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Bessie Coleman
Ce Jeudi 26 Janvier, sur ce qui aurait été le 125e anniversaire de Coleman, Google a publié un griffonnage animé soulignant la vie de l'aviateur civil américain qui était la première femme pilote de descendance afro-américaine et la première femme d'ascendance amérindienne à obtenir une licence de pilote.
Le 10e des 13 enfants nés d'un couple interracial qui travaillait comme métayers, Coleman a parcouru quatre miles chaque jour dans une école séparée d'une pièce. Elle a aidé avec les récoltes de coton tout en réussissant à exceller en lecture et en mathématiques. Mais elle avait un avenir plus grand en magasin.
En 1916, quand elle avait 23 ans, elle est tombée amoureuse de l'idée d'être un pilote après avoir entendu les récits de pilotes de vol pendant la Première Guerre mondiale. Elle a travaillé deux emplois pour économiser de l'argent pour se former au pilotage d'avion, mais aucune école ne dispensait des cours aux femmes et pour noires.
C'est à Paris en France qu'elle choisit pour se former, la capitale offrait plus d'opportunités aux femmes et aux noirs.
Un an plus tard, elle devient la première femme pilote d'ascendance afro-américaine et autochtone et la première à obtenir une licence d'aviation internationale de la Fédération Aéronautique Internationale.
Elle est retournée aux États-Unis en tant que pilote cascadeur, effectuant des manœuvres complexes qui lui ont valu le surnom de «Reine Bessie». Elle rêvait d'établir une école pour les aviateurs noirs, mais ne vivait pas assez longtemps pour atteindre son but. Elle est décédée en 1926 à l'âge de 34 ans lorsque l'avion qu'elle volait a connu une panne d'équipement et s'est écrasé.
Ce Jeudi 26 Janvier, sur ce qui aurait été le 125e anniversaire de Coleman, Google a publié un griffonnage animé soulignant la vie de l'aviateur civil américain qui était la première femme pilote de descendance afro-américaine et la première femme d'ascendance amérindienne à obtenir une licence de pilote.
Le 10e des 13 enfants nés d'un couple interracial qui travaillait comme métayers, Coleman a parcouru quatre miles chaque jour dans une école séparée d'une pièce. Elle a aidé avec les récoltes de coton tout en réussissant à exceller en lecture et en mathématiques. Mais elle avait un avenir plus grand en magasin.
En 1916, quand elle avait 23 ans, elle est tombée amoureuse de l'idée d'être un pilote après avoir entendu les récits de pilotes de vol pendant la Première Guerre mondiale. Elle a travaillé deux emplois pour économiser de l'argent pour se former au pilotage d'avion, mais aucune école ne dispensait des cours aux femmes et pour noires.
C'est à Paris en France qu'elle choisit pour se former, la capitale offrait plus d'opportunités aux femmes et aux noirs.
Un an plus tard, elle devient la première femme pilote d'ascendance afro-américaine et autochtone et la première à obtenir une licence d'aviation internationale de la Fédération Aéronautique Internationale.
Elle est retournée aux États-Unis en tant que pilote cascadeur, effectuant des manœuvres complexes qui lui ont valu le surnom de «Reine Bessie». Elle rêvait d'établir une école pour les aviateurs noirs, mais ne vivait pas assez longtemps pour atteindre son but. Elle est décédée en 1926 à l'âge de 34 ans lorsque l'avion qu'elle volait a connu une panne d'équipement et s'est écrasé.