Les cinémas en Algérie: ca va marcher?

[Aloha]

un cinéma à BEO est plein de mouton ... ça m'a fait mal au coeur

[Absent]

Elissar

Tbahdil, comme d'hab. meme a l'etranger mayetrabbawsh. C'est peut etre genetique? Tu sais j'ai remarqué que tawe3na n'aime pas quand un groupe ou une personne a l'air de passer un bon temps. Quelque chose se déclenche en eux et ils sentent le besoin urgent de ruiner la bonne humeur. Ils dérivent du plaisir a empecher l'autre de s'amuser. Je me demande d'ou ca vient.

Beehive

Bonne idee, pourquoi pas, un eclairage discret juste pour dissuader les voyous. Ca peut marcher. Ou bien mieux, des lampes programmees pour s'allumer aléatoirement de temps en temps, genre fard foudja'i

Slimane53

Quel modele commercial? Je connais pas les cinemas de Riadh ElFath

[Slimane53]

Quel modele commercial? Je connais pas les cinemas de Riadh ElFath

Les murs appartiennent à l'Office Riadh El Feth qui est un organismes public. Les gérants privés exploitent les salles sur la base d'un contrat qui fixe leurs droits et obligations signé avec l'office. Les trois salles se sont quelque peu spécialisées:
- Les deux salles Cosmos se sont spécialisées dans la projection de films en exclusivité surtout pour la jeunesse, dont sorties plus ou moins récentes y compris dans les salles françaises et européennes.
- La salle Ibn Zeydoun est spécialisée dans les films grand public en exclusivité ainsi que dans les spectacles musicaux.
- La salle Mohamed Zinet (une mini salle) est spécialisée dans les films d'auteurs ou d'arts et d'essai à l'intention des cinéphiles en premier

[Océane]

Les deux salles Cosmos se sont spécialisées dans la projection de films en exclusivité surtout pour la jeunesse, dont sorties plus ou moins récentes y compris dans les salles françaises et européennes.

A éviter durant l'année scolaire. Les mardis notamment.

[Aloha]

qu'ils encouragent la fabrication dans cet art déjà ...

consommer il faut produire ... le cinéma est un art c'est le 7 ème et ce n'est au politique de fanfaronner dessus biaa wachri

je rêvais de voir l'oranais impossible et j'ai cherché partout lorsqu'il est sorti

il faut déjà savoir si c'est halal ou haram de lire et écrire des images
on les animera après

[Slimane53]

Mes salles préférées, c'est le Mouggar et la cinémathèque Ben M'hidi. Qu'en penses-tu Rosella ?

[Absent]

Slimane53

Pour la propriete des locaux, je pense que ce sera sous la responsabilité du ministere de la culture, apres ca depend du mecanisme qu'ils vont mettre en place pour leur gestion.

Finalement, je pense que ca pourrait marcher, notamment dans les grandes villes. Peut etre que le probleme principal sera l'acquisition des films a projeter , mais si il y a une equipe dynamique, je suis sure qu'au moins quelques salles vont sortir du lot.

[Slimane53]

Pour la propriete des locaux, je pense que ce sera sous la responsabilité du ministere de la culture, apres ca depend du mecanisme qu'ils vont mettre en place pour leur gestion.

Oui, c'est une formule qui parait viable. Je pense, qu'en l'état actuel des choses, il faudrait aussi ouvrir le créneau à l'investissement privé.

Finalement, je pense que ca pourrait marcher, notamment dans les grandes villes. Peut etre que le probleme principal sera l'acquisition des films a projeter , mais si il y a une equipe dynamique, je suis sure qu'au moins quelques salles vont sortir du lot.

La distribution ...Vanilla, tu as mis le doigt sur la cause principale de la disparition du parc des salles de cinéma en Algérie. Sans véritable politique de production, de coproduction et de distribution, il est impossible de développer la fréquentation des salles et de convaincre aussi bien les producteurs que les distributeurs grands et petits, nationaux et étrangers de s'engager sur le marché, c'est-à-dire d'investir dans les salles et les films en ayant la certitude que les risques à prendre sont raisonnables.
Je déduis personnellement de la catastrophe provoquée depuis les années 1980 que le cinéma n'a jamais représenté un domaine digne d'intérêt pour les dirigeants du pays. La déclaration du ministre de la culture montre que les idées n'ont pas changé de ce côté aussi bien vis-à-vis du cinéma que des autres arts. La preuve: avec la politique dite de "rigueur" actuelle, la culture est le secteur le plus touché par les coupes budgétaires proportionnellement au montant du budget annuel qui lui était alloué les années passées.