quoi?quoi?quoi?
              "euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"

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              • #22
                LOLOLOL Segolene a les puissances de l'argent contre elle:

                --------------------------------------------------------------------------
                Les responsables socialistes espèrent 8000 personnes au meeting de dimanche qui aura lieu à Villepinte.

                PREMIER EFFET du meeting parisien de Ségolène Royal, la présentation des grandes orientations de son projet, dimanche, n'aura pas lieu comme prévu à Montreuil, mais à Villepinte. Mardi soir, à la Halle Carpentier de Paris, le PS a en effet refusé du monde et la salle de Montreuil, avec ses 4 000 places, a été jugée trop petite. Ce qui devait être une réunion des secrétaires de section, élargie, se transforme donc en meeting avec 8 000 personnes annoncées. « Il y a un engagement qui se confirme et il faut donner toute son ampleur à la réunion du 11 février et accueillir tout le monde », a expliqué hier François Hollande, venu lui-même annoncer ce changement de programme.

                Mobilisation, c'était hier le maître mot au PS, après le discours offensif, voire agressif, prononcé par Royal à la Halle Carpentier. Chacun au PS se réjouissait que la candidate soit sortie de sa période participative pour attaquer Nicolas Sarkozy. « Ségolène Royal a sonné l'heure de la mobilisation. Le discours que beaucoup attendaient le 11 février, a été prononcé le 6 », notait le président d'honneur du MRC, Jean-Pierre Chevènement, qui se félicitait qu'à la vision « attrape-tout, brocanteur de l'Histoire » de Nicolas Sarkozy, Royal ait opposé une « autre vision », « exigeante » de la République. « Nous entrons dans une nouvelle phase. Les Français ont compris que nous nous battons logique contre logique, que nous avions contre nous les puissances de l'argent. Nicolas Sarkozy fait l'unanimité dans les élites, mais il est loin d'avoir des soutiens dans le peuple », se félicitait-il. Tandis que Jack Lang s'enthousiasmait : « Nous sommes en train de vivre un mouvement d'ascension. Quelque chose s'est produit. » « Il faut sortir de l'embrouille dans laquelle Sarko est en train de mettre cette élection », renchérissait le président du groupe socialiste à l'Assemblée Jean-Marc Ayrault.

                Même Arlette Laguiller s'est félicitée que la candidate socialiste revienne « au moins en parole aux fondamentaux » de gauche.

                En ressuscitant le clivage gauche-droite, à grand renfort de références historiques, Royal a incontestablement remonté le moral des troupes, qui s'énervent d'entendre Sarkozy citer Jaurès et Blum. « C'était attendu par la salle et par les militants. Elle était à l'offensive et pas sur la défensive », constate la jospiniste Annick Lepetit.

                Après avoir envoyé nombre de signaux jugés, au PS même, droitiers - sur la sécurité, la carte scolaire ou les 35 heures - il lui fallait donner des gages au parti, en reprenant des classiques du discours mitterrandien : la dénonciation des puissances de l'argent et des médias aux mains du grand capital. D'autres s'étonnaient, en revanche, que Royal ait réservé ses coups à Nicolas Sarkozy, alors que, pour l'instant, c'est François Bayrou qui, selon les sondages, entame son potentiel électoral. Un point qu'avait d'ailleurs souligné mardi Laurent Fabius lors de la réunion du bureau national. L'ancien premier ministre avait appelé la candidate à, certes, « démonétiser la parole de Sarkozy » mais aussi à rappeler aux électeurs que voter Bayrou est « un choix de droite ».

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                • #23
                  Alors que Sarkozy lui monte au front avec des idées:
                  (oui je hais segolene c'est plus fort que moi)
                  -------------------------------------------------------------------------

                  Il a plaidé pour une «Union méditerranéenne».

                  ROYAL AVAIT réuni 8 000 sympathisants, mardi, à Paris. Sarkozy en a attiré « plus de 10 000 », hier, à Toulon. Selon les chiffres fournis par le staff du candidat, qui précise : « Quand Ségolène est venue ici, elle n'en a»fait* que 1 500 ! ». C'est dire si, pour l'UMP, le combat continue. Loin de se reposer sur ses sondages, Nicolas Sarkozy vise le toujours plus. Toujours plus haut, toujours plus fort, et toujours plus rassembleur, aussi. Le ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie, qui l'a accompagné sur la frégate La Fayette, première étape de sa visite à Toulon, a aussi joué les vedettes américaines du meeting.

                  Sarkozy n'a pas parlé de ses adversaires dans son discours de Toulon. Du moins, pas directement. Désireux d'enrichir ses propositions, il a souhaité que « la France, européenne et méditerranéenne à la fois, prenne l'initiative avec le Portugal, l'Espagne, l'Italie, la Grèce et Chypre d'une Union méditerranéenne » inspirée de l'Union européenne. Son plaidoyer pour une mondialisation qui réconcilie le Nord et le Sud lui a permis de défendre sa vision d'une cohabitation harmonieuse entre les religions et entre les cultures.

                  Alors que le procès lié aux caricatures de Mahomet se déroulait à Paris (lire aussi page 9), le défenseur de l'« immigration choisie » a mêlé l'héritage judéo-chrétien et celui des « savants arabes » pour définir un « patrimoine de valeurs spirituelles » commun à tous les Français.

                  En réponse à Jack Lang, qui a tenté de rallumer la polémique sur la colonisation, Nicolas Sarkozy a expliqué : « On doit désapprouver la colonisation, et ce système injuste, à la lumière des valeurs qui sont les nôtres aujourd'hui. Mais il ne faut pas confondre le système et les hommes. Je veux dire à tous les adeptes de la repentance qui refont l'histoire et qui jugent les hommes d'hier sans se soucier des conditions dans lesquelles ils vivaient : de quel droit les jugez-vous ? De quel droit demandez-vous aux fils de se repentir des fautes de leurs pères, que souvent leurs pères n'ont commises que dans votre imagination ? »

                  Le candidat de l'UMP s'est aussi adressé successivement aux pieds-noirs et aux harkis, nombreux dans la région. À l'intention des premiers, il a estimé que « si la France a une dette morale », c'est d'abord envers « ceux qui sont revenus des colonies en ayant tout abandonné ». Aux « enfants des harkis, qui ont servi la France, qui ont dû fuir leur pays et que la France a si mal accueillis », il a assuré que « si la France doit excuses et réparations, c'est à eux qu'elle les doit ».

                  « Avons-nous assez pris conscience que la tragédie de la mondialisation se joue pour nous Européens, pour nous Français, d'abord en Méditerranée ? » a-t-il interrogé. Pour la première fois, Nicolas Sarkozy a fait sienne la thèse que « le choc des civilisations devient une menace réelle ». Une position qui alimentera sans doute le procès en « atlantisme » de ses détracteurs, de droite comme de gauche, mais qui a été saluée hier soir par l'ensemble du public, toutes origines confondues.

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                  • #24
                    ROFL "les relais dociles des médias" hahahha elle avait l'exclusivité de l'ecran pendant plusieurs mois, elle a pas su en profiter, tant pis pour elle...
                    La droite des privileges... C'est qui qui ne veut pas enlever les regimes speciaux?

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                    Le meeting parisien de la candidate socialiste a réuni hier soir plus de 5 000 personnes.

                    « CE SOIR, comme disent les rappeurs, Paris est dans la place. » Hier en meeting à Paris dans le XIIIe arrondissement, devant plus de 5 000 militants très remontés, Ségolène Royal a surtout mis le feu. Et tiré à vue contre la droite. « Je suis toujours là », a-t-elle lancé, bravache. « Ceux d'en face, à droite, et leurs relais dociles dans les médias, m'avaient déjà congédiée », a-t-elle clamé. « Je savais que la bataille serait dure et on n'a pas tout vu », a-t-elle prévenu, en ironisant sur les livres à paraître, au rythme de « un par jour ».

                    « Il y a peut être un peu d'argent à gagner, mais surtout pour ces conglomérats de la finance et des médias, il y en a tellement à perdre si la gauche gagne cette élection présidentielle. » Depuis que sa campagne marque le pas, Ségolène Royal s'en prend régulièrement aux médias. Elle qui voulait incarner le rassemblement appelle à la rescousse l'histoire de France et la famille socialiste, pour créer le clivage avec la droite.

                    Juste avant elle, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, avait pris la parole, déclenchant les huées de la salle chaque fois qu'il citait le nom de Nicolas Sarkozy. Pour écouter Royal, « la famille est rassemblée » : l'ancien rival Dominique Strauss-Kahn, Jean-Pierre Chevènement, le président d'honneur du MRC, la radicale Christiane Taubira, le jospiniste Daniel Vaillant... La candidate veut désormais mener une campagne de premier tour et ressouder les rangs autour d'elle.

                    « La candidature socialiste a toujours été illégitime face à une droite au pouvoir qui ne recule devant rien pour le garder », a-t-elle estimé. « La calomnie et les coups bas ont toujours faits partie de leurs méthodes. » « Rien ne les dérange plus » que « le verdict d'un peuple » qui bouleverserait « leur petit cénacle ». Assurant qu'elle serait la présidente des « sans voix », elle a vanté sa méthode à base de débats participatifs, et lancé aux militants : « Puisque vous avez pris cette parole, je vous demande de la garder ».

                    Les « puissances de l'argent »

                    Aucune formule n'est assez dure contre l'adversaire : « Allons nous accepter qu'à travers l'un des siens cette nouvelle oligarchie prenne la tête de l'Etat républicain ? » « Nous nous battons contre une droite dure, agressive, une droite sans principes, sans vertu républicaine, une droite arrogante qui dit tout et son contraire mais ne varie pas sur l'essentiel, pour elle et pour elle seule : la défense de ses privilèges, de ses passe-droits, de ses abus, de ses réseaux et de ses clientèles, de son impunité. »

                    Et de dénoncer les « puissances de l'argent », citant même de Gaulle. « Pas l'argent du travail », a-t-elle expliqué mais le profit « facile », les profits « rapaces », les profits « fainéants ». Après avoir accusé la droite de « réécrire l'histoire de France en la vidant de ses valeurs et de ses luttes », allusion aux discours de Nicolas Sarkozy, elle fait de la droite d'aujourd'hui l'héritière de celle qui fit le procès de Léon Blum en 1942.

                    « Il est facile d'associer le temps d'un discours Guy Môquet et Achille de Peretti, Jeanne d'Arc et Edouard Balladur, mais quels que soient les mérites des seconds (dont le principal est d'avoir fait la carrière du candidat actuel de la droite), sachons mettre à leur juste place, autrement éminente, la fille rebelle de Lorraine et le jeune résistant communiste qui n'eurent jamais 20 ans parce qu'ils aimèrent la France à en mourir. »

                    Autre marqueur de gauche, la laïcité, « première » des « règles » du vivre ensemble. Elle accuse Nicolas Sarkozy de vouloir modifier la loi de 1905. « Cette inspiration antilaïque et communautariste n'est pas la nôtre. »

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                    • #25
                      Nicolas Sarkozy a expliqué : « On doit désapprouver la colonisation, et ce système injuste, à la lumière des valeurs qui sont les nôtres aujourd'hui. Mais il ne faut pas confondre le système et les hommes. Je veux dire à tous les adeptes de la repentance qui refont l'histoire et qui jugent les hommes d'hier sans se soucier des conditions dans lesquelles ils vivaient : de quel droit les jugez-vous ? De quel droit demandez-vous aux fils de se repentir des fautes de leurs pères, que souvent leurs pères n'ont commises que dans votre imagination ? »
                      Si c'est pas de l'hyppocirise puissance 15.... de la langue de bois de politicard ...

                      Et pour la turquie, c'est quoi? C'est les turques actuels qui ont fauté (si faute il y a, je ne m'avance pas la dessus vu que je ne connais pas trop cette histoire) sur les arméniens?

                      Donc les turcs doivent reconnaitre... mais pas les français?


                      Pfffffffffffffff ....

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                      • #26
                        Sur ce point la je suis d'accord ac touti.

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